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Arabie saoudite : quelles sont les dix familles les plus riches du royaume ?

septembre 23, 2022

Poids lourd de la région Maghreb-Moyen Orient, l’Arabie saoudite pèse politiquement et diplomatiquement, mais aussi économiquement. Un poids incarné par de grands groupes et conglomérats familiaux. Jeune Afrique dresse la liste des dix dynasties les plus fortunées.

Lubna Olayan (à g.), ex-PDG du conglomérat Olayan Group, à Riyad, le 23 octobre 2018. © FAYEZ NURELDINE/AFP

Selon le classement Forbes 2022, près de 40 % des 100 familles les plus riches du monde arabe sont d’origine saoudienne. La monarchie wahhabite, qui détient 23 % des réserves pétrolières mondiales, a plus que jamais un rôle économique clé, notamment en Europe, avec la crise énergétique déclenchée par l’offensive russe en Ukraine.

L’Aramco, la compagnie pétrolière nationale, se dispute avec Apple, Microsoft et Amazon le titre de première capitalisation boursière de la planète. Un jour, le royaume présente un projet pharaonique de ville du futur – « The Line », qui réunirait 9 millions d’habitants à l’horizon 2045 sur une ligne droite de 170 km de long ! –, un autre, il se dit prêt à financer l’essentiel des coûts d’une Coupe du monde de football co-organisée avec la Grèce et l’Égypte. Mais au-delà de la famille régnante des Saoud, hormis le célébrissime clan Ben Laden, quelles sont les principales dynasties de l’opulent royaume ? Voici les dix principales, par ordre décroissant de fortune.

1) Famille Olayan – 8 milliards de dollars

Fait chevalier de l’Empire britannique par la défunte reine Elizabeth II, Suliman Olayan a joué un rôle fondamental dans l’économie saoudienne, de la création de son entreprise de transport routier, en 1947, jusqu’à sa mort, en 2002. Le groupe Olayan détient aujourd’hui un portefeuille d’actions dans de nombreuses banques, dont Crédit Suisse et Saudi British Bank.

Après le décès de son père, Khaled Olayan prend la tête du conseil d’administration et sa sœur Lubna Olayan, ancienne banquière chez JP Morgan, dirige le groupe jusqu’en 2019. Avec leur mère et le reste de leur fratrie, la famille Olayan détient une fortune estimée à 8 milliards de dollars, avec des propriétés immobilières dans les quartiers les plus huppés de New York, Londres et Madrid. Les héritiers Olayan ont également investi en France. Hutham Olayan, l’une des filles, possède avec son mari et ses enfants des biens dans le 7e arrondissement de la capitale, non loin du musée Maillol. Lubna Olayan en a quant à elle acheté dans le sud de la France, dans les hauteurs de Super-Cannes.

2) Famille Abu Dawood – 4 milliards de dollars

Originaire de Jeddah, la deuxième ville du pays située au bord de la mer Rouge, Ismaïl Ali Abu Dawood crée en 1935 une entreprise de vente de produits de grande consommation. Plus de quinze ans après le décès de son fondateur, le groupe Abu Dawood, aujourd’hui dirigé par ses fils, est devenu un leader de la distribution au Moyen-Orient, notamment avec les produits de la multinationale américaine Procter & Gamble (Head & Shoulders, Always, Pampers, Gillette…).

En France, les héritiers du groupe Abu Dawood se partagent plusieurs résidences, notamment dans les villages frontaliers de la Suisse, comme Divonne-les-Bains, à quelques kilomètres de Genève. Pour gérer ces nombreuses acquisitions foncières, Anas, Osama, Ayman Abu Dawood et leurs frères et sœurs ont créé plus d’une dizaine de sociétés aux noms de gemmes : Rubis, Topaze, Perle noire, Jade ou encore Cristal. Quant à Anas Abu Dawood, l’un des héritiers siégeant au conseil d’administration du groupe, il a ouvert avec son épouse, Awatif Hamed M Zahran, une entreprise parisienne au nom du monarque valois, Anasim François Ier.

3) Famille Al Ajlan – 2,6 milliards de dollars

Réputée pour la manufacture et la vente de prêt-à-porter masculin, la compagnie Ajlan & Bros a également investi dans l’immobilier en Arabie saoudite et à l’international. Le groupe tient notamment sa renommée de ses coiffes traditionnelles masculines, le yashmagh et la ghutra.

