Posts Tagged ‘Rachida Dati’

France: Rachida Dati mise en examen dans l’affaire Carlos Ghosn

juillet 27, 2021

L’ancienne ministre de la justice et actuelle maire (LR) du 7e arrondissement de Paris a été mise en examen pour « corruption passive par personne investie d’un mandat électif public au sein d’une organisation internationale » et « recel d’abus de pouvoir ».

L’ex-garde des sceaux et maire (LR) du 7e arrondissement de Paris, Rachida Dati, le 3 juin 2020.
L’ex-garde des sceaux et maire (LR) du 7e arrondissement de Paris, Rachida Dati, le 3 juin 2020. THOMAS SAMSON / AFP

L’ancienne ministre de la justice Rachida Dati a été mise en examen dans l’enquête sur ses prestations de conseil auprès de l’ex-PDG de l’alliance Renault-Nissan Carlos Ghosn, a-t-on appris, mardi 27 juillet, du Parquet national financier (PNF), confirmant une information du Canard enchaîné et de Franceinfo.

L’actuelle maire (Les Républicains) du 7e arrondissement de Paris avait initialement échappé à ces poursuites en novembre, à l’issue d’un premier interrogatoire de seize heures devant les juges d’instruction, qui l’avaient alors placée sous le statut intermédiaire de témoin assisté.

Huit mois plus tard, Mme Dati a, finalement, été reconvoquée pour une journée d’interrogatoire et mise en examen pour « corruption passive par personne investie d’un mandat électif public au sein d’une organisation internationale », en l’occurrence le Parlement européen, où elle était élue, et « recel d’abus de pouvoir ». Joints par l’Agence France-Presse, ses avocats Olivier Baratelli, Olivier Pardo et Francis Teitgen n’ont pas souhaité réagir.

Emploi de complaisance

Trois juges d’instruction sont chargés depuis l’été 2019 de mener cette enquête sur des contrats conclus par la filiale néerlandaise de l’alliance Renault-Nissan, RNBV, avec Rachida Dati et le criminologue Alain Bauer, lorsque Carlos Ghosn était encore PDG du groupe. Selon une source proche du dossier, Mme Dati, qui nie toute irrégularité, aurait touché 900 000 euros d’honoraires en tant qu’avocate entre 2010 et 2012 alors qu’elle était, à l’époque, aussi, députée européenne.

Une enquête préliminaire avait été, auparavant, ouverte par le PNF, après une plainte déposée le 17 avril 2019 par une actionnaire de Renault. Cette plainte visait Rachida Dati, Alain Bauer, mais aussi Carlos Ghosn et son épouse.

La justice cherche notamment à savoir si les revenus de Mme Dati correspondent à des activités déterminées ou s’il s’agissait d’un emploi de complaisance ayant pu masquer des activités de lobbying, interdites pour les députés européens.Article réservé à nos abonnés Lire aussi  L’empire souterrain de Carlos Ghosn

Des faits prescrits selon la défense

L’équipe de défense de Mme Dati répond qu’aucun élément de sa rémunération n’a été dissimulé et que, par conséquent, la prescription de trois ans pour ces délits est acquise depuis 2017. Or, le parquet national financier (PNF) n’a ouvert l’information judiciaire qu’en 2019, après avoir reçu une plainte d’une actionnaire de Renault.

Les avocats observent, par ailleurs, que ni le Parlement européen, ni la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, ni le ministère public n’ont décidé de la poursuivre alors même que des accusations de conflits d’intérêts la visant ont été relayées par la presse entre 2009 et 2015.

En mars, les avocats de Mme Dati avaient formellement demandé aux juges de constater la prescription des faits. Mais, les magistrates n’ayant pas suivi leur argumentation, il revient désormais à la cour d’appel de trancher cette question.

