Maman, tu es toujours couchée
La maisonnée est très touchée
Par cette sale grippe saisonnière
Qui te retient comme une prisonnière
Maman, j’implore ton rétablissement
Pour réchauffer de ta voix la maison
Car tu es le moteur de nos activités
Qui donne l’ambiance avec sûreté
Maman Jacqueline, rejoins-nous
Dans la vitalité de ta station debout
Pour t’occuper de ton chéri, ton mari
Notre père et de tes enfants sous le toit
Maman, je t’aime comme une flamme
Qui danse à mes yeux avec son âme
De lumière parfumée et cadencée
Au rythme de la matinée et de la soirée.
Bernard NKOUNKOU