Posts Tagged ‘robe noire’

Nabilla a défilé pour Jean-Paul Gaultier

juillet 4, 2013
Nabilla et Jean-Paul Gaultier, en look panthère

Nabilla et Jean-Paul Gaultier, en look panthère

Sur le catwalk de Jean-Paul Gaultier, Nabilla a présenté l’une des robes de la collection automne hiver 2013/2014.

« Nous sommes félins pour l’autre… », tweetait Jean-Paul Gaultier à Nabilla le 1er juillet dernier. Une déclaration d’amour ? Plutôt une indication sur la tenue qu’allait porter la star des Anges de la téléréalité au défilé du créateur.

Peu de temps avant le début du show, Nabilla est sortie devant le showroom du créateur, dans le 3ème arrondissement de Paris rue Saint Martin, habillée d’un slim moulant, d’un débardeur ultra court laissant voir son ventre et perchée sur de très hauts talons. Comme elle l’avait annoncé sur Twitter peu avant 13 heures, elle a choisi quatre personnes parmi les fans qui l’attendaient sur le trottoir pour venir la voir défiler. Le seul indice qu’elle a alors donné sur son look résidait dans sa coiffure : un énorme chignon placé sur le haut de sa tête qui se terminait en une pointe. De quoi gagner encore vingt bons centimètres.

Le défilé a commencé et les flashs ont crépité de plus belle sur le passage de la starlette. Elle portait une longue robe noire bustier très graphique qui séparait bien ses deux seins. L’intérieur de sa tenue et ses collants étaient à imprimé panthère. À la fin du spectacle, Jean-Paul Gaultier est venu poser aux côtés de sa star d’un jour.

Le créateur à la marinière est un habitué des collaborations qui braquent tous les projecteurs sur son défilé. On se souvient ainsi qu’il avait fait défiler Loana en 2002, à sa sortie de Loft Story. Il avait également demandé à la chanteuse Beth Ditto de Gossip, connue pour ses formes ultra généreuses, de porter l’une de ses créations ainsi qu’à Mylène Farmer, Arielle Dombasle ou encore Valérie Lemercier.

Voici.fr par M-A.K

Le soir de l’élixir

septembre 19, 2012

 

Soir après soir

ton ombre arrive dans le noir

traverse le salon jusqu’au boudoir

et rentre dans la chambre noire

 

Entre un verre de vin de plaisir

inaugurant ta brève soif de désir

ta grande robe noire tombe à loisir

réveillant tous les soldats de l’élixir

 

Peu à peu les paupières deviennent lourdes

éteignant la conversation monocorde

au rythme affaibli des oreilles sourdes

qui ont laissé leur vocation à Lourdes.

 

Bernard NKOUNKOU

Ségolène Royal a retrouvé François Hollande à l’Elysée

septembre 12, 2012

« Ça me fait plaisir » 

 
Ça me fait plaisir ! 
  • Ségolène Royal a retrouvé François Hollande à l’ElyséeSégolène Royal a retrouvé François Hollande à l’ElyséeSégolène Royal a retrouvé François Hollande à l’ElyséeSégolène Royal a retrouvé François Hollande à l’Elysée
Voilà un petit moment qu’ils ne s’étaient pas retrouvés ensemble, publiquement. Ségolène Royal a rejoint François Hollande à l’Elysée pour un déjeuner de travail.

François Hollande et Ségolène Royal ensemble, on n’avait pas vu ça depuis… le 6 mai 2012 et l’élection du candidat socialiste à la tête de l’Etat. Le président de la République a bien soutenu publiquement son ex dans la bataille des législatives – ce qui a déclenché l’ire de Valérie Trierweiler, sa compagne – mais les deux ne s’étaient pas publiquement recroisés. Valérie ayant fait savoir qu’elle ne souhaitait pas que Ségo assiste à la passation de pouvoir du père de ses quatre enfants.

>>> François Hollande a failli quitter Valérie Trierweiler pour Ségolène Royal

Ce midi, François Hollande a retrouvé Ségolène Royal à l’Elysée. Bon, on a connu plus intime comme déjeuner puisqu’il s’agissait surtout d’une réunion de travail où étaient aussi présents Jean-Marc Ayrault, les ministres et tous les autres présidents de région. Tout sourie, la patronne de Poitou-Charentes, très élégante dans une robe noire et veste orangée, a pris place en face de son ancien compagnon.

