Posts Tagged ‘Rihanna’

Rihanna revient sur scène, au Super Bowl

février 13, 2023
Rihanna sur scène.

Rihanna était la tête d’affiche du spectacle de la mi-temps. Photo : AFP via Getty Images/Angela Weiss

Rihanna a régalé le public de ses plus grands succès, dimanche soir, à la mi-temps du Super Bowl. Un représentant de la chanteuse a annoncé qu’elle était de nouveau enceinte, comme le suggérait son ventre rebondi qui a enflammé les réseaux sociaux pendant sa prestation.

Un représentant de l’artiste a indiqué au site du magazine The Hollywood Reporter que la vedette attendait son deuxième enfant, moins d’un an après la naissance de son fils, le 13 mai 2022, dont le père est le rappeur A$AP Rocky.

Très attendue, six ans après son dernier concert, l’artiste de 34 ans est apparue en lévitation sur une plateforme suspendue au-dessus du terrain du State Farm Stadium de Glendale (Arizona), où se jouait la finale de la NFL.

Celle qui a pris par surprise la pop mondiale il y a près de 18 ans avec son premier succès imparable Pon de Replay a enchaîné quelques-uns de ses 14 titres numéro un aux États-Unis, dont WorkWe Found LoveUmbrella ou Diamonds.

Rihanna performe lors du spectacle de la mi-temps du Super Bowl 2023.

Le spectacle de Rihanna était fortement attendu, elle qui effectuait un retour sur scène après de nombreuses années. Photo : Getty Images/Mike Coppola

Vêtue d’une combinaison rouge et d’un manteau assorti, Rihanna évoluait au milieu de plusieurs centaines de danseurs, tous habillés en combinaison blanche intégrale, certains sur des plateformes surélevées, d’autres sur le terrain même.

Si elle a effectué quelques mouvements de danse, la première milliardaire à assurer le spectacle du Super Bowl (1,4 milliard de dollars de fortune personnelle) a livré une prestation sobre, inhabituelle pour le feu d’artifice qu’est ordinairement ce rendez-vous annuel.

La chanteuse n’a pas non plus accueilli d’invité, une autre rareté pour ce spectacle durant lequel même Beyoncé, en 2016, avait partagé l’affiche avec Coldplay et Bruno Mars.

Plus que la liste des chansons ou la chorégraphie, les admirateurs ont surtout commenté le physique de Rihanna, dont la tenue moulante laissait entrevoir son ventre arrondi.

Performance de Rihanna au Super Bowl LVIIRihanna a débuté le spectacle de la mi-temps sur une plateforme suspendue dans les airs.

Rihanna a débuté le spectacle de la mi-temps sur une plateforme suspendue dans les airs. Photo : Getty Images/Ezra Shaw

RiRi enceinte?, a tweeté Holley Ford, journaliste de la chaîne NBC à Dallas.

Rihanna est peut-être enceinte, mais elle a peut-être aussi simplement le corps d’une femme qui a récemment accouché, a prévenu, également sur Twitter, Alexa Lardieri, de New York, avant qu’un porte-parole de Rihanna ne mette fin au suspense.

Radio-Canada avec AFP

Rihanna enceinte : qui est son compagnon, ASAP Rocky ?

février 4, 2022

Rihanna enceinte : qui est son compagnon, ASAP Rocky ?

C’est la bonne nouvelle de la journée : Rihanna a annoncé lundi 31 janvier 2022 attendre un enfant avec son compagnon, le rappeur A$AP Rocky. Un homme au parcours hors norme qui est passé, selon Gala, de l’enfer de la rue aux paillettes de la scène.

