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Des rumeurs sur WathsApp sur des rapts d’enfants déclenchent une vague d’agression en Inde

juin 27, 2018

Mohinidevi Nath montre la photo de sa cousine Shantadevi Nath, tuée par la foule qui l’avait prise pour une ravisseuse d’enfants, dans les environs d’Ahmedabad dans l’Etat indien du Gujarat, le 27 juin 2018n / © AFP / SAM PANTHAKY

La police indienne a appelé mercredi la population à ne pas croire les fausses rumeurs circulant sur WhatsApp au lendemain d’une vague d’agressions et de lynchages qui ont coûté la vie à une femme prise pour une ravisseuse d’enfants, dans ce pays où les « fake news » connaissent de plus en plus d’issues tragiques.

De fausses informations faisant état de centaines de trafiquants d’enfants au Gujarat ont déclenché cinq attaques mardi dans plusieurs villes de cet État de l’ouest de l’Inde. La fréquence de telles affaires s’accélère ces derniers temps dans cette nation d’Asie du Sud, qui dans sa modernisation adopte en masse les moyens de communication numériques.

La vague d’agressions a même poussé les forces de l’ordre du Gujarat à lancer un appel par communiqué: « Ne vous laissez pas emporter par les faux messages ou rumeurs sur les réseaux sociaux et n’attaquez personne en raison de suspicions ».

La messagerie américaine WhatsApp est un canal de communication extrêmement populaire en Inde et les rumeurs y prolifèrent hors de tout contrôle, aboutissant parfois à des lynchages. L’hystérie provoquée par des textos autour de prétendus « ravisseurs d’enfants » a d’ores et déjà coûté la vie à au moins 22 personnes en un an, d’après la presse indienne.

Mardi soir dans la grande ville gujaratie d’Ahmedabad, persuadé d’avoir affaire à l’un de ces « gangs », un attroupement d’une centaine de personnes s’en est ainsi pris à une mendiante de quarante-cinq ans, Shantadevi Nath, ainsi qu’à trois femmes qui se trouvaient avec elle.

« Les gens dans la foule ont matraqué à coups de poings et de pieds les quatre femmes. Certains les ont même frappées avec des bâtons et les ont tirées par les cheveux, causant de graves blessures à Shantadevi », a expliqué à l’AFP le responsable policier JA Rathwa.

Secourues par un agent en charge de la circulation, les victimes ont été transportées à l’hôpital où Shantadevi Nath a été déclarée morte.

Le même message viral, selon lequel des trafiquants étaient arrivés en nombre au Gujarat pour enlever des enfants dans le but de les vendre, a causé quatre autres épisodes de violences le même jour dans cette région industrialisée.

Dans la ville de Surate, une foule en majorité masculine a notamment amené de force une femme de 45 ans et le bébé qui l’accompagnait au poste de police. Ses accusateurs disaient que l’enfant avait été enlevé.

« Toutes deux ont été amenées au commissariat où il a été mis en évidence que c’était bien la fille et la mère », a cependant indiqué un responsable policier local aux médias indiens.

– Rumeur amplifiée –

Des applications pour des réseaux sociaux, dont WhatsApp, sur un smartphone à Chennai en Inde le 22 mars 2018 / © AFP/Archives / ARUN SANKAR

Les rumeurs meurtrières ne sont pas un phénomène nouveau en Inde, comme dans de nombreux autres pays du monde, mais leur émergence est facilitée par l’accélération et la démocratisation des moyens de communication numériques.

Surfant sur la guerre des prix des opérateurs de téléphonie mobile, les réseaux sociaux pénètrent désormais jusque dans les villages les plus reculés d’Inde. Propriété de Facebook, la messagerie Whatsapp compte plus de 200 millions d’utilisateurs actifs mensuels dans ce géant de 1,25 milliard d’habitants.

« Tout le monde utilise WhatsApp et c’est la meilleure plateforme pour diffuser des +fake news+ de nos jours car l’internet mobile ne coûte presque rien et tout le monde en Inde a accès à des smartphones », a expliqué à l’AFP Pankaj Jain, du site SMHoaxSlayer.

Face à ce fléau, les experts appellent à une éducation à l’information et au bon usage des plateformes en ligne. En effet, les rumeurs sont souvent prises pour argent comptant par des internautes indiens, voire par des médias locaux peu regardants sur l’exactitude.

Le chiffrement des messages sur WhatsApp, voulu par les fondateurs du réseau pour protéger la vie privée de leurs utilisateurs, fait qu’il est presque impossible de remonter à la source d’une rumeur.