Les quatre frères Al Ajlan ouvrent en 1979 une boutique à Riyad et deviennent au fil des décennies des leaders du prêt-à-porter saoudien, avec de nombreuses usines et plus de 10 000 employés en Chine. Avec une fortune estimée à 2,6 milliards de dollars, les frères Al Ajlan ont effectué des placements dans d’autres secteurs stratégiques, comme l’énergie, l’eau et l’alimentaire au Moyen-Orient.

4) Famille Bugshan – 2,5 milliards de dollars

Khalid Bugshan est plus connu en France pour sa potentielle implication dans l’affaire des financements libyens que pour la vente de pneus, l’activité historique de son groupe. Mis en examen depuis 2015 pour « complicité de corruption », il est soupçonné d’avoir acheté deux tableaux surévalués à l’ancien ministre de l’Intérieur de Nicolas Sarkozy, Claude Guéant, par le biais d’un avocat malaisien. L’homme d’affaires saoudien a toujours nié, et a déposé en mai 2021 une plainte pour se constituer partie civile. Un autre membre de la famille, son cousin Ahmed Bugshan, fait lui aussi l’objet de poursuites dans le même dossier. De plus, le nom de Khalid Bugshan apparaît dans l’affaire Karachi, concernant des contrats d’armement avec l’Arabie saoudite et le Pakistan en 1994.

La famille Bugshan possède un conglomérat industriel très varié au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. La compagnie, de vente de pneus à l’origine, a été fondée par Abdullah Saïd Bugshan, grand-père de Khalid Bugshan, en 1923. Les dix-sept sociétés du groupe vont de la distribution des produits PepsiCo dans la région aux parfums en passant par les pharmacies et matériaux de construction. Fratrie de neuf enfants, la famille Bugshan est propriétaire d’un important parc immobilier dans l’Hexagone, de la célèbre avenue Foch (16e arrondissement de Paris) aux hauteurs cannoises, prisées par les fortunes saoudiennes. L’hôtel 4 étoiles Croisette Beach, sur la promenade éponyme, est l’une de leurs dernières acquisitions.

5) Famille Al Hokair – 1,8 milliard de dollars

Abdulmohsin Abdulaziz Al Hokair fonde en 1978 le groupe Al Hokair, se spécialisant dans l’hôtellerie et le divertissement, en Arabie saoudite et dans l’ensemble du monde arabe. Aujourd’hui, le groupe possède plus d’une trentaine d’hôtels, de nombreux parcs d’attractions et centres commerciaux.

La fortune de la famille Al Hokair – qui n’a pas de relation avec l’autre milliardaire saoudien Fawaz Al Hokair, impliqué dans la répression anti-corruption opérée par Mohammed Ben Salman en 2017 – est estimée à 1,8 milliard de dollars.

6) Famille d’Ahmed Salem Bugshan – 1,8 milliard de dollars

Cousin de Khalid Bugshan, Ahmed Salem Bugshan est président d’une autre filiale de l’entreprise de pneus Abdullah Bugshan fondée par son grand-père. Le groupe Ahmed Salem Bugshan s’occupe notamment de la mise en bouteille des produits Pepsi et de leur distribution en Arabie saoudite, produit des matériaux de construction, et a investi dans l’exploitation pétrolière au large de la Mauritanie.

Comme son cousin, Ahmed Bugshan est soupçonné de complicité dans l’affaire des financements libyens de la campagne de l’ancien président Nicolas Sarkozy. Ahmed et Khalid Bugshan ont notamment confié pendant un temps la gestion de leurs finances à Wahib Nacer. Cet ancien banquier franco-djiboutien aurait masqué des montages financiers pour Alexandre Djouhri, intime de Claude Guéant.

7) Famille Sharbatly – 1,7 milliard de dollars

Hassan Sharbatly, fondateur de la Riyad Bank dont le groupe est demeuré actionnaire, développe dans les années 1930 l’ancêtre de la compagnie Al Nahla. La holding saoudienne détient un portefeuille d’investissement très varié, dans l’immobilier, mais aussi le secteur automobile ou encore la vente de fruits et légumes dans le Golfe.