Carnet rose pour Rihanna : la chanteuse attend son premier enfant. Depuis qu’elle est apparue dans les rues de New-York affichant fièrement son « baby bump », c’est toute la Toile qui est en folie et se réjouit de la nouvelle, lundi 31 janvier 2022. Et c’est le photographe Miles Diggs, spécialisé dans les clichés de célébrités, qui a partagé les photos de la jeune femme, rayonnante, toute de rose vêtue dans un look très osé. En plein hiver, la chanteuse de 33 ans a choisi de ne pas vêtir son ventre afin de dévoiler aux yeux du monde entier sa grossesse. C’est main dans la main avec son compagnon A$AP Rocky que celle qui fut élue personnalité humanitaire de l’année en 2017, lumineuse, a officialisé cet heureux événement. Depuis un an, Rihanna est officiellement en couple avec le rappeur, qui est aussi polyvalent que sa conjointe : auteur, compositeur, et mannequin, ce New-Yorkais de 33 ans est aussi producteur.

Avant le succès, le parcours d’un combattant

Il est aujourd’hui l’un des rappeurs les plus reconnus et influents du monde. Mais la vie n’a pas été un long fleuve tranquille pour le jeune Rackim (son véritable prénom). Son enfance a été douloureusement hors norme : lorsqu’il a 13 ans, son frère est assassiné dans une rue d’Harlem, et son père est incarcéré pour trafic de drogue, comme le rappelle Gala. Le jeune homme va donc se retrouver à la rue, enchaînant les squats et les abris de SDF. Par la suite, Rackim va connaître toutes les douleurs de la rue : les bagarres (à cause desquelles il sera arrêté et même emprisonné en Suède en 2019), les addictions au sexe et à tout type de drogue dure, les overdoses de membres de son entourage (amis et famille). Mais le rap va offrir à cet enfant perdu un échappatoire salutaire. En parallèle de son quotidien de vendeur dans le prêt-à-porter, A$AP Rocky enregistre des titres et rencontre peu à peu le succès tant attendu. C’est son morceau Purple Swag qui va le propulser au rang de star. Repéré par Sony et RCA, il enchaîne alors les tubes et les collaborations avec des stars telles que Drake, Kendrick Lamar ou encore Lana Del Rey. Sa célébrité dépasse les frontières de la musique lorsqu’il devient égérie de la maison Dior en 2016 et ambassadeur de plusieurs marques telles que Guess, Zalando ou encore Calvin Klein. La mode devient alors pour lui une passion qu’il peut désormais partager avec la mère de son futur enfantUne vie faite d’aspérités douloureuses mais aussi de résilience.

Avec Femme Actuelle par Écrit par Rose-Marie Gérard

Rihanna entre dans le club des milliardaires

août 4, 2021

La fortune de la star est estimée à 1,7 milliard de dollars par « Forbes », mais n’est en rien due à ses performances artistiques.

Rihanna n'a pas sorti d'album depuis 2016 mais reste la chanteuse la plus riche du monde.
Rihanna n’a pas sorti d’album depuis 2016 mais reste la chanteuse la plus riche du monde.© OSCAR GONZALEZ / NurPhoto / NurPhoto via AFP

Alors que le monde de la musique et du spectacle a payé un lourd tribut à la pandémie de Covid-19, Rihanna, elle, n’a pas connu la crise. Selon le classement Forbes des personnalités les plus riches du monde, la chanteuse conserve non seulement sa première place dans la catégorie des artistes féminines, mais elle explose les records, devenant même officiellement milliardaire. Selon le magazine américain, sa fortune atteindrait désormais 1,7 milliard de dollars. Un chiffre qui a plus que doublé depuis 2020, lorsque Rihanna avait pris la tête du classement avec 600 millions de dollars, et qui ridiculise les 360 millions de dollars de Taylor Swift, première du classement en 2019.

Mais ce n’est pas grâce à la musique que la Barbadienne entre dans le club des milliardaires, mais à ses talents de femme d’affaires et d’influenceuse. Elle a en effet réussi à capitaliser sur sa popularité sur les réseaux sociaux (101 millions de followers sur Instagram, 102,5 millions sur Twitter), pour lancer une marque de produits de beauté : Fenty Beauty. Celle-ci est détenue à parts égales par Rihanna et LVMH et mise sur une large gamme adaptée à toutes les couleurs de peau.