« Je n’ai quitté ni la scène nationale, ni mes responsabilités politiques à la tête de la région, a-t-elle déclaré à son arrivée à l’Elysée. Ça me fait plaisir parce que c’est aussi la reconnaissance d’un travail des territoires et des régions qui n’est pas souvent visible et qui, en même temps, est indispensable et crucial. » Bon, on vous laisse, on va surveiller le compte Twitter de Valérie Trierweiler

Voici.fr par M-A.K.

Dubaï, nouvelle valeur refuge du Moyen-Orient

mai 15, 2012


  • La tour Burj Khalifa, plus haute tour du monde, qui abrite un restaurant avec vue panoramique à plus de 800 mètres de hauteur sur l'île artificielle de Palm Island.
    La tour Burj Khalifa, plus haute tour du monde, qui abrite un restaurant avec vue panoramique à plus de 800 mètres de hauteur sur l’île artificielle de Palm Island. Crédits photo : Ayesha Daya/Bloomberg

    Trois ans après la crise financière, touristes et capitaux du Golfe affluent  dans l’émirat.

    Dans le hall en marbre blanc du Dubai Mall, le plus grand et le plus luxueux centre commercial du monde, les voitures de golf sont prises d’assaut par des femmes en abayas, la robe noire traditionnelle des émirats. Elles s’adonnent à leur passe-temps favori: le shopping. En fin de journée, on les retrouve en après-ski de fourrure dans le Mall of Emirates, jouant aux boules de neige avec leurs enfants au pied de la piste de ski en neige artificielle, la plus prisée du Moyen-Orient. Dehors, il fait 40 degrés. Hôtels et restaurants du front de mer sont bondés.

    Trois ans après la crise financière qui a précipité Dubaï au bord de la faillite, le petit émirat a renoué avec la croissance, en hausse de 5 % cette année, et retrouvé la confiance des marchés. La Bourse a gagné plus de 22 % depuis le début de l’année. Les rendements du sukuk du gouvernement de Dubaï – emprunt obligataire – arrivant à maturité en novembre 2014 sont tombés à 3,7 %, leur plus bas niveau depuis le 28 octobre 2009.

    Endettées de 100 milliards de dollars, les grandes entreprises publiques de l’émirat profitent de cette détente sur les marchés obligataires pour rembourser leurs créanciers. «La crise n’est pas finie. Dubaï doit refinancer 15 milliards de dette cette année, mais les marchés sont très bien orientés. Il ne devrait y avoir aucun problème de remboursement de dette», se félicite Khatija Haque, économiste à la banque NBD, la plus grande des Émirats.

    Dubaï n’a pas de pétrole, mais de riches voisins en quête de lieux sûrs pour passer leurs vacances et placer leur argent. «Loin de porter préjudice à Dubaï, le printemps arabe lui a profité!», se félicite Lionel Reina, patron d’Orange Business Arabia. Les Saoudiens ne vont plus en vacances sur la mer Rouge, en Égypte, ni en week-end à Bahreïn: ils viennent se détendre dans les Émirats. Le tourisme est en hausse de 16 %, les chambres d’hôtel sont pleines à 86 % et les ventes de détails – 30 % du PIB de Dubaï – explosent.

    Pour ce petit émirat, l’argent du Golfe est une bénédiction. En 2009, c’est un prêt de 20 milliards de dollars d’Abu Dhabi qui l’a sauvé de la faillite. En 2011, les pays de l’Opep ont gagné 1300 milliards de dollars grâce à la hausse du prix du baril. De quoi faire quelques emplettes en Europe, mais aussi à Dubaï, où la nouvelle donne financière suit la courbe des prix du pétrole. «On ne sait pas s’il y a eu des échanges d’actifs entre Abu Dhabi et Dubaï après le sauvetage. La transparence financière est très limitée!», se désole Nitish Bhojnagarwala, de chez Moody’s. «Quant à la garantie d’Abu Dhabi sur les dettes de Dubaï, elle est loin d’être systématique…», rappelle-t-il. Depuis 2010, Dubaï a restructuré 35 milliards de dollars de dettes – plus du tiers de sa dette -, une opération qui s’est soldée par une perte de 10 à 20 % pour les banques.