La police indienne « devrait répondre à ces messages avec des clarifications rapides. Ils devraient utiliser toutes les plateformes pour contrer les informations » de ce type, a estimé Nikhil Pahwa, rédacteur en chef du site MediaNama.

S’il n’existe aucun programme centralisé en Inde de lutte contre les « fake news », quelques initiatives officielles localisées ont eu lieu de façon ponctuelle.

Au Tamil Nadu (sud) en mai, les autorités ont ainsi recouru à des hauts-parleurs pour mettre en garde la population contre les rumeurs. En Uttar Pradesh (nord), la police utilise elle-même WhatsApp pour propager de courts messages vidéos.

Romandie.com avec(©AFP / 27 juin 2018 15h43)

Pepe Munoz s’exprime enfin sur les rumeurs de couple avec Céline Dion

janvier 3, 2018

« Céline ne triche pas »

Son première voca­tion était la danse. Il pour­suit dans l’illus­tra­tion et expose son travail à la Gale­rie Sébas­tien Adrien, à Paris, à partir du 22 janvier. Deux métiers de gestes, plus que de paroles. Insé­pa­rable de Céline Dion, qu’il a accom­pa­gnée sur scène, en France, l’été dernier, Pepe Munoz répond aux rumeurs d’idylle qui ne leur ont pas échappé, en exclu­si­vité pour Gala…

« Un rêve absolu ». Ce sont les mots choi­sis par Pepe Munoz pour évoquer sa colla­bo­ra­tion avec Céline Dion, enta­mée peu avant les concerts français de la diva québé­coise l’été dernier. « Quand l’équipe de Céline m’a proposé de l’ac­com­pa­gner sur scène, j’avais déjà quitté Las Vegas et la troupe du Cirque du Soleil, j’étais déjà un « jeune retraité ». Mais je ne pouvais pas lais­ser passer cette oppor­tu­nité », se remé­more l’Es­pa­gnol de 32 ans. Bien inspiré. Leur danse sensuelle sur Le Ballet, morceau de Jean-Jacques Gold­man, fut le point d’orgue de chacun des shows de la chan­teuse.

Une choré­gra­phie répé­tée dans la plus grande décon­trac­tion, selon Pepe. « Dès lors que nous avons commencé à colla­bo­rer pour ses concerts, j’ai oublié que je travaillais. Tout était facile, comme à la maison. Céline vous intègre comme un membre de sa famille », assure-t-il. Préci­sant : « Céline est une femme d’une grande trans­pa­rence. Elle ne triche pas. Elle est telle que vous la voyez : gentille, tendre, géné­reuse. »

Insé­pa­rable sur scène, le duo le fut aussi dans les rues de Paris, tout l’été. S’as­seyant un jour au front row d’un défilé, s’oc­troyant quelques virées shop­ping, déjeu­nant ou dînant encore, ici et là… Parmi leurs sujets de discus­sion : la recon­ver­sion de Pepe dans l’illus­tra­tion de mode. « Dès lors qu’elle a appris que je dessi­nais, Céline n’a eu de cesse de m’en­cou­ra­ger et de m’ai­der à faire connaître mon travail », confie l’ar­tiste, exposé entre les murs la Gale­rie Sébas­tien Adrien, à Paris, du 22 janvier au 3 mars prochains.

Leurs retrou­vailles dans les coulisses du spec­tacle Zuma­nity, à Las Vegas, en novembre dernier, a conforté certains dans le fantasme d’une idylle nouée à Paris.

Réponse, plutôt ramas­sée, de Pepe : « Ces rumeurs nous ont beau­coup amusés. Et nous conti­nuons à en rire ! »

«  Je peux comp­ter sur elle, quand je ressens le besoin de parler, et je reste tout autant à son écoute », pour­suit-il…

Gala.fr par Thomas Durand

 

Nouvelles rumeurs sur l’état de santé de Fidel Castro

septembre 6, 2011

Invisible, le Lider Maximo ne s’est pas exprimé depuis plus de deux mois.

La dictature cubaine traverse une mauvaise passe. Le ministre des Forces armées révolutionnaires, le général Julio Casas Regueiro, est décédé à l’âge de 75 ans d’une crise cardiaque le week-end dernier. Alors que les autorités ont décrété un deuil national de deux jours et demi, de plus en plus de voix, tant à Cuba qu’à Miami, s’interrogent sur le silence persistant de Fidel Castro.

