Posts Tagged ‘radio nationale’

Quatorze personnes tuées au Burundi pour  »sorcellerie », selon la radio nationale

août 21, 2014

Au moins quatorze personnes ont été tuées dans la province de Cibitoki (Nord-ouest du Burundi) dans les communes Mugina et Bukinanyana pour des mobiles qui porteraient sur ‘’des accusations de sorcellerie’’, rapporte jeudi la radio nationale.

La même station ajoute que ces personnes figuraient sur  »une liste des personnes à abattre ».

Citant le gouverneur de cette province, Anselme Nsabimana, la radio souligne que ‘’la situation est alarmante » dans cette contrée de la province de CIBITOKE.

 »La protection de la personne humaine est difficile est menacée dans cette région », a dit M. Nsabimana, selon qui les conflits liés à la terre seraient le motif des assassinats.

 »Les réunions de sensibilisation de la population sur comment arrêter ces criminels sont en train d’être organisées », a toutefois indiqué le gouverneur.

Parmi les personnes tuées, figure le père du Chef de cabinet des services de renseignements burundais, Général Gervais Ndirakobuca, qui a été assassiné la semaine dernière par le fils d’un voisin qui venait d’être assassiné lui aussi par des gens qu’il aurait soupçonnés comme étant des gardes du père de l’officier.

Apanews.net

Centrafrique: des hommes du Séléka arrêtés après la mort d’un camionneur camerounais

mai 5, 2013
Centrafrique: des hommes du Séléka arrêtés après la mort d'un camionneur camerounais Centrafrique: des hommes du Séléka arrêtés après la mort d’un camionneur camerounais © AFP

Des hommes de la coalition rebelle Séléka, qui a pris le pouvoir en Centrafrique il y a six semaines, ont été arrêtés après le meurtre d’un camionneur camerounais sur la route qui relie Douala (Cameroun) à Bangui, a annoncé dimanche la police centrafricaine.

Samedi, les camionneurs camerounais effectuant le trajet Douala – Bangui s’étaient mis en grève pour réclamer de « meilleures conditions de travail et de sécurité ».

La route qui relie le port de Douala à Bangui est la principale voie d’accès commerciale vers la capitale centrafricaine, par où transitent l’essentiel des marchandises importées en Centrafrique.

« Nous condamnons avec la dernière rigueur cet incident, qui a causé la mort d’un ressortissant d’un pays voisin avec lequel nous avons toujours eu des relations fraternelles », a déclaré le directeur général de la police, Henri Wanzet Linguissara, dans un communiqué lu à la radio nationale.

« Les présumés auteurs de cet incident sont déjà identifiés et placés en lieu sûr. La police a ouvert une enquête suivant les instructions fermes du parquet », a-t-il ajouté.

Selon une source au sein de l’Union syndicale des camionneurs de Centrafrique (USCC), « le camionneur camerounais se trouvait en stationnement à la sortie nord (de Bangui) (. . . ) quand un véhicule transportant des éléments du Séléka a heurté sa roue posée à côté du véhicule. Interpellé par ces éléments qui le conduisaient à leur base, le camionneur a tenté de s’enfuir. Il a été poursuivi par l’un eux qui l’a abattu », criblant son corps de balles.

Les hommes du Séléka, « pensant à un piège », ont « ouvert le feu et la balle a ricoché pour atteindre mortellement le chauffeur », a pour sa part expliqué M. Linguissara.

Depuis la prise du pouvoir à Bangui par la rébellion Séléka le 24 mars, la situation s’est fortement dégradée en Centrafrique. Hommes du Séléka et bandes armées sont régulièrement accusés de se livrer à des violences et des pillages.