Pandémie et cours en bourse

Ces produits ont connu un succès croissant depuis leur lancement en 2017 et l’entreprise est désormais cotée à 2,8 milliards de dollars, soit 1,4 milliard de dollars pour Rihanna. Car paradoxalement, si les ventes de produits de beauté ont ralenti pendant la pandémie, la valeur boursière des sociétés du luxe a bondi. Idem pour la marque de lingerie détenue à 30 % par la star, Savage x Fenty, qui a atteint une valeur d’un milliard de dollars. De quoi éclipser l’échec de sa marque de prêt-à-porter qui n’a pas survécu à la pandémie, fermant en novembre 2020. Reste à savoir s’il faut qualifier Rihanna de businesswoman ou de chanteuse, alors qu’elle n’a pas sorti un album depuis 2016.

Par Le Point avec AFP

Sénégal: Rihanna déclarée « persona non grata » par des associations religieuses

février 1, 2018

 

La chanteuse Rihanna à Londres, en septembre 2017. © Vianney Le Caer/AP/SIPA

Annoncée vendredi au Sénégal, la chanteuse n’est pas la bienvenue aux yeux d’une trentaine d’organisations religieuses réunies au sein du collectif « Non à la franc-maçonnerie et à l’homosexualité ». Certains de ses membres la soupçonnent en effet d’appartenance maçonnique…

Rihanna persona non grata au Sénégal ? C’est en tout cas la revendication du Collectif « Non à la franc-maçonnerie et à l’homosexualité », qui a appelé les autorités à annuler la visite de la star. La chanteuse originaire de la Barbade est attendue vendredi dans la capitale sénégalaise pour la conférence de financement du Partenariat mondial pour l’éducation (PME), selon les médias locaux. Une conférence qui sera coprésidée par le président Macky Sall et son homologue français Emmanuel Macron.

Nous manifesterons dès sa sortie de l’avion. Et s’il le faut, nous irons devant l’Assemblée, le ministère de l’Intérieur ou la présidence

Cet événement, auquel Rihanna est associée en tant qu’ambassadrice mondiale du PME, doit permettre de réunir des fonds en vue d’investir dans l’éducation dans les pays en développement. A priori consensuelle, l’arrivée de la star a toutefois fait bondir la trentaine d’associations religieuses, essentiellement islamiques, réunies au sein du collectif « Non à la franc-maçonnerie et à l’homosexualité ». Dans son communiqué diffusé dimanche, le collectif a estimé que Rihanna était « porteuse de plusieurs dangers socio-culturels ».

Rihanna, une Illuminati ?

Comment Rihanna s’est-elle ainsi retrouvée sous le feu des critiques, dans le supposé très tolérant pays de la Teranga ? Diffusée depuis quelques jours sur la Toile, une vidéo promet de dévoiler le « complot » autour de sa visite au Sénégal. Celle-ci prétend expliquer comment « son voyage a été orchestré en complicité avec le gouvernement pour dérouler un programme éducatif qui vise à faire des futures générations de fidèles disciples de Satan ».

L’accusation pourrait prêter à sourire si elle ne trouvait un certain écho auprès d’organisations religieuses dont certaines, comme Jamra, se livrent régulièrement à un lobbying efficace auprès des autorités. »

« Rihanna ne s’en cache pas : elle fait partie des Illuminati, qui est une branche de la franc-maçonnerie, estime Cheikh Oumar Diagne, en charge de la communication du collectif. D’ailleurs, sa venue coïncide étrangement avec la date initialement prévue des Rencontres humanistes et franc-maçonniques africaines et malgaches (Rehfram) [qui devaient se tenir à Dakar]. À nos yeux, il s’agissait d’une tentative de diversion destinée à cacher à l’opinion publique la tenue de cette rencontre de francs-maçons. »