Avec Le Monde

Obsèques de Chris­tophe de Marge­rie : l’hom­mage des poli­tiques et des stars de la télé

octobre 27, 2014

Hollande aux obsèques de Mragerie

Hollande aux obsèques de Christophe de Margerie

Rassem­blés dans la peine

Ce matin, à 9h30, les proches de Chris­tophe de Marge­rie ont assisté aux obsèques du patron de Total, décédé tragique­ment dans un acci­dent d’avion. Des poli­tiques, comme François Hollande, Manuel Valls ou Rachida Dati et des people, à l’ins­tar de Marion Jollès ou Frédé­ric Taddéi s’étaient rassem­blés pour un ultime adieu.

Ce lundi 27 octobre, à 9h30, se sont dérou­lées les obsèques de Chris­tophe de Marge­rie, en l’église Saint-Sulpice, au cœur du VIème arron­dis­se­ment de Paris. Son épouse, Berna­dette Prud’­hommes, et leurs trois enfants, Laëti­tia, Diane et Fabrice sont arri­vés les premiers en se tenant la main.

Parmi les personnes qui ont tenu à saluer une dernière fois le patron de Total, de nombreux poli­tiques avaient fait le dépla­ce­ment. À commen­cer par François Hollande, qui avait inscrit l’hom­mage à son agenda offi­ciel et son secré­taire géné­ral, Jean-Pierre Jouyet. Le Premier ministre Manuel Valls, le ministre de l’In­té­rieur Bernard Caze­neuve, le ministre des Finances Michel Sapin et la ministre de la Culture Fleur Pelle­rin étaient eux aussi présents. Plus à droite sur l’échiquier poli­tique, on a pu croi­ser Bruno Le Maire, l’ancienne garde des Sceaux Rachida Dati ou l’ac­tuelle prési­dente du FMI, Chris­tine Lagarde.

De nombreux jour­na­listes, comme Frédé­ric Taddéi et François Lenglet, ont égale­ment tenu à hono­rer sa mémoire, comme de nombreux hommes et femmes d’af­faires. Romain Grosjean, le pilote de Formule 1, et son épouse, l’ani­ma­trice Marion Jollès, étaient égale­ment venus rendre un dernier hommage à Chris­tophe de Marge­rie.

Le défunt patron de Total sera ensuite inhumé dans l’in­ti­mité au cime­tière de Kairon (Manche).

Voici.fr par Marie Astrid KUNERTH

Dési­gné père de Zohra Dati, Domi­nique Desseigne explique pourquoi il fait appel

octobre 24, 2014

« Ça ne corres­pond pas à ce que j’ai vécu »

Dési­gné par la justice comme étant le père de Zohra, la fille de Rachida Dati, Domi­nique Desseigne se défend. Pour la première fois, il s’ex­prime sur cette affaire.

Le 7 octobre 2014, le Tribu­nal de Grande Instance de Versailles a tran­ché : Domi­nique Desseigne est dési­gné comme le père de Zohra, la fille de Rachida Dati, née en janvier 2009. Si aucune preuve médi­cale n’a été appor­tée – le PDG du groupe Lucien Barrière refu­sant de se soumettre à un test de pater­nité – la justice a estimé que les preuves appor­tées par l’an­cienne Garde des Sceaux étaient suffi­santes, au contraire des éléments appor­tés par la partie adverse.

L’homme d’af­faires de 70 ans n’en­tend pas pour autant s’ar­rê­ter là. « J’ai décidé de faire appel de cette première justice qui ne corres­pond pas à ce que j’ai vécu », a-t-il assuré dans les colonnes de L’Obs qui lui consacre un long portrait. Il n’en dira pas plus, « le simple fait d’évoquer cette rela­tion passée le raidit », note le jour­na­liste.

Le tribu­nal de Versailles l’a pour­tant condamné à verser une pension alimen­taire, d’un montant de 2 500 euros par mois, à Rachida Dati, rétro­ac­tive depuis décembre 2013. Une somme nette­ment infé­rieure à ce qu’a­vait demandé la maire du VIIème arron­dis­se­ment de Paris : 6 000 euros par mois à comp­ter de la nais­sance de Zohra.

