Posts Tagged ‘procureur de la République’

Congo: Le procureur de la république Oko Ngakala, sauvagement bastonné par son rival de la RDC

octobre 18, 2022

Monsieur mon parquet a été victime de sa «bordelerie» quand il a été surpris par l’époux d’une de ses maîtresses. Ignorant être en face du tout puissant procureur de la république du Congo, cet homme cocu, originaire de la RDC n’est pas passé par quatre chemins en tabassant comme un bébé son bourreau en amour. Les faits se sont déroulés non loin de la commune de Moungali dans la nuit.

Ce citoyen Kinois qui vit dignement de son travail soupçonnait depuis des semaines sa femme de le tromper. Il ignorait juste que celui qui est l’auteur de la main noire contre lui n’est entre autre que le tout puissant procureur de la république du Congo. «  Comment tout un chef peut-il descendre si bas en sortant avec la femme d’un citoyen modeste ? » s’est étonné le cocu après avoir appris la fonction de celui qu’il venait de tabasser et insulter « pygmée ». Il serait en cavale de peur de se faire emprisonner.

Le procureur de la république du Congo, André Oko Ngakala est connu pour son goût pour les Kinoises qu’il entretient à coup de billets de banque qu’il gagne dans les affaires parcellaires. L’une de ses conquêtes au nom d’Irène, mariée à son compatriote Kinois est la cause de sa bastonnade.

Les deux adultères ont été surpris par l’époux Kinois de la femme dans une position très compromettante près de la commune de Moungali dans un Nganda discret. Le Kinois affirme avoir été alerté au téléphone par une connaissance de la présence de son épouse avec son amant. « Momie na yo aza awa na djo moko ya mukusé, ba zo liana ba banga danger ! »

Arrivé sur les lieux, le Kinois n’a pas réfléchi avant d’agir, rassuré par les explications reçues au téléphone. Une fois dans le Nganda, il a exfiltré de force son rival procureur avant de le rouer des coups devant la stupéfaction des clients. André Oko Ngakala, tabassé comme un bébé ne cessait de répéter à son agresseur : «  Petit ! Tu ne sais pas à qui tu as affaire ! ».

«Je sais c’est toi qui sors avec ma femme et ça me suffit comme motif ! » rétorquait le Kinois cocu qui a pris la fuite après avoir appris que celui qu’il tapait comme un bébé n’est entre autre que le procureur de la république du Congo. Oko Ngakala pour la circonstance était seul et sans garde.

Avec Sacer-infos par Stany Frank

Congo/Oko Ngakala: « Vous les Bakongos-là, je ne vous aime pas… Sortez de mo bureau »

janvier 31, 2018


C’est en ces termes que le procureur de la république a chassé de son bureau monsieur Samba Loufoua Valentin en conflit foncier avec la maîtresse d’un cacique du pouvoir.

Propriétaire de trois parcelles jumelées à Kintéle, Samba Loufoua Valentin, un citoyen sans histoire et homme d’affaires a été surpris d’apprendre par le sujet Kinois gardant ses parcelles que celles -ci avaient été vendues à une dame.

Bien qu’averti par les voisins d’avoir été victime d’une escroquerie, Brigitte Okoubi a jugé bon d’user les gros moyens pour garder de force les parcelles. La confrontation documents en main devant les chefs de la zone l’ayant été défavorables, la jeune dame qui est maîtresse d’un baron du pouvoir va s’en remettre à la justice par le biais du procureur de la république sous recommandation de son amant.
Samba Loufoua Valentin qui n’a pas cédé aux menaces est convoqué dans le bureau du procureur pour une confrontation avec Brigitte Okoubi. Lors de l’audition, les documents apportés par les deux donnent une fois de plus raison au premier propriétaire.

Malgré les machinations et menaces à son égard, Samba Loufoua est resté ferme, menaçant à son tour même de recourir à la cour suprême si ces parcelles lui étaient ravies. Des propos que le procureur Oko Ngakala n’a pas du tout apprécié, et a rappelé à tout le monde la grandeur de son statut, se vantant d’avoir envoyé en prison des personnes plus puissantes que Samba Loufoua Valentin.

Finalement l’escroc propriétaire terrien a été prié de rembourser Brigitte Okoubi à défaut de lui trouver d’autres parcelles dans la même zone. Ehonté, Oko Ngakala à demander à Samba Loufoua Valentin et son avocat à quitter son bureau en employant des propos indignes de la fonction républicaine qu’il occupe.