8) Famille Al Rashed – 1,6 milliard de dollars

Fondé en 1950, le groupe Al Rashed se consacre à ses débuts aux matériaux de construction, avant de se diversifier dans l’investissement immobilier, les hydrocarbures, mais aussi l’alimentaire, les industries de télécommunications…

La famille Al Rashed, aujourd’hui à la tête d’un conglomérat de vingt-six compagnies, est l’un des plus gros investisseurs privés de la pétro-monarchie. Comme la famille Abu Dawood, l’un des héritiers de Rashed Al Rashed a lui aussi été attiré par la ville thermale de Divonne-les-Bains, à la frontière suisse.

9) Famille Al-Dabbagh – 1,5 milliard de dollars

Établi en 1962 par Abdullah Al-Dabbagh à Jeddah, le groupe a notamment investi dans les secteurs de l’alimentaire, du pétrole, de l’automobile et de l’immobilier.

D’après l’agence de presse Reuters, le PDG et président du groupe Amr Al-Dabbagh fait partie des personnalités saoudiennes assignées à résidence en 2017 par les autorités du pays, dans le cadre de la campagne anti-corruption dirigé par Mohammed Ben Salman. Le prince héritier avait alors ordonné l’arrestation et la détention de deux cents personnes au Ritz-Carlton de Riyad.

10) Famille Jameel – 1,5 milliard de dollars

Fondé en 1945, le groupe familial Abdul Latif Jameel était à l’origine le distributeur de Toyota en Arabie saoudite. Il s’est ensuite développé à l’international et est présent dans plus de 30 pays. Le groupe a investi dans de nombreux domaines, tout en continuant à s’étendre dans celui de l’automobile. La famille Jameel s’est récemment lancée dans les énergies renouvelables.

Avec Jeune Afrique par Jeanne Le Bihan

Madagascar-Une île pauvre : Condamnée à un avenir radieux

octobre 1, 2021

Tous les  experts sont unanimes : Madagascar regorge de ressources naturelles (uranium, titane, nickel, pétrole). L’or et les pierres précieuses les plus  recherchées  dans le  monde ont  fait la fortune de  tous  les trafiquants locaux  et étrangers sans que la population bénéficie des retombées financières…Selon  des sources crédibles, l’île  vit dans un  contexte politique que la pandémie avait perturbé jusqu’à presque paralyser le pays. Situation  qui  a permis à une opposition  sans ossature réelle ni  institutionnelle de traiter Andry Rajoelina et  son  équipe de  tous les  noms avec une  forte  dose  de mauvaise  foi pour faire  de l’agitation.  Avec  des  intentions insurrectionnelles à peine  cachées.

L’actuel  Chef  de l’Etat n’a jamais caché ses intentions de ne plus compter désormais qu’uniquement  sur nos propres  ressources pour développer le pays. Avec les succès récents de ses bonnes relations positives avec les partenaires techniques et financiers internationaux, ses détracteurs l’accusent alors (à tort bien  entendu) de double langage et de démagogie. Ironie  du  sort et  comme pour  donner  raison à Andry  Rajoelina, la  Banque Mondiale  comme le Fonds Monétaire International (F.M.I) viennent d’octroyer des  enveloppes consistantes et  des allocations de plusieurs millions  de  dollars dans  des conditions favorables au  système en place…

Dans les  rangs  des éternels agitateurs de  service, on digère mal le  fait que dans le contexte des dures réalités post-coronavirus très  critiques, l’aide exceptionnelle du FMI  sous la  forme d’un « don non remboursable » de 332 millions  de  dollars de  Droits  de  Tirage Spéciaux  en  date  du 23 septembre dernier pour la République de Madagascar s’ajoute au financement de 312,4 millions de dollars du Fonds Monétaire International au titre de la Facilité Elargie de Crédit (FEC) du mois  de mars dernier. C’est une  énorme bouffée  d’oxygène alors qu’en face on attendait à une paralysie  économique du  régime. Le pouvoir  en place obtient ainsi  le  feu  vert pour les projets de développement dans différents secteurs (infrastructures, énergie renouvelable, protection sociale,  surtout les adductions d’eau dans le Sud et de lutte contre la malnutrition).

Avec toutes les bonnes cartes entre les mains, Madagascar a  bon  espoir pour le  bien-être de ses habitants. A une  seule  condition : maintenir le cap de la bonne  gouvernance débarrassée des brebis  galeuses de la  République.