Domi­nique Desseigne a peut-être perdu une bataille, il entend bien gagner la guerre.

Voici.fr par Marie Astrid KUNERTH

La fille de Rachida Dati a désormais officiellement un père

octobre 9, 2014

La justice a donné raison à Rachida Dati: le père de sa fille est bien Dominique Desseigne. REUTERS/Abderrahmane Mokhtari

La justice a donné raison à Rachida Dati: le père de sa fille est bien Dominique Desseigne.
REUTERS/Abderrahmane Mokhtard

Le tribunal de grande instance de Versailles a désigné ce mardi l’homme d’affaires Dominique Desseigne comme le père de Zohra, la fille de Rachida Dati. Ce dernier fait appel.

Le tribunal de grande instance de Versailles a tranché. L’homme d’affaires Dominique Desseigne a été désigné comme le père de Zohra, l’enfant dont Rachida Dati a accouché en 2009.

2500 euros de pension alimentaire

L’ex-garde des Sceaux avait engagé en octobre 2012 une reconnaissance en paternité à l’encontre du PDG du groupe hôtelier Lucien Barrière. En décembre 2012, le tribunal de grande instance avait ordonné une expertise génétique afin de savoir si Dominique Desseigne était bien le père de Zohra, âgée aujourd’hui de cinq ans et demi. Mais l’homme d’affaires de 70 ans avait refusé de s’y soumettre, concédant avoir eu une histoire avec l’eurodéputée tout en assurant que ce n’était « qu’une aventure ». Il avait argué par la suite que Rachida Dati n’avait pas fourni « des éléments précis sur la période de conception », comme les échographies et assuré qu’il était hospitalisé à cette période.

Mais l’ADN n’est pas obligatoire pour déclarer une paternité, et le tribunal a tout de même interprété la décision dans ce sens.

Dominique Desseigne est condamné à verser une pension alimentaire d’un montant de 2.500 euros, rétroactivement exigible à compter de décembre 2013. Rachida Dati avait, elle, demandé 6000 euros.

Lexpress.fr

Rachida Dati réclame 6000 euros de pension alimentaire à Dominique Desseigne

octobre 24, 2013

Dans un document remis à justice et auquel VSD a eu accès, Rachida Dati réclame une somme rondelette à celui qu’elle désigne comme le père de sa fille : Dominique Desseigne.

Pour Rachida Dati, pas de doute, Dominique Desseigne est bien le père de sa petite Zohra, bientôt 5 ans. Ce dernier, patron du Groupe Barrière, qui refuse de se soumettre à un test de paternité comme la justice l’y autorise, n’est pas exactement du même avis. Il estime que l’ex-garde des sceaux avait plusieurs autres relations au même moment et qu’il n’a fréquenté cette proche de Nicolas Sarkozy que très brièvement entre décembre 2007 et janvier 2008.

Aujourd’hui, VSD révèle ce que Rachida Dati aimerait obtenir. Estimant que le refus de Dominique Desseigne de se soumettre à un test ADN est une preuve de sa paternité, elle lui réclame une pension alimentaire mensuelle de 6000 euros, rétroactive depuis la naissance de Zohra évidemment. Soit un chèque qui atteindra les 360 000 euros lorsque sa fille aura cinq ans en janvier prochain.

Pour justifier ce montant, la maire du 7ème arrondissement de Paris estime que l’éducation de sa fille nécessite un budget particulièrement conséquent.

Comme le révèle VSD, Rachida Dati a produit des documents expliquant qu’elle hébergeait une assistante maternelle payée 1300 euros par mois. Lorsque cette dernière ne peut garder sa fille, Rachida Dati explique qu’elle est obligée de faire venir sa sœur tant il est difficile de trouver « quelqu’un de confiance ». Précision qui a son importance, Rachida Dati ne fait pas venir sa sœur de Marseille ou de Lille, mais… de Manille, de Singapour ou de Londres.

Elle demande en conséquent à Dominique Desseigne de prendre en charge ces trajets ainsi que ses appels téléphoniques.

