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Myriam L’Aouffir, celle qui fait battre le coeur de DSK

mai 28, 2013

Ce que l’on sait de la compagne de Dominique Strauss-Kahn

Myriam L’Aouffir, celle qui fait battre le coeur de DSK

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Les Nicole Kidman, Eva Longoria et autres Marion Cotillard ont fait le show sur la Croisette mais une femme a marqué les esprits: Myriam L’Aouffir, la compagne de DSK, est une star malgré elle.

Jusqu’au dernier moment on pensait l’information invraisemblable. Nous qui avions pourtant annoncé la venue de Dominique Strauss-Kahn à Cannes étions perplexes sur sa possible montée des marches. Mais l’ancien directeur général du FMI ne s’est pas démonté. Face au malaise de certains festivaliers, et assailli par les flashs des photographes, DSK a trouvé sa meilleure alliée pour affronter l’événement. Myriam L’Aouffir a tenu le bras du nouvel homme de sa vie jusqu’en haut des marches du Palais des Festivals, sans jamais le lâcher.

Une présence essentielle pour un DSK en plein retour dans la lumière. Il faut dire que la jolie blonde de 47 ans connaît bien les rouages de la machine médiatique. Responsable de la communication online et manager des social media chez France Télévisions, Myriam L’Aouffir est de ces femmes d’affaires qui imposent le respect. La communication, c’est son fort, puisqu’elle a permis l’arrivée du groupe de chaînes publiques sur les réseaux sociaux et compte elle-même presque 20 000 tweets pour 10 000 abonnés à son compte Twitter, @laouffir. Avant d’être recrutée par Remy Pfimlin, elle a déjà été chargée de la communication régionale et internationale de France 2 pendant plus de dix ans. En 2007, elle se laisse séduire par l’ambassade du Maroc (pays où elle est née) qui lui confie également sa communication. Femme de poigne mais aussi son cœur, Myriam L’Aouffir est aussi très liée à l’association Juste pour eux qui tente de favoriser l’éducation dans les milieux ruraux marocains. Ce serait par ce biais que DSK et la jeune femme se seraient rencontrés il y a déjà quelques années.

Dans Gala n°1042 (en kiosque mercredi) un proche du couple confie que Myriam et Dominique Strauss-Kahn font route commune depuis un an. Ils ont choisi le festival de Cannes pour s’exposer ensemble. L’ex-époux d’Anne Sinclair était l’invité de son ami Alain Delon, auquel le festival consacrait une soirée spéciale, et sa compagne s’est donnée du mal afin de trouver LA tenue idéale pour cette grande première, finalement une pièce chic et sobre signée Jean Paul Gaultier. Et l’élégante ne manque pas non plus de second degré puisqu’elle remerciait dimanche, via son compte Twitter, « ceux qui n’ont pas omis l' »‘ » #apostrophe:) ».

 Gala.fr par Laure Costey

Taubira caricaturée en singe : relents racistes autour de la « Manif pour tous »

mai 7, 2013
Christiane Taubira, ministre de la Justice française. Christiane Taubira, ministre de la Justice française. © AFP

Malgré l’adoption de la loi sur le mariage pour tous par le Parlement français, et sa peu probable invalidation par le Conseil constitutionnel, l’opposition au texte ne faiblit pas. Huées, insultes… Rien n’est épargné à la ministre de la Justice, Christiane Taubira.

Quand on défile aux côtés du Front national de Gilbert Collard, ou avec les militants du Groupe union défense (organisation étudiante française d’extrême droite réputée pour ses méthodes musclées), les dérapages sont prévisibles. Et alors que des journalistes ont été agressés à Rennes le week-end dernier, lors d’une énième manifestation des opposants au mariage pour tous, sans même parler des agressions homophobes qui se multiplient, il est évident que le mouvement contestataire ne cesse de se radicaliser malgré les appels au calme de sa porte-parole, Frigide Barjot.

>> Lire aussi : Cécile Kyenge, une ministre italienne en butte à l’uinfamie raciste

Les cibles privilégiées des attaques : François Hollande et Christiane Taubira. La dernière en date concerne la ministre de la Justice : un photomontage a circulé, mardi 7 mai, sur Twitter, représentant Christiane Taubira en gorille monstrueux et appelant à une « manifestation monstre », encore une, le 26 mai à Paris. Publiée à l’origine par le militant de la « manif pour tous » Jean Bodin, l’image a, depuis, été retirée du réseau social.

 

L’image insultante publiée sur Twitter, mardi 6 mai.

Racisme ?