Jeuneafrique.com avec AFP

Centrafrique : Bozizé visé par une enquête pour violations des droits de l’homme

mai 4, 2013
Photo Par Patrick Fort - Le parquet de Bangui a ouvert une enquête sur les violations des droits de l'Homme commises par le président déchu François Bozizé et ses proches durant son régime et après le coup d'Etat qui l'a renversé le 24 mars, a annoncé le ministre de la Justice Arsène Sendé à la radio nationale samedi
  • AFP/AFP/Archives – Photo Par Patrick Fort – Le parquet de Bangui a ouvert une enquête sur les violations des droits de l’Homme commises par le président déchu François Bozizé et ses proches durant son régime …plus  et après le coup d’Etat qui l’a renversé le 24 mars, a annoncé le ministre de la Justice Arsène Sendé à la radio nationale samedi  moins 

Le parquet de Bangui a ouvert une enquête sur les violations des droits de l’Homme commises par le président déchu François Bozizé et ses proches durant son régime et après le coup d’Etat qui l’a renversé le 24 mars, a annoncé le ministre de la Justice Arsène Sendé à la radio nationale samedi.

« J’ai donné des instructions au procureur général près la Cour d’appel de Bangui, parce que des crimes et autres graves violations des droits humains ont été commis, et continuent de l’être, par l’ex-président François Bozizé, les éléments de sa garde rapprochée et certains de ses proches », a déclaré M. Sendé.

Le Monde.fr avec AFP

Centrafrique : le président François Bozizé réfugié au Cameroun

mars 25, 2013

François Bozizé, le 30 décembre 2012. François Bozizé, le 30 décembre 2012. © AFP

La présidence camerounaise a annoncé, lundi 25 mars, la présence sur son sol du président centrafricain déchu François Bozizé.

Révélée dimanche par l’agence chinoise Xinhua, la présence au Cameroun du président centrafricain déchu François Bozizé a été confirmée, lundi 25 mars, par Douala, rapporte l’AFP. « Suite aux récents événements en République centrafricaine, le président François Bozizé a cherché refuge au Cameroun où il se trouve actuellement dans l’attente de son départ vers un autre pays d’accueil », indique un communiqué de la présidence lu à la radio nationale lundi.

Selon Xinhua, citant une source au sein des services de sécurité, un hélicoptère de la présidence centrafricaine ayant à son bord François Bozizé, accompagné de ses deux fils et de son aide de camp, a atterri dimanche vers 18h00 locales (GMT + 1) à l’aérodrome de Batouri, le chef-lieu du département de la Kadey, dans l’est du Cameroun.

Une source locale a précisé, toujours à Xinhua, que Bozizé devait être escorté dans la nuit de dimanche à lundi vers Bertoua (250 km de Yaoundé), la capitale de la province de l’Est.

Jeuneafrique.com avec AFP

Centrafrique: les rebelles prennent Bangui, Bozizé fuit en RDC

mars 24, 2013

 

Les rebelles de la coalition centrafricaine du Séléka ont pris la capitale Bangui dimanche matin, a annoncé un de leurs chefs militaires, le colonel Djouma Narkoyo. Le président François Bozizé s’est enfui en République démocratique du Congo (RDC), selon un de ses conseillers.

« Nous avons pris le Palais présidentiel. Bozizé n’y était pas. Maintenant, nous allons nous rendre à la radio (nationale) pour que le président du Séléka (Michel Djotodia) prenne la parole », a affirmé le colonel Narkoyo.

« Les rebelles contrôlent la ville. J’espère qu’il n’y aura pas de représailles », a déclaré Gaston Mackouzangba, porte-parole du chef de l’Etat. Selon Crépin Mboli-Goumba, porte-parole du gouvernement, les rebelles du Séléka tiennent tous les points stratégiques de la capitale.

Un conseiller du président ayant requis l’anonymat a indiqué qu’il avait traversé le fleuve Oubangui dans la matinée pour gagner la RDC. François Bozizé est arrivé au pouvoir par la force en 2003.

Les rebelles, qui accusent le chef de l’Etat de ne pas avoir respecté un accord de paix conclu en janvier prévoyant leur intégration dans l’armée, ont pénétré samedi dans la capitale, où la France a envoyé des renforts pour sécuriser l’aéroport.

Le président au pouvoir depuis dix ans n’est plus apparu en public depuis une brève visite jeudi à son allié sud-africain Jacob Zuma, à Pretoria.