Avec La Gazette de La Grande Ile par Noël Razafilahy

Les plus riches ont accaparé 82% de la richesse mondiale créée en 2017

janvier 21, 2018

Une mappemonde exposée lors de la COP23 à Bonn, en Allemagne, le 7 novembre 2017 / © dpa/AFP / Oliver Berg

82% de la richesse créée l’an dernier dans le monde a terminé entre les mains du 1% le plus riche de la population de la planète, les femmes payant le prix fort de ces inégalités, a dénoncé lundi l’ONG Oxfam.

« Le boom des milliardaires n’est pas le signe d’une économie prospère, mais un symptôme de l’échec du système économique », a affirmé la directrice d’Oxfam Winnie Byanyima, lors de la publication du rapport intitulé « Récompenser le travail, pas la richesse » à la veille de l’ouverture du World Economic Forum (WEF) à Davos.

« On exploite les personnes qui fabriquent nos vêtements, qui assemblent nos téléphones portables et cultivent les aliments que nous mangeons, afin de garantir un approvisionnement constant en produits pas chers, mais aussi pour grossir les profits des entreprises et leurs riches investisseurs », s’est-elle insurgée, citée dans un communiqué.

Selon le rapport d’Oxfam, 3,7 milliards de personnes, soit 50% de la population mondiale, n’a pas touché le moindre bénéfice de la croissance mondiale l’an dernier, alors que le 1% le plus riche en a empoché 82%.

Depuis 2010, c’est-à-dire peu après le début de la crise en 2008, la richesse de cette « élite économique » a augmenté en moyenne de 13% par année, a précisé Oxfam, avec un pic atteint entre mars 2016 et mars 2017, période où « s’est produit la plus grande augmentation de l’histoire en nombre de personnes dont la fortune dépasse le milliard de dollars, au rythme de 9 nouveaux milliardaires par an ».

Pour Oxfam, les ouvrières se retrouvent « tout en bas de la pyramide ». « Dans le monde entier, les femmes gagnent moins que les hommes et elles sont sur-représentées dans les emplois les moins bien payés et les plus précaires », constate-t-elle. « De la même manière, sur 10 nouveaux milliardaires, 9 sont des hommes », a-t-elle ajouté.

L’ONG, qui publie traditionnellement un rapport sur les inégalités juste avant que l’élite économique ne se réunisse à Davos (Suisse), lance un appel aux dirigeants pour que « l’économie fonctionne pour tous et pas uniquement pour une riche minorité ».

Elle préconise la limitation des dividendes pour les actionnaires et les dirigeants d’entreprises, la fin de « la brèche salariale » entre hommes et femmes, ainsi que la lutte contre l’évasion fiscale.

Selon un sondage réalisé pour Oxfam auprès de 70.000 personnes dans 10 pays, diffusé à l’occasion de la publication du rapport, les deux tiers des personnes interrogées estiment « urgent » de traiter « la brèche entre riches et pauves.

Ce sondage a été réalisé en Inde, au Nigéria, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, au Mexique, en Afrique du Sud, en Espagne, au Maroc, aux Pays-Bas et au Danemark.

Romandie.com avec(©AFP / 22 janvier 2018 00h11)                

La richesse mondiale augmente, le nombre de millionnaires aussi (étude)

novembre 14, 2017

Zurich (awp) – La fortune mondiale a nettement progressé en 2017, portée par l’envolée des marchés actions mais aussi d’autres actifs non-financiers, a constaté mardi Credit Suisse dans son huitième « Global Wealth Report 2017 ». Le nombre de millionnaires n’a également cessé de croître, principalement aux Etats-Unis, mais aussi en Europe et en Asie. Cette tendance doit se poursuivre à moyen terme.

Après avoir enregistré des taux de croissance à deux chiffres avant la crise financière, la progression de la richesse mondiale a marqué le pas à partir de 2008 et a même été négative en 2014 et 2015. Depuis 2016, le taux de croissance a modestement progressé de 3,9% et a atteint 6,4% en 2017, a résumé la banque aux deux voiles dans son étude annuelle.

Pendant la période sous revue, soit de mi-2016 à mi-2017, les avoirs mondiaux ont augmenté de 16’700 mrd USD à 280’000 mrd. La hausse a été particulièrement forte en Amérique du Nord (+9,9%), qui concentre la plus grande part des richesses mondiales, en Inde (+9,9%), en Europe (+6,4%) et en Chine (+6,3%), mais a été plutôt modeste en Asie-Pacifique (+0,7%) et en Afrique (+0,9%).