Un peu tard cependant pour éviter la polémique. Contacté par Europe 1, Caroline, responsable de la communication de la « manif pour tous », commente : « Cela ne correspond ni au ton de nos messages, ni à notre identité visuelle. Ce n’est pas la ligne, ce n’est pas la charte. Ce n’est pas l’esprit, ce n’est pas le ton. On n’aurait jamais fait ça. »

On comprend que le « ton » de l’image puisse gêner aux entournures les militants, alors que la ministre, d’origine guyanaise, est représentée en gorille. Même si Jean Bodin, l’instigateur de l’image, se défend d’un quelconque sentiment raciste.

Sur Twitter, beaucoup s’indignent. D’autres ont en revanche choisi l’humour, proposant à l’« artiste » Bodin de représenter « l’invasion chinoise » avec un « citron » géant. De l’humour pour répondre à un dérapage aux relents racistes. Qui n’est sans doute pas le dernier…

Jeuneafrique.com par Mathieu Olivier

Deux militaires maliens tués par l’explosion d’une mine dans le nord du Mali

mars 30, 2013

BAMAKO – Deux soldats maliens ont été tués samedi par l’explosion d’une mine au passage de leur véhicule dans la région de Gao (nord du Mali), a annoncé à l’AFP un officier de l’armée malienne.

Un véhicule de l’armée malienne a sauté samedi sur une mine posé par les islamistes entre Ansongo et Ménaka. Deux soldats maliens ont été tués sur le coup, a déclaré cette source, sans plus de précisions, notamment sur le nombre de passagers du véhicule et d’éventuels blessés.

La ville d’Ansongo est à 90 km au sud-est de Gao, et celle de Ménaka, plus à l’est, à environ 270 km de Gao.

L’explosion et le bilan a été confirmée par le ministère malien de la Défense dans un communiqué publié samedi soir.

Un véhicule d’un détachement des forces armées maliennes a sauté sur une mine à 110 km d’Ansongo. Le bilan est de deux morts et ledit véhicule détruit, selon ce texte signé du lieutenant-colonel Diarran Koné, responsable de la communication du ministère.

Ce détachement et une unité du contingent nigérien avaient quitté Ménaka pour Ansongo, et l’explosion n’a pas fait de blessés, a précisé à l’AFP cet officier.

Plus tôt samedi, une source militaire africaine jointe à Gao avait parlé de deux militaires maliens tués et d’un autre blessé. Elle avait exhorté les civils à la prudence, en estimant que d’autres mines pourraient être enfouies dans la région.

Le ministre malien des Forces armées invite les populations à redoubler de vigilance et à signaler le plus tôt possible aux unités les plus proches toute infiltration d’éléments suspects. Les forces armées (maliennes) et leurs alliés prennent toutes les mesures pour assurer la sécurité des personnes et de leurs biens, conclut le lieutenant-colonel Koné dans son communiqué.

En février, quatre Maliens avaient été tués lorsque leur véhicule avait sauté sur une mine entre la ville de Douentza (centre) et celle de Gao. D’après la gendarmerie malienne et un syndicat local de transporteurs, il s’agissait de civils qui rentraient d’un marché hebdomadaire. Fin janvier, deux soldats maliens avaient déjà été tués dans une explosion similaire sur la même route.

Le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), un des groupes islamistes armés ayant occupé pendant plusieurs mois en 2012 le nord du Mali, avait affirmé en février à l’AFP avoir posé des mines dans ces régions et avait revendiqué des attaques de convois militaires et l’utilisation de kamikazes.

Romandie.com avec (©AFP / 30 mars 2013 23h27)

François Hollande a enfin réalisé que sa cravate était de travers

décembre 28, 2012
François Hollande

François Hollande

« Pourquoi ne l’avez-vous pas dit avant ! »

Grosse révélation pour François Hollande lors de son voyage en Algérie la semaine dernière. Quand une responsable de la communication a indiqué au Président que sa cravate n’était pas droite, il aurait demandé, « énervé », pourquoi on ne lui avait pas dit plus tôt.

Depuis la dernière campagne présidentielle, il se passe quelque chose avec la cravate de François Hollande. Fugueuse, elle ne tient pas en place et va toujours se mettre sur le côté lorsqu’elle apparaît face aux caméras. Critiquée, décortiquée par de nombreux médias et largement moquée sur internet ( ici, un site un peu moqueur entièrement dédiée à l’accessoire fugueur) la petite pièce de tissu baladeuse est devenue un personnage à part entière, devenant encore plus célèbre que les manches inégalement relevées du Président. Forcément, on se demandait comment celui-ci avait fait pour ne pas se rendre compte que sa cravate ne filait pas droit.