Accords de paix le 11 janvier

La rébellion avait lancé une première offensive le 10 décembre dans le nord du pays et avait enchaîné victoire sur victoire face aux forces gouvernementales désorganisées avant de stopper sa progression sous la pression internationale à 75 km au nord de Bangui.

Des accords de paix signés à Libreville le 11 janvier avaient débouché sur la formation d’un gouvernement d’union nationale composé du camp Bozizé, de l’opposition et de la rébellion.

Mais arguant du non respect des accords par le clan Bozizé, les rebelles ont déclenché à nouveau les hostilités vendredi et déclaré vouloir mettre en place un gouvernement de transition s’ils prenaient Bangui.

Romandie.com

Centrafrique : les rebelles annoncent avoir pris le palais présidentiel, Bozizé en fuite

mars 24, 2013
Des rebelles de la Séléka. Des rebelles de la Séléka. © AFP

Les rebelles de la coalition centrafricaine du Séléka ont pris dimanche le palais présidentiel de Bangui, a annoncé à l’AFP un de leurs chefs militaires, le colonel Djouma Narkoyo, précisant que le président François Bozizé ne s’y trouvait pas.

« Nous avons pris le Palais présidentiel. Bozizé n’y était pas. Maintenant, nous allons nous rendre à la radio (nationale) pour que le président du Séléka (Michel Djotodia) prenne la parole », a-t-il déclaré. « Nous savions que Bozizé n’était pas là », a-t-il précisé. Le chef de l’État aurait fui la ville vers la RDC, après avoir franchi le fleuve Oubangui, selon un de ses conseillers, cité par Reuters.

Une source militaire sous couvert de l’anonymat a confirmé la prise de la présidence par le Séléka, soulignant qu’il y avait encore des poches de résistance dans la ville mais que le rapport de force était clairement en faveur des rebelles. Dimanche matin, le colonel Narkoyo avait averti que la journée d’aujourd’hui sera décisive. « Nos hommes sont dans Bangui, on prend nos emplacements ».

Non respect des accords de Libreville

L’assaut de la rébellion a commencé vers 07H30 (6h30 GMT). « Nos éléments ont lancé l’offensive en début de matinée passant le +bouchon+ du PK10 (point kilométrique 10) près de la base sud-africaine pour aller vers le centre-ville », a expliqué Eric Massi, un porte-parole de la rébellion depuis Paris. Les échanges ont été très intenses vers 08h00 (07h00 GMT) mais sont devenus plus sporadiques, a constaté un journaliste de l’AFP proche de la zone des affrontements dans le centre ville où se trouve le palais présidentiel. Les rebelles avaient commencé à entrer dans la capitale samedi en fin d’après-midi après avoir repris les armes la veille.

La rébellion avait lancé une offensive le 10 décembre dans le nord du pays et avait enchaîné victoire sur victoire face aux forces gouvernementales avant de stopper sa progression sous la pression internationale à 75 km au nord de Bangui. Des accords de paix signés à Libreville le 11 janvier avaient débouché sur la formation d’un gouvernement d’union nationale composé du camp Bozizé, de l’opposition et de la rébellion. Arguant du non respect des accords par le clan Bozizé, les rebelles ont déclenché à nouveau les hostilités vendredi et déclaré vouloir mettre en place un gouvernement de transition s’ils prenaient Bangui.

 Jeuneafrique.com avec AFP

Guinée-Bissau : tentative de coup d’État, le Premier ministre introuvable

avril 13, 2012

Des militaires se sont emparés de la résidence du Premier  ministre de la Guinée-Bissau, Carlos Gomes Junior, dont le sort est inconnu,  faisant craindre un coup d’État. La télévision et la radio nationale ont été  coupées.