Durcissement du régime

Le Lider Maximo a été aperçu en public pour la dernière fois lors du VIe Congrès du Parti communiste cubain (PCC), à la mi-avril. Affaibli, l’ancien numéro un cubain s’était alors excusé de son absence lors des défilés du cinquantenaire de la Révolution. Cet aveu de faiblesse avait alors ému de nombreux Havanais. Fidel Castro a, par la suite, continué à livrer ses «Réflexions» dans le quotidien Granma, l’organe officiel du PCC, comme il le fait depuis quelques années. La dernière de ces réflexions, un hommage à Hugo Chavez, date du 3 juillet. L’ancien dirigeant cubain n’a jamais été absent aussi longtemps de la tribune du Granma. Dimanche, le quotidien El Nuevo Herald de Miami a titré: «Le silence de Castro suscite des interrogations sur sa santé».

De fait, El Comandante n’a pas commenté la chute de Kadhafi, ni les événements de Syrie. Le demi-frère de Raul Castro n’est pas non plus apparu pour ses 85 ans, le 13 août dernier. Il n’en fallait pas plus pour qu’Internet relaie depuis quelques jours des rumeurs sur la mort de Fidel. La fille de Raul Castro, Mariela, a assuré que «le Commandant en chef est vivant, (…) jouit d’une très bonne santé et est très créatif».

Si le régime, fidèle à son habitude, a, lui, refusé de commenter l’état de santé du chef historique de la Révolution, le climat a changé à Cuba depuis quelques semaines.

Malgré une libéralisation de l’économie et la libération de nombreux prisonniers politiques depuis un an, Raul Castro a renoué récemment avec la politique de la matraque. La Commission cubaine des droits de l’homme et de la réconciliation nationale (CCDHRN) a dénoncé le 30 août une nouvelle vague d’arrestations près de Santiago de Cuba. «Depuis cinq semaines, le gouvernement a mené des actions violentes de répression politique… Au moins 65 hommes et femmes ont été arrêtés par la police secrète politique et la plupart, totalement désarmés, ont subi divers actes de brutalité policière», a déclaré le porte-parole de la CCDHRN, Elizardo Sanchez Santacruz. Une trentaine de ces dissidents resteraient détenus.

Si le régime cubain, habitué à souffler le chaud et le froid, a bel et bien accru sa répression, plusieurs observateurs estiment qu’il s’agit de mesures préventives à un moment où la détérioration des conditions de vie des habitants risque d’attiser une grogne populaire. La presse étrangère a aussi fait les frais de cette vague de répression. Dimanche, le quotidien espagnol El Pais a annoncé que le régime cubain a révoqué le visa de son correspondant à La Havane, Mauricio Vicent. En poste depuis vingt ans à Cuba, il était l’un des derniers correspondants occidentaux à aussi bien connaître le pays.

Lefigaro.fr par Hector Lemieux

Angelina Jolie balaie les rumeurs de mariage avec Brad Pitt

août 31, 2011

« Pas de mariage secret »

Angelina Jolie balaie les rumeurs de mariage avec Brad Pitt Maintes fois annoncé, le mariage d’Angelina Jolie et Brad Pitt n’est pas du tout à l’ordre du jour d’après l’actrice.

La dernière rumeur en date voulait que Brad Pitt et Angelina Jolie se passent enfin la bague au doigt lors d’une cérémonie organisée dans leur propriété varoise de Miraval. Une éventualité d’autant plus solide qu’elle émanait du très fiable magazine américain Us Weekly. Un mois et demi après cette révélation, toujours rien à signaler. À en croire Angelina Jolie, ce n’est de toute façon pas la peine d’attendre. Interviewée par Vanity Fair, l’actrice a déclaré que Brad et elle n’avaient « pas de mariage secret » en perspective. Dans la foulée, elle a aussi précisé qu’elle ne comptait pas non plus agrandir sa famille pour l’instant. Le chapitre vie perso évacué, Angie a parlé boulot.