« Le hub de la perversion universelle »

La 26e édition des Rehfram était effectivement prévue les 2 et 3 février dans un grand hôtel la capitale sénégalaise. Mais l’événement a finalement été annulé, mi-janvier, sous la pression du collectif. La direction du King Fahd Palace, qui devait accueillir le grand raout annuel de la franc-maçonnerie africaine, n’avait eu d’autre choix que de jeter l’éponge, « en raison des menaces de troubles à l’ordre public ».

A LIRE – Sénégal : une rencontre maçonnique annulée sous la pression d’organisations religieuses

Loin de se contenter de cette victoire, le collectif a organisé le 28 janvier une réunion publique à la mosquée de l’aéroport de Dakar-Yoff. Objectif : « Échanger sur les voies et moyens à mettre en œuvre en vue de faire face aux agressions terroristes que les francs-maçons et leurs acolytes homosexuels ont déclenchée depuis un certain temps contre le Sénégal, dans le but inique et sournois de faire de notre cher pays un hub de la perversion universelle. »

Une surenchère verbale à laquelle s’est associée Serigne Mame Doudou Sy, le propre fils du khalife général des Tidianes, l’une des deux principales confréries religieuses au Sénégal. Dans une interview filmée par le collectif d’associations religieuses anti-maçonniques, il déclare : « Si j’en avais le pouvoir, je financerais des jeunes pour traquer les homosexuels, les découper et les enterrer. » Idem pour les francs-maçons.

Le silence prudent des organisateurs

Du côté de la Conférence des puissances maçonniques africaines et malgaches (CPMAM), qui organise les Rehfram, on observe un silence prudent. « Nous nous exprimerons bientôt », assure une source interne qui préfère conserver l’anonymat. Pour l’instant, seul le Grand Orient de France a choisi de réagir, dénonçant, le 26 janvier, les « menaces proférées par des groupes extrémistes ».

« Des forces obscurantistes, dévoyant les principes mêmes qui sont au cœur de toute démarche spirituelle et prétendant parler au nom de la majorité du peuple sénégalais, ont empêché la tenue à Dakar des Rehfram 2018 », indique le communiqué. « Nous ne céderons ni à l’intimidation, ni aux mensonges, ni aux menaces. »

Il est temps que les agitateurs et « néo-croisés », qui se veulent cavaliers sur les sentiers d’une foi à protéger de tout vice, se terrent

Les agitateurs et « néo-croisés »

Au Sénégal, peu de voix se sont élevées face à la déferlante hostile qui vise depuis quelques jours francs-maçons et homosexuels de manière indiscriminée. Parmi les rares à s’y être risqué, le journaliste Madiambal Diagne, directeur général du groupe Avenir Communication (Le Quotidien) et président de l’Union internationale de la presse francophone. Dans un éditorial énergique, publié le 22 janvier, celui-ci s’en est pris  « aux dictateurs de la bonne conscience et censeurs d’un ordre puritain ».

« Le Sénégal est une République laïque, garantissant les libertés de culte et de conscience, écrivait-il. Des groupes n’ayant montré aucune velléité hostile à l’intégrité nationale ont tout droit de se rassembler. Il est temps que les agitateurs et “néo-croisés”, qui se veulent cavaliers sur les sentiers d’une foi à protéger de tout vice, se terrent. »

Une recommandation qui risque de rester lettre morte, ce vendredi, lors de la venue à Dakar de Rihanna. « Nous manifesterons dès sa sortie de l’avion, avertit Cheikh Oumar Diagne. Et s’il le faut, nous irons devant l’Assemblée, le ministère de l’Intérieur ou la présidence. »

Contacté par Jeune Afrique, le ministère sénégalais de l’Intérieur promet « d’assurer la sécurité de toutes les personnes invitées lors de la conférence ».