La situation est encore trop floue pour assurer que la Guinée-Bissau a été victime d’un nouveau coup d’État, mais tous les éléments d’un tel  scénario semblent réunis. De fortes détonations ont été entendues dans la soirée  du jeudi 12 avril alors que des soldats ont attaqué la résidence de l’actuel Premier ministre Carlos Gomes Junior, dans la  capitale Bissau. Les tirs, essentiellement concentrés autour de la résidence du  Premier ministre, ont duré environ une heure. La capitale a retrouvé le calme  dans la soirée. Un cordon de sécurité avait été installé par des militaires  autour du palais présidentiel et des rues environnantes. Vendredi matin, la  capitale était cadrillée par les militaires, postés en particulier devant des  bâtiments officiels.

Incertitudes

« Il y a des troubles. Nous ne savons pas encore ce que c’est. Il y a des  tirs, des tirs sporadiques d’artillerie, et de lourdes explosions… Nous  entendons que cela vient de la résidence de Carlos Gomes Junior » a déclaré à  Reuters un diplomate en poste dans la capitale. « Il y a eu une débandade et une  riposte de nos collègues. (Carlos Gomes Junior) a tenté de sortir en profitant  de la confusion. Ensuite je ne l’ai plus revu car j’ai moi aussi cherché à  m’enfuir de là », a raconté un agent de sécurité posté dans la résidence.

Le sort du Premier ministre comme les raisons de ce coup de force militaire  sont pour le moment inconnus. Selon ce même agent de sécurité, Carlos Gomes  Junior « se trouvait dans sa résidence où des militants de son parti étaient  venus lui témoigner de leur fidélité, quand une première roquette RPG a percuté  l’entrée principale de sa villa ».

« Nous (le) recherchons activement. Quel que soit l’endroit où il peut se  cacher, nous le débusquerons avant l’aube », a assuré à l’AFP un militaire  mutin. Le sort du chef de l’État par intérim Raimundo Pereira, à la suite du  décès en janvier du président Malam Bacaï Sanha, mort à Paris, est pour le  moment inconnu. Une source politique, citée par Reuters, a assuré qu’il avait  été arrêté par les mutins.

Le siège du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée-Bissau et du  Cap-Vert (PAIGC, au pouvoir), dirigé par Carlos Gomes Junior Gomes, était occupé  par au moins une vingtaine de soldats. Une dizaine d’autres, en armes, avaient  pris le contrôle de la radio nationale en début de soirée. Cette dernière comme  la télévision nationale ont cessé d’émettre. Le courant avait également été  coupé dans toute la ville, plongeant Bissau dans l’obscurité.

« Nous attendons d’entendre ce qu’ils ont à dire », a déclaré le ministre des  Affaires étrangères bissau guinéen Mamadou Djalo Pires également présent à  Abidjan, appelant à « une réaction énergique » de la communauté  internationale.

Coups d’État à répétition

Ces évènements interviennent seulement quelques jours après que l’Angola ait  annoncé la fin de sa mission de modernisation de l’armée bissau-guinéenne, mise  en place en 2011 pour aider le pays à mettre fin aux nombreux coups d’États qui  ont jalonné son histoire.

Le 26 décembre 2011, plusieurs officiers de l’armée, parmi lesquels, le chef  de la marine, avaient été arrêtés à la suite d’une tentative de putsch déjouée.  Plus récemment le 18 mars 2012, l’ancien directeur des renseignements militaires de  Guinée-Bissau, le colonel Samba Djalo, avait été abattu à Bissau par un  groupe d’hommes non identifiés, en tenue militaire.

Plus tôt jeudi, l’opposition bissau-guinéenne menée par l’ex-président Kumba Yala, qui est censé affronter le 29  avril au second tour de l’élection présidentielle Carlos Gomes Junior, avait  appelé au boycott du scrutin, et mis en garde quiconque battrait campagne. « Quiconque s’aventurera à battre campagne assumera la responsabilité de tout ce  qui adviendra », a menacé Kumba Yala, sans plus de précision.

Jeuneafrique.com avec Agences

Intempéries en Algérie: au moins 44 morts, les autorités dépassées

février 9, 2012

http://platform.twitter.com/widgets/hub.1326407570.htmlLa vague de froid qui balaie l’Europe touche également  l’Afrique du Nord: au moins 44 personnes sont mortes en une semaine en Algérie  en raison de fortes chutes de neige et d’une baisse des températures et la  presse est très critique envers les autorités.