Sa carrière a pris une nouvelle orientation avec une première expérience derrière la caméra. Alors qu’elle vient de terminer la réalisation de In the Land of Blood and Honey, elle imagine que son approche du métier de comédienne va sans doute changer : « Brad pense que je vais devenir un cauchemar (sur les plateaux), s’est-elle amusée. J’ai vécu une tellement bonne expérience qu’il pense que je serai impatiente avec les réalisateurs, ce que je suis déjà. Je suis impatiente avec les gens qui travaillent sur un film avec la tête entre les mains comme s’ils faisaient le truc le plus compliqué du monde. »

Elle en a profité pour remercier Brad Pitt pour le soutien qu’il lui a apporté tout au long du projet : « Il me disait ce qu’il aimait ou ce qu’il ne comprenait pas. Comme n’importe quelle femme, j’écoutais presque tout et contestais une petite partie, s’est-elle souvenue. Il a été d’un tel soutien. Mais c’est dur de séparer la personne qui vous aime de la critique, je ne peux donc croire qu’il a été un juge impartial. » Les spectateurs et les critiques ne manqueront pas de lui donner leur avis. Au risque d’être bien plus désagréables que Brad Pitt s’ils sont déçus du résultat.

Voici.fr par C.G.

Rumeur de destabilisation : Renverser Ouattara est une illusion

juillet 30, 2011

Elle court toujours, la rumeur de coup d’Etat contre le régime Ouattara. Coup d’Etat ? Face à cette campagne qui a tout l’air d’une intox visant à créer la psychose au sein de la population et l’empêcher de vaquer sereinement à ses occupations, le Commandant Koné Zacharia a fait une sévère mise en garde dans les colonnes d’un confrère, le jeudi. ‘’Celui qui tire est mort’’, a-t-il prévenu. Un avertissement qui rassure.

Avant le départ du Président de la République pour le pays de l’oncle Sam, les rumeurs de déstabilisation avaient déjà envahi toute la Côte d’Ivoire. Le 1er août a même été avancé comme jour du déclenchement de l’entreprise par des militaires pro-Gbagbo exilés dans des pays voisins, après avoir massacré des Ivoiriens pendant la crise postélectorale. A la main tendue du chef de l’Etat pour la réconciliation et la paix, ils auraient opté, eux, pour le bras de fer. D’où leur détermination à en découdre militairement avec le nouveau régime, à en croire certaines sources. Vrai ou faux ? Toujours est-il que ces murmures appellent une grande question. Est-il possible, en l’état actuel des choses, de réussir un coup d’Etat ?

Au niveau de la population…

La réponse est incontestablement non. Il peut y avoir certes tentative mais renverser Alassane Ouattara est une illusion qui va emporter et ses instigateurs, et ses exécutants. L’histoire de la crise postélectorale est encore fraiche dans la mémoire des Ivoiriens et surtout des partisans du nouveau régime. Les massacres perpétrés contre certaines communautés, sur ordre du couple FPI-LMP qui en a fourni les outils et les hommes, les pillages et autres exactions des miliciens et mercenaires pro-Gbagbo sont toujours ressentis douloureusement par la majorité de la population. Ces millions de partisans qui sortent d’une crise dont ils ont payé le plus lourd tribut ne veulent plus revivre ce qu’ils viennent de traverser. C’est la raison pour laquelle, ils chantent la réconciliation et la paix. Mais, cela ne doit pas être perçu par les sbires de Gbagbo comme un signe de faiblesse mais, au contraire comme une aubaine qui leur est offerte pour se faire pardonner et retrouver leur vraie place.

Autant dire que toutes ces populations (Malinké, Baoulé, Yacouba et autres étrangers) qui ont fait l’objet de massacres ne sont plus disposées à subir la dictature des hors-la-loi. En cas de tentative de déstabilisation, synonyme du retour de la dictature, elles se verraient ainsi dans l’obligation de se défendre pour éviter de se faire massacrer à nouveau. Or, ces populations sont les plus nombreuses en Côte d’Ivoire. Leur riposte à toute velléité de les museler pourrait avoir des conséquences regrettables sur les autres groupes ethniques, complices des tueries de Gbagbo.

Au plan militaire…

La Révolution Orange qui a abouti à la chute de Laurent Gbagbo a démontré la force de frappe des FRCI. De Téapleu(département de Zouan-Hounien) à Locodjoro en passant par de nombreuses localités et le bunker de Gbagbo, l’armée républicaine s’est montrée intrépide face à la redoutable machine de guerre montée par le camp LMP. Des armes de destruction massive dont la tristement célèbre ‘’Orgue de Staline’’, des milliers de mercenaires libériens et de miliciens ivoiriens, des féticheurs et marabouts de tout acabit, Laurent Gbagbo aura mis toutes les chances de son côté pour véritablement écraser Alassane Ouattara et le RHDP, sauf que, malheureusement, la vérité n’était pas avec lui. Le résultat, le monde entier le connait. L’extrême humiliation, le lundi 11 avril 2011 !