Jeuneafrique.com par

France: Rihanna et Bono en visite à l’Élysée

juillet 22, 2017

 

Le président français Emmanuel Macron recevra Rihanna et Bono la semaine prochaine en visite à l’Elysée.

Rihanna est fondatrice de l'organisation humanitaire Clara Lionel Foundation.

Rihanna est fondatrice de l’organisation humanitaire Clara Lionel Foundation. Image: Keystone

Emmanuel Macron recevra lundi Bono puis mercredi Rihanna, deux chanteurs très actifs dans des ONG promouvant l’éducation, a annoncé samedi l’Elysée. Le 6 juillet, le chanteur d’U2, cofondateur de l’ONG One, avait exhorté les dirigeants du G20, dont Emmanuel Macron, à s’engager sur l’éducation.

Dans une lettre commune avec le prix Nobel de la Paix Malala Yousafzai, Bono avait appelé les principaux pays émergents et industrialisés à «soutenir la proposition» du secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, de mettre en place «une Facilité de financement international pour l’éducation (IFFEd)», sur laquelle pourrait avancer l’an prochain la présidence argentine du G20.

Interpellation

De son côté, Rihanna, star du R&B originaire de la Barbade et fondatrice de l’organisation humanitaire Clara Lionel Foundation, avait interpellé le 24 juin sur Twitter le nouveau président français en lui demandant si la France allait «s’engager pour le Fonds pour l’Education», dont elle est le porte-voix.

Rihanna, qui est l’ambassadrice depuis 2016 du Partenariat mondial pour l’éducation, association destinée à permettre l’accès à l’éducation aux enfants des pays en voie de développement, a notamment fait la même démarche auprès du président argentin Mauricio Macri et du Premier ministre canadien Justin Trudeau. (afp/nxp)

Tdg.ch (Créé: 22.07.2017, 22h10)

Sophie Bramly : « Beyoncé et Rihanna ont plus fait pour la troisième vague féministe que beaucoup d’intellectuelles »

avril 5, 2017

 

Chaque mercredi, « M » rencontre une femme qui fait bouger les choses. Cette semaine, Sophie Bramly, du collectif féministe 52.

Sophie Bramly chez elle, dans le Marais, à Paris, le 30 mars. Photo Sabine Mirlesse pour M le magazine du Monde

 

Depuis une semaine, sur les réseaux sociaux ainsi que dans les rues de Paris et de Marseille, le slogan de François Fillon « Une volonté pour la France » devient « La parité pour la France », Emmanuel Macron se met en marche « pour l’égalité des salaires » quand Jean-Luc Mélenchon annonce « les congés parentaux » en commun. Derrière ces détournements d’affiches : le récent collectif Nous sommes 52, ou 52, soit le pourcentage de femmes dans la population française. En février, ces militantes s’étaient déjà fait remarquer en diffusant un faux article du Monde titré « Il est désormais interdit d’éjaculer hors procréation aux Etats-Unis », parodiant la signature par Donald Trump, entouré d’hommes, de l’interdiction de financer les ONG soutenant l’IVG.

Membre active de 52, la photographe et entrepreneuse Sophie Bramly, 56 ans, a accepté de déroger à la règle de l’anonymat qui prévaut au sein du groupe. « Je ne suis qu’un rouage. Ce collectif fonctionne sans chef, pour que toutes puissent décider et agir et que l’ego ne vienne pas polluer nos combats », précise-t-elle. Elle nous explique son ambition : rendre leur puissance aux femmes par la dérision.

Quelle a été la genèse de ce nouveau mouvement féministe ?

Tout est parti d’un déjeuner. Une réalisatrice qui n’a plus rien à prouver racontait ses souffrances avec ses producteurs. Il était évident qu’elles n’auraient pas été les mêmes pour un homme. On s’est demandé jusqu’à quand on allait toutes supporter ça, comment s’affranchir de ce système. Le groupe de réflexion a grossi pour aboutir au lancement de « Nous sommes 52 », soit 52 % de la population française, en janvier.