« Vous les Bakongos, je ne vous ai jamais aimé, vous êtes toujours des têtus…Allez, sortez de mon bureau… »

Sacer-infos.com par Stany Franck

Congo: Le Procureur de la République de Brazzaville affaibli par la maladie en France

juillet 1, 2017

 

En soins, à Paris, le Procureur de la République, célèbre pour sa phrase: Fait à mon parquet, est très affaibli. Il passe sa convalescence au milieu de ses proches, avant de retrouver la pile de ses dossiers, à Brazzaville.

Lui souhaitons un prompt rétablissement !

Photo de BrazzaNews.
Avec Brazzanews.fr

Congo: Maître Pena Pitra Pitra menotté

juin 26, 2016

Me Pena Pitra menotté sur les ordres du très zélé décidé Procureur de la république, Oko Ngakala, haut comme trois mangues greffées.

Photo de BrazzaNews.
Brazzanews.fr

Congo/IDC-FROCAD: Autorisation de sortie du Procureur de la république

octobre 18, 2015
Auteur: Procureur de la rupublique

Autorisation illico presto du Procureur de la république

Autorisation illico presto du Procureur de la république?

Le procureur vient de délivrer une autorisation de sortie du périmètre de Pointe-Noire et du Kouilou aux responsables des plateformes IDC et FROCAD.

Congo: IDC-FROCAD à Pointe-Noire: Instruction du Procureur de la République

octobre 18, 2015
Auteur: Procureur

Faits divers d’assassinat et de mort dans une clinique au Congo

septembre 19, 2014

 

Un malade mental assassine trois enfants et se donne la mort

Un déséquilibré mental a donné la mort à trois de ses neveux, précisément les enfants de son frère, provoquant l’émoi de la population dans son quartier.

Après ce triple assassinat crapuleux, il s’est lui-même donné la mort, en se jetant contre un camion-remorque, qui l’a écrasé. Il est mort sur-le-champ.

La scène s’est passée, jeudi 18 septembre 2014, à Ngamakosso, un  quartier de Talangaï, le sixième arrondissement de Brazzaville.

Une femme succombe à un avortement dans une clinique de fortune et son corps jeté dans une rivière

Le quartier Moukondo était en relief, jeudi 11 septembre 2014. Le corps d’une femme d’environ 36 ans a été découvert immergé dans la rivière Tsiémé. Le quartier était en émoi.

Un jour après, les recherches de la police ont abouti à l’arrestation d’un soi-disant médecin exerçant dans une clinique privée, située au n°2 de la rue Massina. Il s’agit d’un ressortissant de la République Démocratique du Congo. Ce dernier a avoué avoir reçu la jeune femme et son mari, qui lui ont demandé d’expulser la grossesse qu’elle portait.

Malheureusement,  l’I.v.g (Interruption volontaire de grossesse) ayant mal tourné, la femme a succombé à la suite d’une hémorragie. Pris de peur, le mari et lui sont allés jeter le corps dans la rivière Tsiémé, pour simuler une noyade, a-t-il déclaré.

D’après la police, le soi-disant médecin exercerait illégalement au Congo et serait un sans-papier. Il sera présenté devant le procureur de la République. Le mari de la victime serait introuvable. Il faut signaler, par ailleurs, que le chef de bloc du quartier a été aussi mis aux arrêts, pour n’avoir pas signalé la présence du sans-papier à la police.

Lasemaineafricaine.net

Gabon: un haut fonctionnaire emprisonné pour détournement de fonds

septembre 1, 2014

Libreville – Un haut fonctionnaire gabonais, membre du parti au pouvoir, a été placé sous mandat de dépôt pour détournement de deniers publics, une première dans le cadre d’une vaste opération mains propres lancée en début d’année, a-t-on appris de source judiciaire lundi.

Jeannot Kalima, secrétaire général du ministère des Mines, de l’Industrie et du Tourisme au Gabon, a été placé sous mandat de dépôt pour détournement de deniers publics dans l’affaire dite des +fêtes tournantes+, a déclaré à l’AFP le procureur de la République, Sidonie Flore Ouwé.