    Hôtel sous la mer 

    Cette montagne de dettes n’empêche pas le retour de la folie des grandeurs… immobilières. Dernière idée en date: ouvrir un hôtel sous la mer! «Le projet est basé sur un concept unique, une expérience inédite, qui ouvre de nouveaux horizons pour le tourisme, tout en préservant l’écosystème», affirme Drydocks World, la filiale du conglomérat public Dubai World, qui a signé un contrat, début mai, avec un mystérieux fonds d’investissements suisse, Big Invest Consult. Montant du projet: entre 50 et 120 millions de dollars.

    La nouvelle ne fait pas l’unanimité. «Plutôt que de relancer ces projets tape à l’œil, Dubaï devrait se concentrer sur son cœur de métier, le commerce, les infrastructures, les services aux entreprises», estime Amina al-Rustamani, femme d’affaire avisée, patronne de TECOM, une zone franche qui abrite les sièges régionaux de CNN, IBM ou Microsoft. «La folie immobilière était une dispersion inutile et dangereuse, estime Cyrille Fabre, du cabinet de conseil Bain. La crise a remis Dubaï sur le bon chemin: elle a fait baisser les prix, ce qui a redonné un avantage compétitif à Dubaï.»

    En attendant, l’immobilier reste le point noir de Dubaï, à l’image de la centaine de squelettes d’immeubles qui entourent la ville. Les prix ont chuté de 60 %. Le taux de vacance des bureaux atteint 50 % «Seuls quelques quartiers très prisésvoient les prix rebondir», confirmeOlivier Ghattaz, de BNP Paribas Real Estate, à Dubaï.

    La déprime du secteur n’empêche pas le lancement de nouveaux projets, s’ils ont un lien avec le tourisme de luxe. Le géant immobilier Emaar a ainsi annoncé la construction prochaine d’un musée d’art moderne et un opéra au pied de Burj Khalifa. Son concurrent Nakheel renonce à de nouvelles îles artificielles, mais démarre la construction d’une centaine de villas et de deux centres commerciaux sur l’île de Palm Jumeirah, la seule des trois qui soit habitée.

  • Lefigaro.fr  par Alexandrine Bouilhet

Nord Mali: l’otage suisse libérée goûte au « chocolat de la liberté »

avril 24, 2012

« Je vous offre le chocolat de la liberté! »: la Suissesse Béatrice Stockly vient de monter dans l’hélicoptère dépêché mardi par le Burkina Faso près de Tombouctou, en plein désert du nord du Mali. Otage depuis le 15 avril, elle est désormais libre.

Deux pick-up viennent de se garer tout près de l’appareil, à bord duquel se trouvent le chef d’état-major particulier du président burkinabè Blaise Compaoré, le général Gilbert Djindjéré, et ses collaborateurs, et deux réprésentants du ministère suisse des Affaires étrangères, raconte un journaliste de l’AFP qui était à bord.

Côté passager, à bord d’un des deux pick-up qui transportent des hommes enturbannés et lourdement armés, elle descend, foulard noir encadrant son visage, robe noire, et monte dans l’hélicoptère.

« On m’a obligée à porter ça! »: cette chrétienne impliquée dans le social et vivant depuis des années à Tombouctou retire ces vêtements d’emprunt. Elle porte une robe fleurie et des sandales, ses cheveux longs sont attachés. Elle sourit mais est visiblement fatiguée.

Elle fouille dans son sac en cuir et distribue aux passagers de l’hélicoptère les « chocolats de la liberté », discute avec le général burkinabè et sort brièvement de son sac une Bible volumineuse.

Elle est libre à 13H32 (locales et GMT), on décolle une dizaine de minutes plus tard. Direction la base militaire de Ouagadougou, après une escale carburant dans le nord du Burkina.

Mais il aura fallu environ une heure et demie d’échanges, de coups de fil, de conversations au talkie-walkie et un ballet de pick-up pour arriver à cette libération.

L’hélicoptère a soulevé une vague de sable en atterrissant à quelques kilomètres de Tombouctou. Un homme, visage enturbanné et kalachnikov en bandoulière, qui se présente comme un élément du groupe islamiste armé Ansar Dine, dominant dans la région avec le soutien d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), est venu chercher le général.

Méchoui et diatribe anti-Europe et anti-USA

Le haut gradé partira avec l’un des représentants suisses. L’autre, une femme, n’est pas autorisée à les suivre.

L’essentiel se passe sous une tente. Elle est équipée de canapés et de nattes, et l’air y est frais. Arrive alors, dans un pick-up et sous bonne escorte, Sanda Boumama, « porte-parole » à Tombouctou, dit-il, du chef d’Ansar Dine, Iyad Ag Ghaly.