Vous ne vous retrouviez pas dans les associations existantes ?

Elles sont nombreuses à lutter contre les inégalités, le viol, le harcèlement. Mais suivant l’approche anglo-saxonne de l’empowerment, très mal traduit en Français par « renforcement », nous avons conclu qu’il fallait faire en sorte que nous nous sentions puissantes plutôt que d’appuyer sur nos problèmes. Prendre le féminisme avec humour et dérision. La victimisation sape la confiance des femmes. Mais, des deux sexes, qui est vraiment fragile ? Nous devons prendre conscience de notre pouvoir.

Vous êtes connue pour avoir documenté la naissance du hip-hop dans le Bronx et pour l’avoir importé à la télévision française, aux manettes des émissions « H.I.P. H.O.P. », « Sex Machine » et « Yo ! MTV Raps ». Quel lien faites-vous entre l’émancipation des Afro-Américains et celle des femmes ?

Au début des années 1980, les rappeurs étaient à l’échelon le plus bas de la société américaine, exclus au sein même de leur propre communauté. Un petit groupe de 200 à 300 personnes s’est inventé un monde à part où le jeu était l’autovalorisation, avec un code vestimentaire, un langage, un art. Ce qu’ils ont réussi à faire en trente ans est phénoménal, ils ont remporté une bataille culturelle, conquis le monde, jusqu’à l’industrie du luxe. Encore plus bas, les rappeuses ont à leur tour retourné la nudité forcée et utilisé leur corps pour prendre le pouvoir. Beyoncé, Rihanna ont plus fait pour la troisième vague féministe que beaucoup d’intellectuelles. Si l’on fait sentir aux femmes leur puissance, à long terme, ça aura un impact.

Concrètement, comment comptez-vous changer la donne ?

Notre action repose sur trois axes : culturel – nous vivons dans un monde d’images et c’est là que se font et se défont les stéréotypes –, économique et politique. On a lancé notre première campagne au moment des soldes de janvier pour alerter les femmes sur la manière dont on les utilise et les inviter à plutôt liquider les inégalités.

« Si on le retourne, notre pouvoir économique est énorme. »

Nos affiches en ligne et collées à Paris, Lyon et Marseille rappelaient par exemple que 85 % des dépenses sont faites par les femmes. Ce chiffre est à notre désavantage : les entreprises ont tourné notre désir vers le souci de notre apparence. On entre dans tout supermarché par la beauté et la mode. Mais si on le retourne, notre pouvoir économique est énorme. Notre poids, c’est deux fois l’Inde et la Chine réunies. Je rêve que les femmes développent une économie autonome de type Bitcoin. On se renseigne auprès d’économistes.

Sur l’axe politique, quel est votre positionnement ?

En février, pour parodier Donald Trump s’attaquant à l’IVG entouré d’hommes, nous avons fabriqué un faux article du Monde avec une photo d’Hillary Clinton pénalisant l’éjaculation, entourée de femmes. Un montage cocasse lâché sur les réseaux sociaux, vu 5 millions de fois sur Facebook, qui nous a valu des articles dans le New York Times ou The Guardian. En étant léger plutôt qu’agressif, le message porte. On vient de lancer une autre action virale pour la présidentielle, rappelant que les femmes constituent 53 % des votants. Nous avons des opinions divergentes, mais nous sommes d’accord pour dire que les décisions sur les droits, le corps ou la tenue des femmes doivent être entre leurs mains. Sauf que l’une des seules femmes candidates est celle qui s’attaque à nos droits et valeurs.

Cette vision positive et légère du combat féministe n’est-elle pas réservée aux privilégiées ?