Les fêtes tournantes étaient une initiative lancée au début des années 2000 par l’Etat gabonais pour développer l’arrière-pays. Les autorités célébraient chaque année la fête de l’indépendance, le 17 août, dans une région différente, avec à la clé un programme d’investissements en infrastructures et équipements d’environ 50 milliards de FCFA (76, 2 millions EUR).

Le haut fonctionnaire est mis en cause pour la gestion de 595 millions de Francs CFA (907.000 euros) et des poussières, alloués dans le cadre de ces fêtes, et dont il avait la charge en tant que directeur de cabinet du ministre des Travaux publics de l’époque, Idriss Ngari, a précisé le procureur.

Tous ces fonds n’ont pas été utilisés aux fins demandées, a expliqué Mme Ouwé. Il s’agit du premier fonctionnaire incarcéré dans le cadre de cette vaste affaire de corruption, a-t-elle précisé.

M. Kalima est membre du Parti démocratique gabonais (PDG), le parti du président Ali Bongo Ondimba.

Selon le procureur, M. Kalima encourt la réclusion criminelle à perpétuité si les charges qui pèsent contre lui sont confirmées, étant donné l’importance des sommes en jeu.

Le gouvernement gabonais a lancé le 1er janvier dernier un audit approfondi de ses finances publiques qui a mis au jour des détournements colossaux, notamment dans le cadre des fêtes tournantes.

Ainsi, sur les 500 milliards (alloués aux fêtes tournantes, soit 762 millions EUR), plus de 400 milliards ont été détournés en dix ans, selon la Direction générale du contrôle des ressources et des charges publiques (DGCRCP) qui a mené l’audit.

Plusieurs autres personnalités politiques qui ont pu jouer un rôle dans ces détournements massifs ont été ou seront auditionnées à leur tour, a précisé le procureur.

Jean Eyéghé Ndong, le dernier Premier ministre du défunt président Omar Bongo, passé dans l’opposition à la mort de celui-ci, a affirmé être sous le coup d’une information judiciaire dans cette même affaire de fêtes tournantes, lors d’une conférence de presse vendredi.

Il a dit être soupçonné d’avoir détourné près de 98 milliards de francs CFA (149,4 millions EUR) entre 2006 et 2007, alors qu’il était Premier ministre et président du Comité des Fêtes Tournantes de la province de l’Estuaire – où se trouve la capitale Libreville – ce qu’il nie en bloc.

Plusieurs leaders de l’opposition ont accusé récemment les autorités de mener une chasse aux sorcières pour se débarrasser de rivaux potentiels avant la présidentielle de 2016.

Les fêtes tournantes ont été supprimées par l’équipe du président Ali Bongo lorsqu’il a succédé à son père en 2009.

Dès 2010, le président a demandé une enquête sur des rapports de la Cour des Comptes qui relevaient des manquements concernant la gestion des fêtes tournantes du 17 août, dont l’analyse montre que les projets ont été exécutés en-deçà des crédits ouverts.

Romandie.com avec(©AFP / 01 septembre 2014 20h21)

Centrafrique: Patrice-Édoaurd Ngaïssona placé sous contrôle judiciaire

avril 18, 2014

Coordinateur politique autoproclamé des anti-balaka, Patrice-Édouard Ngaïssona a été placé jeudi sous contrôle judiciaire.

Les choses se gâtent-elles pour Patrice-Édouard Ngaïssona, 42 ans ? L’ex-ministre de François Bozizé et coordinateur politique autoproclamé des anti-balaka a été placé jeudi 17 avril sous contrôle judiciaire par la justice centrafricaine.

« Il a été auditionné par nos services à Bangui dans les locaux de la gendarmerie nationale en fin d’après-midi pendant deux heures. Il a été ensuite décidé de laisser en liberté provisoire sous contrôle judiciaire. Il devra dorénavant se présenter deux fois par semaine, le mardi et le vendredi, pour qu’on puisse s’assurer de sa présence sur le territoire centrafricain », explique à Jeune Afrique le procureur de la République, Ghislain Gresenguet.

Enquête en cours

« Une enquête judiciaire a été ouverte. Elle suit son cours », a-t-il précisé.

Sous le coup d’un mandat d’arrêt, Ngaïssona avait échappé début février à une opération menée par l’armée française et la Misca ayant conduit à l’arrestation de plusieurs chef anti-balaka.
_________________

Jeuneafrique.com par Vincent DUHEM