Mais la semaine dernière, lors du déplacement de François Hollande en Algérie, c’était la fois de trop pour une responsable de la communication, qui est allée prévenir son patron. Paris Match, qui rapporte l’anecdote, raconte la réaction du compagnon de Valérie Trierweiler : celui-ci se serait mis à râler, et aurait répondu, « stressé » et « énervé » : « Pourquoi ne l’avez-vous pas dit avant, c’est votre métier ! » Au moins, maintenant, il est au courant.

Voici.fr par M.A

RDC: la situation dans le Masisi s’aggrave tous les jours

novembre 14, 2012
RDC: la situation dans le Masisi s'aggrave tous les jours RDC: la situation dans le Masisi s’aggrave tous les jours © AFP

Les conflits ethniques s’étendent dans la région du Masisi à l’ouest de Goma dans la République démocratique du Congo, délaissée par l’armée régulière qui se concentre plus au nord contre les rebelles du M23, a annoncé mercredi le service Jésuite des réfugiés (JRS).

Au moins 18 personnes ont été tuées depuis août, « prises au milieu du feu entrecroisé de groupes rebelles opposés », affirme dans un communiqué transmis à l’AFP, le JRS qui appelle les forces de maintien de la paix des Nations (Monusco) et l’armée congolaise à intervenir.

La plus grande partie des forces régulières ont été depuis mai dernier réorientées vers le nord de la région du Nord-Kivu où le M23 a conquis du terrain. Elles sont appuyées par les casques bleus des Nations unies dans le cadre de leur mandat de protection des population.

Mais dans le Masisi, « la population se sent abandonnée par les forces de la MONUSCO qui n’a pas réussi son mandat », affirme un membre JRS cité dans leur communiqué.

JRS, qui est dans la région depuis 2010, soutient cinq camps de réfugiés, apporte de l’aide d’urgence et appuie l’éducation. Il emploie une dizaine de personnes.

Selon ces religieux, plusieurs groupes armés représentant notamment les communautés hunde et hutu s’opposent violemment. Interrogé par l’AFP, Danilo Gianese, responsable de la communication a expliqué que l’armée congolaise avait quitté de nombreuses positions. « Ca laisse de l’espace aux groupes qui font des actions tous les jours » a-t-il dit. Refusant d’aborder les raison de ces exactions, Gianese a affirmé que « la situation se détériorait tous les jours ».

Fin septembre plusieurs villages hunde ont été incendiés par des membres de la milice Nyatura (hutu). Le 3 novembre, plusieurs femmes au champ ont été tuées à quelques km de Masisi et le 11 novembre un hutu a été tué à Ngote par une milice appelée Forces de défense du Congo, selon le JRS.

L’est de la RDC, notamment les deux régions des Sud et Nord Kivu, instable en raison des rivalités pour l’exploitation de ses ressources minières, est secoué depuis mai dernier par la rébellion du M23.

Ce mouvement est formé essentiellement d’anciens rebelles qui, après avoir été intégrés en 2009 dans l’armée congolaise, se sont mutinés et combattent depuis l’armée régulière dans la région du Kivu, frontalier du Rwanda et de l’Ouganda. Ces deux pays sont accusés par l’ONU de soutenir les rebelles, ce qu’ils démentent.

Jeuneafrique.com avec AFP

Sud-ouest ivoirien : huit civils tués dans l’attaque où ont péri sept Casques bleus

juin 9, 2012

Au moins huit civils, dont une femme, ont été tués selon l’ONU dans l’attaque menée vendredi dans le sud-ouest de la Côte d’Ivoire, qui a également fait sept morts parmi les Casques bleus nigériens et jeté samedi sur les routes des centaines de villageois fuyant les violences.

« Selon nos informations, au moins huit civils ont été tués, dont une femme », a déclaré à l’AFP Anouk Desgroseilliers, responsable de la communication du Bureau des Nations unies pour la coordination des Affaires humanitaires (Ocha) en Côte d’Ivoire. Sept Casques bleus nigériens de l’Opération des Nations unies dans le pays (Onuci) ont été tués, « première attaque de ce genre » perpétrée contre l’Onuci depuis son déploiement en 2004, selon la force onusienne.