Il est sûr qu’il est plus difficile de s’investir en temps quand on a du mal à joindre les deux bouts au quotidien. Nous sommes pour le moment un petit noyau dur de 25 personnes, avec un groupe d’entraide fermé sur Facebook de 850 membres, âgées de 20 ans à la soixantaine, artistes, chefs d’entreprise, journalistes, il est vrai privilégiées. C’est un problème. Mais nous n’avons que trois mois d’existence publique balbutiante. Nous avons déjà des antennes à Paris, Marseille et même San Francisco. Chacune doit pouvoir s’emparer de 52 et monter la sienne.

Lemonde.fr par Aurore Merchin

Rencontre Le Prince Harry croisera la route de Rihanna

novembre 11, 2016

 

Lors d’un voyage officiel de deux semaines aux Caraïbes, le jeune homme de 32 fera une halte à La Barbade, terre d’ori­gine de la chanteuse.

 

Image: AFP

 

Le Prince Harry entamera, dès le 20 novembre, un voyage officiel de deux semaines aux Caraïbes. Il fera une halte dans 7 pays dont La Barbade, terre d’ori­gine de Rihanna.

Hasard du calendrier, la chanteuse – actuellement sur les plateaux de tournage des films «Ocean’s 8» et «Valérian et la Cité des Mille Planètes» – y donnera un concert le 30 novembre lors de la fête qui célé­brera le 50ème anni­ver­saire de l’in­dé­pen­dance de son île natale.

Elle y interprétera l’hymne natio­nal, entourée d’enfants, à en croire le maga­zine People. Le jeune homme de 32 ans croisera très certainement sa route! (Le Matin)

Lematin.ch(Créé: 11.11.2016, 14h36)

Look – Rihanna, ultra sexy dans sa robe-nuisette rouge

octobre 7, 2016

 

La star fait monter la tempé­ra­ture

À New York, Rihanna rayonne d’une allure sexy et très glamour.

 

Elle est de retour dans la Grosse Pomme. Après avoir fait des émules à Paris, en pleine Fashion Week, grâce à son défilé Fenty x Puma et son appa­ri­tion au défilé Dior, Rihanna se trouve actuel­le­ment à New York. Jeudi 6 octobre, elle s’est accor­dée une petite esca­pade nocturne pour un dîner au restau­rant avec les rappeurs T.I et D.J Khaled.

Pour l’oc­ca­sion, la chan­teuse, qui s’est récem­ment mise aux dread­locks, a choisi de se glis­ser dans une robe nuisette d’un rouge très, très sexy. Le four­reau en satin, textile pour­tant à risque, sied parfai­te­ment à la sirène de la Barbade et sublime son décol­leté et ses jambes fuse­lées.

La bouche tein­tée égale­ment d’un rouge profond, l’in­ter­prète du sensuel Work fait honneur à sa répu­ta­tion de star sulfu­reuse mais qui sait pour autant se montrer superbe de glamour.

Gala.fr

Rihanna présente une collection pour Puma, inspirée par la lingerie

septembre 28, 2016

 

Paris – Déshabillés en dentelle, corset et même jarretière… La chanteuse Rihanna a présenté mercredi soir à Paris une nouvelle collection pour Puma mixant les codes de la lingerie à ceux du sportswear pour un résultat résolument sexy.

Après une première collection en noir et blanc, la chanteuse s’est tournée vers l’univers du boudoir et a crée des tenues vaporeuses aux couleurs pastels, tout en reprenant certains codes des vêtements de sport comme la capuche.

Elle a multiplié les accessoires (perles, éventail, voilette…) et ajouté des éléments bling bling comme de grosses boucles d’oreilles, des diamants, pour donner une touche très féminine à l’ensemble.

La pop star barbadienne a chaussé ses mannequins de mules vertigineuses mais aussi de baskets, pour respecter l’esprit sportswear.

Le défilé de cette collection, pour hommes et pour femmes, a été dans le même temps retransmis sur la plateforme de streaming Tidal du rappeur américain Jay-Z.