Par pays, les plus importants taux de croissance de la richesse ont été enregistrés aux Etats-Unis, en Chine, en Allemagne, en France et en Australie.

Les avoirs financiers ont principalement porté cette croissance, là aussi essentiellement en Amérique du Nord, représentant la moitié de la croissance enregistrée cette année.

ENCORE PLUS DE RICHES

Le nombre de millionnaires a quant à lui augmenté de 2,3 mio à 36,1 mio de personnes, dont près de la moitié aux Etats-Unis. En Europe, l’appréciation de l’euro face au dollar a également relevé le nombre de millionnaires (en billet vert) de 620’000 en Allemagne, en France, en Italie et en Espagne. Quelque 200’000 nouveaux riches sont venus étoffer l’Australie et autant la Chine.

A l’inverse, le Royaume-Uni a perdu 34’000 millionnaires et le Japon 300’000 en raison principalement d’effets de change négatifs.

En Suisse, la fortune des ménages a bondi de 35% depuis 2000, correspondant à une croissance annuelle de 1,8%. Avec des avoirs moyens par adulte de 528’000 CHF en 2017, les Helvètes restent les plus riches au monde, selon l’étude.

Plus de deux-tiers des adultes vivant en Suisse disposent d’un patrimoine supérieur à 100’000 USD et 8,8% d’entre-eux sont millionnaires en dollars. L’établissement zurichois estime que 2780 personnes établies dans le pays affichent une fortune supérieure à 50 mio USD, qui dépasse 100 mio pour 1070 d’entre-eux.

Le taux de croissance de la fortune mondiale devrait rester à peu près identique sur les cinq prochaines années, la richesse totale devant atteindre 341’000 mrd USD en 2022. Le nombre de millionnaires doit quant à lui atteindre 44 mio et celui des ultra-riches (UHNWI) 193’000.

Romandie.com avec (AWP / 14.11.2017 14h30)

Zambie/Une mère de 52 ans Avoue: ”Je couche avec mon fils chaque mercredi pour maintenir sa richesse »

août 10, 2016

  Une mère de 52 ans Avoue: ”Je couche avec mon fils chaque mercredi pour maintenir sa richesse”

Âgée de 52 ans, une femme zambienne appelée Banda Yvonne, a déclaré avoir des relations sexuelles avec son fils afin de maintenir sa richesse.

Elle déclare qu’elle a des relations sexuelles avec son fils Abel tous les mercredis, depuis 14 ans. Elle ajoute que  le jour où elle arrêtera, son fils va perdre sa richesse et mourir mystérieusement.

Yvonne, originaire de Ndola, a confié ZambiaWatchDog qu’elle est le principal pilier de la réussite de son fils en s’offrant à lui une fois par semaine selon les instructions du sorcier dont il a fait recours pour être riche.

Par ailleurs, elle ajoute qu’une fois, elle a confessé son vice à l’église et le pasteur de Grande-Uni church aurait prié pour elle.

Malgré cette la confession et la prière qui s’en est suivie, elle avoue avoir continué à entretenir cette relation incestueuse avec son fils de peur qu’il ne souffre et ne meure.

“je couche avec mon fils, Abel depuis 2002 quand il a commencé son entreprise de transport. Son chiffre d’affaire a augmenté considérablement. Aujourd’hui,  il possède des camions, des bus et autres petites voitures.

“Nous avons des rapports sexuels tous les mercredis et nous le faisons dans ma maison où une potion magique a été enterrée.”

“Quand je cesserai de coucher avec lui, toute notre richesse durement gagnée va disparaître et mon fils va mourir d’une mort très douloureuse.” Présage Yvonne.

Imatin.net

Angola: Kilamba, une ville nouvelle en quête d’habitants

janvier 2, 2013

Kilamba, nouvelle ville construite en Angola avec le pétrole fait la fierté de cette manne, don gratuit et précieux. Une réalisation, sans précédent, en Afrique, qui doit faire réfléchir tous les pays prducteurs de l’or noir.

Avec ses 700 logements, chacun de huit étages, les Angolais peuvent fournir des efforts, malgré leur maigres salaires – dans un pays où la population vit avec moins d’un dollar par jour -, s’offrir le luxe d’acquisition d’un logement de type moderne afin de vivre dans des conditions décentes, grâce à cette richesse du sous-sol même si la gestion n’est pas souvent transparente.