Cette « embuscade » contre l’Onuci a eu lieu lors d’un assaut d’éléments « venus du Liberia » contre plusieurs villages ivoiriens situés au sud de la ville de Taï, qui pourrait avoir fait deux morts parmi les militaires ivoiriens patrouillant avec les Casques bleus, avait déclaré vendredi soir le ministre ivoirien délégué à la Défense, Paul Koffi Koffi. Dans cette région en proie depuis un an à des attaques attribuées à des forces fidèles à l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo et réfugiées au Liberia, les violences de vendredi ont provoqué d’importants déplacements de populations.

« Des centaines de personnes sont arrivées à Taï, et on peut penser que des milliers d’autres sont sur la route », a indiqué Mme Desgroseilliers. « Trente-cinq familles ont traversé la frontière » pour rejoindre le Liberia, a-t-elle ajouté. A Taï, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), notamment, est « sur place pour porter assistance aux déplacés et leur fournir de l’eau et un peu de nourriture », selon cette responsable de l’Ocha. « C’est vraiment la panique, le sauve-qui-peut, les gens prennent de petits baluchons et fuient (leurs villages) à pied » notamment vers Taï, a raconté à l’AFP le maire de cette ville, Désiré Gnonkonté, joint par téléphone depuis Abidjan. « Pourquoi c’est chez nous qu’on vient faire des morts? »

« On a peur »

« On a peur », a confié Madeleine Tagnon, représentante des femmes de Taï. « Pourquoi à chaque fois c’est chez nous qu’on vient faire des morts? Pourquoi tranquillement les miliciens traversent chaque fois la frontière pour venir nous tuer? » Des éléments de l’Onuci et de l’armée ivoirienne patrouillaient samedi dans la zone, a-t-elle affirmé. « J’ai marché en brousse avec mon enfant au dos, je ne sais pas où se trouve le reste de la famille », a raconté Ange Joëlle, une jeune femme arrivée dans le village de Glaro Ubor, dans l’est du Liberia.

Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon s’est dit vendredi « attristé et scandalisé » par la mort de Casques bleus. Il a indiqué que 40 autres soldats de la paix étaient restés « avec les villageois » dans la zone où a eu lieu l’attaque pour les protéger et qu’ils « étaient toujours en danger ». Des renforts devaient arriver samedi. Le Conseil de sécurité de l’ONU a exprimé sa « grave inquiétude » à propos de l’insécurité dans cette région.

Selon l’armée ivoirienne, des opérations militaires ivoiro-libériennes doivent avoir lieu à partir du 15 juin dans la zone frontalière, avec le soutien des missions de l’ONU dans ces deux pays. Région la plus instable de Côte d’Ivoire, l’Ouest est en proie à des attaques depuis la fin de la crise politico-militaire de décembre 2010-avril 2011, qui a fait quelque 3.000 dans le pays. Avant l’attaque de vendredi, ces raids avaient fait « au moins 40 » tués depuis juillet 2011, selon un rapport de l’ONG Human Rights Watch publié mercredi, qui accuse des forces pro-Gbagbo opérant depuis le Liberia et recrutant des « enfants ».

Jeuneafrique.com

Algérie : 19 morts et 30 blessés dans la chute d’un car dans un ravin

mars 25, 2012

Dix-neuf personnes ont été tuées et 30 autres blessées dans la  nuit de  samedi à dimanche dans la région de Tiaret (340 km à l’ouest d’Alger)   dans l’accident d’un autocar qui s’est renversé et fait une chute dans  un  ravin, a annoncé dimanche la protection civile.

« L’accident s’est produit vers 02h00 du matin (01h00 GMT) sur une route  nationale reliant Tiaret à Relizane, à hauteur de la localité de Guertoufa.  L’autocar s’est renversé et fait une chute dans un ravin », a déclaré à l’AFP le  responsable de la communication de la protection civile, le commandant Farouk  Achour. Les causes de cet accident n’ont pas encore été élucidées, a-t-il  précisé. Selon une source hospitalière locale, un Malien et un Nigérien sont sur  la liste des morts. L’autocar venait de la ville pétrolière de Hassi Messaoud et  se rendait à Oran (ouest), distante de près de 1.000 km.

L’Algérie est classée au 4e rang mondial des accidents de la route derrière  les Etats-Unis, l’Italie et la France et occupe la première place dans le  Maghreb et le monde arabe, selon des chiffres officiels. L’Algérie, dont la  population dépasse les 35 millions d’habitants, compte un parc automobile de  plus de quatre millions de véhicules, selon ces sources. Le pays a adopté en  janvier 2010 un nouveau code de la route durcissant les sanctions envers les  chauffards et introduit le permis à points pour lutter contre les accidents de  la route responsables de plus de 4.000 morts par an.

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