Les FRCI ont réussi, après des combats intenses et mortels, à le sortir de son trou comme un vulgaire malfrat. A ce moment-là, lui et ses partisans ont compris que c’était plus fort qu’eux. Ceux qui ont échappé à l’étau des Forces républicaines ont trouvé exil dans les pays limitrophes dont le Ghana qui reste le plus grand asile.

Les FDS ont été défaites car elles n’avaient plus le cœur à l’ouvrage, démotivées qu’elles étaient par une Refondation qui les a méprisées et désarmées au profit de ses forces parallèles. Quatre mois après la chute du faucon bleu, les pontes de son parti ont-ils remobilisé les moyens et les hommes pour prétendre mettre à mal le régime Ouattara ? Comment les ex-FDS et leurs mercenaires pourront-ils reprendre Abidjan quand on sait que la capitale, au même titre que les autres localités de l’intérieur est de plus en plus verrouillée par les FRCI et l’ONUCI appuyés par la Licorne ? Autant de questions qui devraient amener les éventuels candidats à un coup d’Etat à se ressaisir rapidement et se débarrasser de tout ce qui peut les compromettre. L’avertissement de Koné Zacharia est à prendre très au sérieux. Si les canons reprennent, il n’y aura pas de demi-mesure, la riposte sera de taille et la traque sans pitié.

Derrière la volonté du Président Ouattara de réconcilier tous les Ivoiriens se cache, il faut le retenir, une rigueur qui n’épargnera aucun fauteur de trouble. Il n’y a qu’à se référer à ce qui s’est passé le 18 février 1992, à l’occasion de l’assaut final lancé par Gbagbo et consorts. A cette époque l’actuel chef de l’Etat n’était que Premier ministre. En l’absence d’Houphouët, il a tenu le pays d’une main de fer. Bien qu’enfermé à l’hôtel du Golf lors de la crise postélectorale par un blocus du camp LMP, il a réussi, depuis sa ‘’prison’’, à semer ses ennemis qu’il a mis en déroute avec éclat.

Quand on a en face une telle puissance (politique, diplomatique, économique et militaire), la sagesse recommande qu’on abandonne tous les chemins à haut risque. Le sage de Yamoussoukro disait :’’qui veut la paix prépare la guerre’’. Un enseignement, une vraie leçon !

Le Mandat par MASS DOMI

Albert II de Monaco et Charlène « indignés » par les rumeurs

juillet 22, 2011

« C’est insupportable »

Albert II de Monaco et Charlène « indignés » par les rumeurs Albert II de Monaco et Charlène Wittstock sont rentrés de voyage de noces hier. La première chose qu’ils ont faite ? Convoquer la presse pour exprimer leur « indignation » face aux rumeurs persistantes.

À deux jours du mariage, L’Express publiait un papier qui a mis le feu aux poudres : Charlène Wittstock aurait tenté de s’enfuir et ne voudrait plus épouser son prince charmant. La raison ? On avance alors la présence d’un troisième enfant illégitime. Des rumeurs qui seront étayées quelques jours plus tard (mais après le mariage cette fois) avec un papier du Journal du Dimanche : la princesse aurait cherché à s’échapper par trois fois.

Alors que le conte de fée commençait à sérieusement se lézarder, Charlène était sortie timidement de son silence, affirmant dans l’édition américaine de Vogue : « C’est honteux que ce genre de rumeurs sortent à un si mauvais moment ». Mais cela n’aura pas suffi. Lors de leur arrivée en Afrique du Sud, la terre natale de l’ancienne nageuse, le couple a fait hôtel à part en séjournant dans des établissements distants d’une quinzaine de kilomètres. La thèse de tensions entre les jeunes mariés ne pouvaient qu’être renforcée.

Hier, à peine rentrés du Mozambique où ils avaient poursuivi leur voyage de noces, le prince Albert II de Monaco et la princesse Charlène ont décidé de faire une énième mise au point : « Nous voulons vous exprimer notre indignation face aux rumeurs. C’est insupportable », a lancé le prince selon Nice Matin. Et de poursuivre : « Parfois, ces rumeurs nous ont fait sourire ; par exemple lorsque les médias expliquaient que la princesse et moi n’avions pas dormi dans le même hôtel en Afrique du Sud. C’était pour des raisons pratiques évidemment… ». Et pour ceux qui s’inquiétaient de savoir comment s’était déroulé le voyage d’Albert II et Charlène au Mozambique, le souverain a tenu à les rassurer : c’était « un séjour merveilleux ». « Nous n’avons pas été dérangés. C’était une ambiance de rêve ». En espérant que le rêve se poursuive…

Voici.fr par M-A.K

Charlene Wittstock: les rumeurs la mettent en colère

juillet 9, 2011

Charlene Wittstock a-t-elle tenté de fuir à quelques jours de son mariage ? Elle soutient mordicus que non.