Il mesure environ 1,60 m, porte un boubou couleur or et une longue barbe, et converse dans un bon français.

Le général Djindjéré dit « être venu chercher l’otage à la demande du gouvernement suisse, qui a demandé la contribution du Burkina Faso ».

Boumama sort, emportant son talkie-walkie et deux téléphones portables. Plusieurs coups de fil en arabe. Il revient.

« Quand on accueille quelqu’un, on lui donne à manger avant de parler », dit-il. Il va offrir à ses convives un méchoui, et est rejoint par Abou Amar Tangui, « représentant » d’Iyad Ag Ghaly dans la ville. Lui aussi a la peau claire des Touareg, tandis que les combattants dans les véhicules, avec lance-roquettes et kalachnikov, sont des Noirs. Tangui restera muet.

Boumama, lui, est prolixe. « Qui contrôle Tombouctou? », demande le général. « Ansar Dine contrôle la ville, mais le MNLA (Mouvement national de libération de l’Azawad, rébellion touareg) contrôle l’aéroport et le quartier qui y mène », répond-il.

« Nous sommes prêts à accepter » l’aide humanitaire, dit-il, alors que la situation est très difficile dans tout le Nord ayant échappé au pouvoir de Bamako depuis bientôt un mois. « On manque de tout », souligne l’islamiste. Mais il avertit: pas question que « l’aide humanitaire soit une campagne politique déguisée » des Occidentaux.

Il enchaîne. « Les Européens sont contre les musulmans »: c’est le thème du long discours qu’il tient devant ses hôtes, citant Irak et Afghanistan et accablant l’ex-président américain George W. Bush.

Mais il est temps de retourner vers l’hélicoptère. Dernier échange au talkie-walkie, dernier ballet de pick-up. « Béatrice », comme tout le monde l’appelle à Tombouctou, quitte la ville où elle avait choisi de vivre.

Jeuneafrique.com

Adele grand gagnante des Grammy

février 13, 2012

http://platform.twitter.com/widgets/hub.1326407570.htmlLa chanteuse britannique Adele a obtenu hier à Los Angeles le trophée de l’album de l’année pour « 21 », lors de la 54e cérémonie des Grammy Awards, qui récompensent chaque année la musique populaire américaine, lors d’une soirée marquée par le souvenir de Whitney Houston, décédée la veille à Beverly Hills.
Adele a terrassé les Foo Fighters (« Wasting Light »), Lady Gaga (« Born This Way »), Bruno Mars (« Doo-Wops & Hooligans ») et Rihanna (« Loud »). Le meilleur album de l’année, le plus prestigieux de la soirée, est le sixième remporté par la chanteuse dimanche, qui a réussi à transformer ses six nominations en autant de récompenses. Très émue, la jeune femme de 23 ans a déclaré: « Ce disque est inspiré par quelque chose de très normal, juste une relation (amoureuse) minable ». « 2011 a été l’année qui a le plus changé ma vie », a-t-elle ajouté.
La chanteuse, qui faisait son grand retour public hier soir, avait dû garder le silence pendant plusieurs mois après son opération des cordes vocales à l’automne. Les Grammy Awards, remis depuis le Staples Center, dans le centre de Los Angeles, sont les récompenses les plus prestigieuses de la musique populaire américaine.

La cérémonie télévisée a commencé avec une prière à la mémoire de la chanteuse Whitney Houston, à l’invitation du présentateur de la soirée, le rappeur LL Cool J. « Nous avons un décès dans la famille », a-t-il dit. « Pour moi, la seule chose à faire est de commencer par une prière pour Whitney Houston », a-t-il ajouté, avant de lire un court texte devant une salle tête baissée en signe de respect. Plusieurs artistes étaient en deuil, à l’instar de Lady Gaga, qui a avait remisé ses atours les plus provocants — sceptre doré excepté — pour se contenter d’une robe noire à armatures en plastique et d’un voile en résille.
Plus tard dans la soirée, la chanteuse de R&B Jennifer Hudson a chanté « I Will Always love you », le titre-phare de Whitney Houston, juste après la lecture de la liste des disparus de l’année, ouverte par Amy Winehouse. Plusieurs chanteurs ont salué la mémoire de la diva pop, notamment Stevie Wonder, qui a lancé: « Nous t’aimons tous, Whitney ».

Lefigaro.fr avec AFP