Elle exige aussi une participation aux frais de scolarité de sa fille, qu’elle estime à 30 000 euros.

En outre, pour justifier le montant de son éventuelle pension alimentaire, Rachida Dati évoque aussi les vacances de sa fille. Il faut dire que la dernière fois que la petite Zohra est parti avec sa maman à l’Ile Maurice, en décembre 2012, Rachida Dati a déboursé 4000 euros. Pour le séjour ? Non, pour le seul billet de sa fille, en business class…

Du côté de l’homme d’affaire, les réactions ne se sont pas faites attendre. « Dominique Desseigne a la désagréable impression d’être pris pour un pigeon et il a promis qu’il ne se laisserait pas plumer comme un perdreau de l’année », a confié un proche à VSD. Une audience de fixation est prévue le 28 octobre prochain devant le Tribunal de Grande Instance de Versailles.

Voici.fr

Rachida Dati: « J’abandonne la politique si Leo Messi me demande en mariage »

avril 19, 2013

L’ancienne Garde des Sceaux se livre dans le Vanity Fair espagnol

 
Rachida Dati: "J'abandonne la politique si Leo Messi me demande en mariage"

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Dans sa croisade pour décrocher la mairie de Paris, Rachida Dati, comme ses concurrenteS, a bien compris qu’il fallait ouvrir son programme et son intimité. L’ex-ministre a choisi Vanity Fair pour vider son sac.

N’est pas maire de Paris qui veut. Bien sûr, on espère que le débat politique fera la différence entre les concurrentes à ce poste, mais il faut aussi savoir regarder du côté plus personnel. Rachida Dati, comme Anne Hidalgo et Nathalie Kozciusco-Morizet l’ont fait avant elle, a accordé à un grand magazine une interview plus privée que politique.

Comme rien n’est trop beau pour conquérir le cœur des électeurs, l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy a offert ses confidences au prestigieux Vanity Fair espagnol. Puisque nos voisins ibériques n’ont que peu d’intérêt dans la future bataille qui va secouer Paris, les trois quarts de l’interview se concentrent sur les histoires personnelles de Rachida Dati.

Pour la première fois, la maman de la petite Zohra répond aux questions concernant la paternité de sa fille. Sans donner le nom de son papa, elle vient nier en bloc toutes les rumeurs qui ont couru à ce sujet. «Tout ce qui a été écrit sur ma vie est faux» insiste Rachida Dati. Au journaliste qui lui demande si Dominique Desseigne est le père de sa fille, elle continue «tout ce qui s’écrit est faux». L’occasion est trop belle pour le média espagnol de ne pas en savoir plus sur l’autre «papa présumé», José Maria Aznar. Presque ulcérée qu’un tel bruit vive encore, la femme de caractère demande à ce que «l’on arrête de fantasmer avec ça, c’est très ennuyeux». Encore une fois «tout est faux» répète une Rachida Dati qui semble attristée car elle entretient de très bons lieux avec l’ancien président Aznar. «Il a sa famille et moi la mienne, c’est mesquin de penser autrement» tranche ainsi Rachida Dati et mettant un terme à la discussion sur ce sujet.

La ténacité des journalistes espagnols est allée chercher encore plus loin dans les non-dits qui entourent la personnalité de l’ex-Garde des Sceaux. De nombreux articles en France ont pointé une mésentente planante entre Rachida Dati et Carla Bruni, au moment où celle-ci est devenu première dame. Alberto Pinteno, qui mène l’interview pour Vanity Fair, rapporte l’idée que la chanteuse fut «jalouse de vous». Il décrit alors «le temps qui s’arrête, le visage inexpressif de Rachida Dati» au moment où elle entend ses propos et se rend compte qu’il est peut-être «le premier à poser la question directement». Après un moment de silence, elle se décide à répondre et s’exclame: «cette question est idiote je ne vais pas y répondre évidemment». Rachida Dati parle «d’impolitesse» et de «grossièreté», balaye d’un revers de la main toute implication «dans la vie privée et intime des Sarkozy».