Sur son compte Instagram, Rihanna avait dévoilé en amont du défilé plusieurs images de la collection dont des baskets-stilettos blanches, avec une bande noire sur le côté, portées par la top modèle Gigi Hadid, ainsi qu’une robe tunique multicolore, aux manches élargies pour mieux courir.

La chanteuse est l’ambassadrice de l’équipementier sportif allemand depuis plus d’un an. En plein redressement après une traversée du désert, la marque au félin a décidé de se recentrer sur le sport et les chaussures, sa force d’antan.

La première collection de Rihanna pour Puma, présentée à l’automne 2015 à New York, avait tenté de réinterpréter le sportswear, en détournant les codes du jogging.

Elle avait lancé un nouveau modèle des baskets Creeper de la marque. Une réinterprétation avec une semelle compensée des Suède, modèle classique en daim de Puma, rapidement en rupture de stock.

Romandie.com avec(©AFP / 28 septembre 2016 22h37)

Etats-Unis: Rihanna styliste, adoubée à New York

février 13, 2016

rihanna-naomi

Rihanna et Naomi Campbell

 

La chan­teuse réin­vente le sports­wear pour sa première collec­tion

Rihanna présen­tait cette semaine son tout premier défilé de prêt-à-porter, à New York, dans le cadre de la Fashion Week. La Barba­dienne signe une collec­tion mini­ma­liste en parte­na­riat avec la marque Puma. Débuts réus­sis pour celle qui souhaite bous­cu­ler tous les codes.

Rihanna n’en finit plus de faire parler d’elle. La chan­teuse, véri­table phéno­mène, ajoute chaque jour une nouvelle corde à son arc, et trans­forme tout ce qu’elle touche en or, quand ce n’est pas en platine!

En effet, celle qui est s’est déjà lancé dans le beauty busi­ness, a publié une photo cette semaine, où l’on la voit poser avec un disque de platine de son dernier album, Anti, à côté d’un autre cadre symbo­li­sant 100 millions de titres vendus dans sa carrière. Un record selon RIAA Gold & Plati­num, qui récom­pense les meilleurs morceaux des artistes.

Mais la chan­teuse ne s’arrête pas là. Le même jour, elle présen­tait une collec­tion évène­ment de prêt-à-porter. En parte­na­riat avec la marque alle­mande Puma, elle a présenté sa première collec­tion lors d’un défilé, à la Fashion Week de New York. Un show très attendu depuis le succès d’un premier modèle de chaus­sures, lancé en septembre, qui avait fait sensa­tion. La « Cree­per », décli­nai­son de la célèbre « Suede » de Puma, avec semelle compen­sée, s’était arra­chée en quelques heures. Alors tous les regards étaient braqués sur les vête­ments dessi­nés par celle qui est la nouvelle direc­trice de la créa­tion de la ligne femme de Puma.

Bapti­sée « Fenty x Puma », la ligne de sports­wear est une décli­nai­son entière en noir et blanc. Le podium, composé d’arbres sans feuilles, accueille les mannequins, hommes et femmes, vêtus de sweat­shirts XXL, ou à l’opposé de petits hauts très courts. Cuir, coton, résille… Rihanna styliste s’est essayée à tout un tas de matières pour restrans­crire ses envies vesti­men­taires. Cette collec­tion a déjà été adopté par Naomi Camp­bell, Jeremy Scott, et les soeurs Hadid, qui défi­laient hier soir.

Jamais mieux servie que par elle-même, Riri est venue saluer ses amis et futurs clients habillée d’une de ses créa­tions.  Le défilé était visible sur la page Face­book de la chan­teuse, qui n’a pour l’occa­sion pas chanté une note de musique. L’évène­ment a été vu plus de 700 000 fois en deux jours… là aussi, un possible record.

Gala.fr par Martin Choteau