Mais ce troc angolo-chinois: « contruis-moi des logements et je te donnerais en retour du pétrole, vaut la peine et sans peson d’or ». Il faut seulement dans ce genre de contrat veiller à l’équivalent de la quantité qui doit revenir pour compenser le nombre de logements. Au demeurant si vous n’avez pas la capacité technique requise et un contrôle efficace des barils, le contrat sera toujours léonin. Au moins, dans le cas d’espèce, des réalisations ont été livrées, clés à la main, et vues par tout le monde.

A chaque Angolais et pays producteurs de pétrole, en Afrique, d’apprécier cet acte que vient de poser les autorités angolais avec l’or noir.

Bernard NKOUNKOU

Les 10 actrices les mieux payées en 2011

juillet 7, 2011

1 – Angelina Jolie a gagné 30 millions de dollars.
Avec quelques films à gros budgets : Salt et The tourist (aux côté de Johnny Depp), ainsi que sa première réalisation de fiction, dont elle a écrit le scénario In the Land of Blood and Honey, sur un amour impossible durant la guerre de Bosnie, Angelina s’installe tranquillement à la première place de ce classement Forbes.

2 – Sarah Jessica Parker a gagné 30 millions de dollars.
Sex and the City est décidement un fond de commerce fructueux. Entre les rediffusions TV de la série dont elle est l’actrice principale et l’une des productrices, et le second long métrage qui en est adapté, Sarah Jessica Parker talonne facilement la première place détenue par Angelina.

3 – Jennifer Aniston a gagné 28 millions de dollars.
Trois films, trois comédies, trois gentils succès et une apparition dans un épisode de Cougar Town, Jen Bénéficie toujours d’une aura dorée à Hollywood.

4 – Reese Witherspoon a gagné 28 millions de dollars.
Les bluettes Comment savoir et De l’eau pour les éléphants, mais aussi son activité de productrice (This means War, de McG, dans lequel elle tient l’un des rôles principaux, prévu sur les écrans américains le 17 février prochain) permettent à la belle texane de jouer dans la cour des grands.

5 – Julia Roberts a gagné 20 millions de dollars.
Celle qui pendant lontemps a trusté la première place de ce classement, est aujourd’hui 5e, grâce à Valentine’s Day, Mange, Prie, aime et le tournage de Il n’est jamais trop tard face à Tom Hanks.

6 – Kristen Stewart a gagné 20 millions de dollars.
Entre les épisodes de la saga Twilight et sa performance sous les traits de Joan Jett dans Runaways, son absence au sein de ce top 10 aurait été inexplicable.

7 – Katherine Heigl a gagné 19 millions de dollars.
Ses ultimes collaborations à la série Grey’s anatomy, et deux comédies romantiques Kiss and kill et Bébé, mode d’emploi (dont elle également la productrice) propulse la pétillante Heigl à la 7e place.

8 – Cameron Diaz a gagné 18 millions de dollars.
Elle nous avait habitué à un classement plus élevé. Ll’ex mannequin clôt – toutes proportions gardées – une petite année où, à l’exception d’un poussif film d’action aux côtés de Tom Cruise, Night and Day – la belle aura « seulement » prêté sa voix à la princesse Fiona de Shrek 4, il était une fin; une opération qui reste extêmement rentable

9 – Sandra Bullock a gagné 15 millions de dollars.
Avec deux films en préparation, Extremely Loud and Incredibly Close par le réalisateur de Billy Elliot, Stephen Daldry, aux côtés de Tom Hanks et Gravity, sous la direction d’Alfonso Cuaron aux côtés de George Clooney.

10 – Meryl Streep a gagné 10 millions de dollars.
Une apparition récurente dans la série Web Therapy et son interprétation de Maragret Thatcher, dans The Iron Lady, installel’une des plus grandes actrices hollywoodiennes à la dixième et ultime place de ce classement.

L’Express.fr par Iris Mazzacurati

A l’ombre de la captivité

septembre 30, 2010

Otage du désert
oasis privé de liberté
dans la matrice de la terre
Ma vie de solitaire
dans la captivité
sonne le glas mortuaire
dans la nudité des dunes
semée de vaste champ
de sable sans fin
Mon silence prisonnier
du temps d’assaut
ne peut crier victoire
car je suis le prix
de la rançon monnayable
aux fins de la pitié
la source de richesse
pour prolonger la résistance
jusqu’à mon dernier souffle.

Bernard NKOUNKOU