Le seul homme finalement pour lequel Rachida Dati accepte de baisser la garde, c’est Leo Messi. Pas «Beckhamista» du tout, celle qui espère un jour s’installer à l’Hôtel de Ville est «prête à arrêter la politique si Leo Messi (me) demande en mariage». Il est selon elle «pas très beau mais possède un regard intéressant et est très charismatique». Malheureusement, le footballeur espagnol est en couple et père d’un enfant né en 2012.

 Gala.fr par Laure Costey

Le frère de Rachida Dati tente de se suicider

octobre 14, 2011

Jamal Dati a tenté de se pendre dans les toilettes du tribunal, où il devait être jugé pour vols avec violence et appels téléphoniques malveillants. Jamal Dati, le frère de l’eurodéputée et ex-Garde des Sceaux Rachida Dati, a tenté de se suicider jeudi dans les toilettes du tribunal de Briey (Meurthe-et-Moselle), où il devait être jugé en comparution immédiate, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.

Jamal Dati, 39 ans, a tenté de se pendre avec les lacets de ses chaussures. « Normalement, les lacets et les chaussures sont retirés, mais au vu de la saleté des lieux, l’escorte policière a consenti à les lui laisser », a indiqué une source proche du dossier.

Jamal Dati devait être jugé pour vols avec violences et appels téléphoniques malveillants à l’encontre de son ex-compagne. Il avait déjà été condamné pour des faits similaires en juin dernier à 2 ans d’emprisonnement, dont un avec sursis. Il a été hospitalisé d’office dans une structure spécialisée de la région. Son procès a été renvoyé au 10 novembre.

En 2009, le frère cadet de l’ancienne Garde des Sceaux, actuelle maire UMP du 7e arrondissement de Paris, avait publié un livre d’entretiens, « A l’ombre de Rachida », dans lequel il racontait ses relations difficiles avec sa soeur, à qui il reprochait de ne plus lui adresser « directement la parole ».

L’Express.fr

Rachida Dati : Les deux  »pères » de sa fille risquent la prison…

octobre 12, 2011

Les deux détenus de la centrale de Poissy, poursuivis pour avoir revendiqué dans des courriers la paternité de la fille de Rachida Dati, pourraient écoper de six mois de prison puisque c’est la peine qui a été requise lundi 10 octobre, devant le tribunal correctionnel de Versailles. Le tribunal devrait rendre son jugement le 5 décembre.

Alfredo Stranieri, 54 ans, et Germain Gaiffe, 43 ans, emprisonnés pour assassinats (Alfredo Stranieri a été condamné à perpétuité pour quatre assassinats et Germain Gaiffe à 30 ans de réclusion, pour assassinat, enlèvement et séquestration) sont poursuivis pour « outrage sur personne dépositaire de l’autorité publique », en raison d’un courrier adressé distinctement en 2010 à Rachida Dati, et dans lequel ils avaient joint une « déclaration de paternité ». Les deux hommes souhaitaient avoir le droit de rendre visite à la petite Zohra, née en janvier 2009.

Le procureur de la République de Versailles, Michel Desplan, a estimé que les courriers incriminés « n’avaient qu’un sens : être injurieux, outrageant, moqueur ». L’avocat d’Alfredo Stranieri, qui plaidait la relaxe, s’est dit « affligé » de voir poursuivis « des faits inconsistants qui relèvent de l’humour ». Me Olivier Metzner, avocat de Rachida Dati, a demandé au tribunal d' »interdire tout contact » entre les deux hommes et sa cliente, réclamant un euro à titre de dommages et intérêts.

L’humoriste Dieudonné, qui s’est présenté comme le parrain de la petite Zohra, s’est également constitué partie civile et a demandé un euro symbolique, « ou 0,50 centimes ». Il a déclaré devant le tribunal : « Ma fille a pour parrain Carlos, qui est détenu à Poissy (Ilitch Ramirez Sanchez, dit Carlos, est incarcéré pour terrorisme, NDLR) et a pour co-détenu Germain Gaiffe, qui m’a demandé d’être le parrain de l’enfant. C’est par confiance que je suis arrivé dans cette histoire »…

Rappelons que Rachida Dati, maman de l’adorable Zohra, deux ans et demi, n’a jamais révélé l’identité du papa.