Au moins 30 personnes ont péri dans des accidents de la route et 14 par  asphyxie, due à des émanations de gaz, depuis le début des intempéries, selon le  dernier bilan donné jeudi par la radio nationale Chaîne 3, citant la Protection  civile.  Le dernier bilan officiel s’établissait mercredi à 29 morts.

En Europe, la vague de froid a déjà tué plus de 500 personnes en une dizaine  de jours.

Après la surprise des premiers jours et l’espoir déçu d’un rapide redoux, la  presse a accru ses critiques jeudi contre l’impréparation des autorités face aux  milliers de foyers isolés par la neige et les pluies, privés d’électricité, de  chauffage et de nourriture.

Première cible bien sûr le gouvernement: quarante-huit heures après le  Conseil des ministres, sous la présidence du chef de l’Etat Abdelaziz  Bouteflika, il n’a même pas évoqué ces intempéries dans son communiqué.

« Ou êtes-vous Messieurs les ministres ? », titrait l’éditiorial du quotidien  populaire arabophone Ecchourouk.

« Lors de leur dernière réunion mardi, les ministres ont préféré se concentrer  sur les prochaines législatives et l’augmentation du nombre de strapontins au  Parlement plutôt que sur la tempête de neige responsable de morts, de sinistrés,  d’isolements de villages entiers à travers toute l’Algérie profonde », selon lui.

« Catastrophe et pas de programme d’urgence pour y faire face », dénonçait  El-Khabar.  « Qu’attend le gouvernement pour proclamer l’état d’urgence une  semaine après le début des intempéries qui continuent à assiéger 20 wilayas (sur  48 départements)? », s’interrogeait ce quotidien arabophone.

Les ministres « n’ont pas eu un mot sur ce véritable drame humanitaire qui  frappe le pays depuis dix jours d’Est en Ouest », s’est indigné Liberté  (francophone), tandis que son confrère El-Watan notait dans un encadré en Une:  « Conseil des ministres: aucun mot sur les intempéries », une « omission de  taille ».

Une semaine d’enfer

L’autre conséquence de cette semaine d’enfer pour les Algériens, c’est la  hausse vertigineuse de la bonbonne de butane pour se chauffer, qui est passée de  500 dinars (5 euros) -grand maximum en temps normal- à 2. 000 parfois 3. 000  dinars, selon L’Expression.

Les prix des produits alimentaires ont également flambé.  Plusieurs  boulangeries ont fermé faute d’approvisionnements en farine, selon la Chaîne 3.

Pas de carburant, de bonbonnes de gaz butane, de médicaments et jusqu’à la  semoule qui a manqué, « réduisant les habitants à se nourrir de légumes secs »,  selon les témoignages d’habitants des régions nord-est de l’Algérie.

Bien que 300 axes routiers aient été rouverts par l’armée, les chutes de  neige paralysaient encore 80% du réseau routiers, surtout dans les  Hauts-Plateaux (au sud d’Alger, entre le Sahara et le Sahel) et en Kabylie  (nord-est).

Dans la wilaya (département) de Souk-Ahras, à la frontière tunisienne, le  tronçon reliant Souk-Ahras à la commune frontalière d’Ain Zana sur la RN 20 a  été le plus affecté rendant la circulation très difficile jusqu’à son  déblaiement mercredi soir.

Dans la wilaya de Bejaïa (250 km à l’est d’Alger en Kabylie), Hadj Rabah, 75  ans, de Béni Ouartilane, n’en peut plus.  « La neige continue de tomber depuis  vendredi et les enfants ne vont plus à l’école », comme c’est le cas pour la  plupart des établissements des zones sinistrées.

« A partir de Aïn el Hamam (à 30 km de la capitale kabyle de Tizi Ouzou) il ne  manquerait qu’un panneau qui indiquerait la fin du monde », ironisait un habitant  auprès du quotidien Liberté.

Jeuneafrique.com avec AFP