PurePeople.com

Rachida Dati : le retour de la fellation sur Canal+

septembre 7, 2011

Fellation ou inflation ? « Les deux ! »

Depuis qu’elle est députée européenne, Rachida Dati fait preuve d’une ouverture d’esprit sans précédent. Elle milite même en faveur de la fellation. Et de l’inflation.

« Une fellation quasi nulle », a dit un jour Rachida Dati sur le plateau de Dimanche+, en voulant parler d’inflation. La pauvre, sa langue avait fourché. L’ancienne garde des Sceaux est revenue hier soir sur ce lapsus dans le Grand Journal.

Pour détendre l’atmosphère, Ariane Massenet a lancé une boutade : « Fellation ou inflation ? » Hahaha, tout le monde s’esclaffe, qu’est-ce qu’on se marre. Mais l’auteur présumé du lapsus (« lapsuce » pour les intimes) ne relève pas. Il faudra toute l’opiniâtreté d’un Michel Denisot en quête de vérité pour lui arracher une réponse.

Finalement, mesdames et messieurs, à choisir entre l’une ou l’autre proposition, elle répond, bravache : « Les deux ! », avant d’éclater de rire, fière de sa blagounette. On n’oserait croire qu’il s’agit de la débauche, pardon, c’est évidemment un lapsus, de l’ébauche d’un programme politique.

Voici.fr par J.M.

Rachida Dati: la « honte » de la famille

juillet 13, 2011

« Tu t’y crois depuis que t’es ministre? »

Au sein de la famille Dati, il y a Rachida, la plus connue de la fratrie de onze enfants. Mais il y a aussi Malika, l’aînée et seconde maman.

Dans l’émission « C’est de famille » sur Europe1 consacrée à une personnalité et son frère ou sa sœur, Ariane et Béatrice Massenet recevaient ce matin les sœurs Dati. Le moins que l’on puisse dire, c’est que dans le clan de l’ancienne Garde des Sceaux, ça balance !

Excellente élève, Rachida n’en demeurait pas moins une rebelle d’après sa sœur aînée. Une insoumise qui, à écouter Malika, faisait les quatre cents coups dans la cour de récré et en vacances : « À cause d’elle, on a été renvoyées de plusieurs colonies de vacances. J’avais honte de l’avoir comme sœur », raconte Malika Dati.

Pour Rachida, le plus exaspérant chez sa soeur, c’était son statut : « Mes parents l’ont toujours un peu sacralisée. Elle n’a jamais reçu de claque de sa vie ! » . Et de continuer sur sa lancée en balançant sur la coiffure de sa frangine : « Tu avais un buisson sur la tête ». Si bien que Rachida avoue lui avoir lissé les cheveux au fer à repasser tous les matins.

On vous le dit tout net, chez les Dati, ça devait être folklo.

Mais rassurez-vous, malgré ces petits secrets de famille bien encombrants, l’amour familial est bien là au quotidien. Malika avoue sonner les cloches de sa frangine au moindre faux-pas : « Quand ça part en vrille, je lui dis toujours. Je lui envoie un petit texto. Rachida a toujours accepté l’avis familial », confie-t-elle. Qui aime bien châtie bien, comme on dit.

Et Papa Dati de se rappeler au bon souvenir de sa fille Rachida à chaque événement administratif : « Il m’appelait parfois au milieu d’un G8 pour vérifier que j’avais bien rempli sa déclaration d’impôts. Il me disait : “Comment, tu n’as pas rempli mes papiers ?! Tu t’y crois depuis que t’es ministre ? Reste avec tes amis qui sont mieux que moi”. »

On vous avait prévenus. Chez les Dati, on se dit les choses.

Voici.fr