À trois jours de son mariage avec Albert II de Monaco, de terribles rumeurs venaient ternir la seconde union royale de l’année : Charlene Wittstock aurait voulu quitter le Rocher par trois fois. La raison ? La supposée vie dissolue du prince Albert et d’éventuels enfants illégitimes.

Mais dans une interview accordée au Vogue US, la princesse Charlene a fermement démenti. « C’est honteux que ce genre de rumeurs sortent à un si mauvais moment, mais je pense que le but était de saboter une si belle occasion, s’est-elle enflammée. Ce sont des mensonges catégoriques ». Pour sa défense, Charlene répondra seulement : « Je ne vais pas m’abaisser à offrir une autre réponse que celle des photos d’Albert et moi, amoureux, nous mariant. Elles crient plus fort que ces ragots vicieux et ces rumeurs vides ».

Alors pour assurer que tout va bien dans le meilleur des mondes, Albert II de Monaco et Charlene Wittstock se montrent très amoureux lors de leur voyage de noces. Un voyage qui débute sous les meilleurs auspices pour le couple puisqu’Albert bosse avec le Comité International Olympique. Allez dans quelques jours, leur lune de miel commencera vraiment. Quant au prochain lieu de villégiature, il est encore tenu secret, même si certaines rumeurs évoquent le Kenya ou Bali.

Voici.fr

Charlene Wittstock: Elle met fin aux rumeurs

juillet 8, 2011

Alors que les médias s’acharnent sur elle et sur son couple, Charlene Wittstock a tenu à mettre les choses au clair. La nouvelle Princesse de Monaco a confié au magazine Vogue que les rumeurs la disant malheureuse avec Albert sont totalement fausses.

Charlene Wittstock est heureuse en amour et elle n’a pas voulu quitter Albert de Monaco. Les rumeurs sont fausses, et c’est elle-même qui le dit. En effet, au magazine Vogue, la belle Charlene a déclaré : « C’est honteux que ce genre de rumeurs sortent à un si mauvais moment (…) Je pense que le but était de saboter une si belle occasion. Ce sont des mensonges catégoriques ». Voilà qui est dit.

L’histoire selon laquelle elle aurait été vue à l’aéroport de Nice avec un aller simple pour l’Afrique du Sud est donc un simple ragot, que le Palais Princier ne cesse de démentir. Déjà avant le mariage, le Centre de Presse du Ministère d’Etat de Monaco avait déclaré à TF1 News : « Il s’agit de rumeurs et nous ne commentons pas les rumeurs ». Puis le Palais Princier avait fait circuler un communiqué explicitant : « Ces rumeurs n’ont pour but que de nuire gravement à l’image du Souverain, par conséquence à celle de Mlle Wittstock, et portent un préjudice grave à cet événement heureux ».

Mais ce démenti officiel n’avait pas suffi. Les médias ont continué, jusqu’à ce que le Palais Princier ne prenne plus du tout à ça à la rigolade et menace de poursuivre les journaux qui continuent à colporter les rumeurs de fuite. « Suite aux allégations mensongères persistantes diffusées par VSD et France Soir, le Palais Princier tient à réitérer que les faits rapportés sont sans aucun fondement et s’indigne que des groupes de presse continuent à faire paraître de fausses informations », a affirmé le Palais dans un communiqué. « Le Palais Princier entend désormais donner des suites juridiques si de tels propos étaient encore tenus », a-t-il précisé (voir ici).

Alors, les propos de Charlene vont-ils réussir à faire taire ces rumeurs ?

New Stars

Charlene Wittstock : le point sur les rumeurs

juillet 5, 2011

Trois tentatives de fuite ?

Depuis plusieurs semaines, des rumeurs viennent ternir le mariage du prince Albert II de Monaco avec Charlene Wittstock. Voici.fr fait le point pour vous.

Un mariage de prince, ça fait rêver : de la star, de la robe en veux-tu en voilà, des diamants, des fleurs de partout, et même le tapis rouge… Tout est réuni pour coller avec la magie des contes de fées. En théorie du moins, car celui du prince Albert II de Monaco a été quelque peu entaché.

>>> Regardez toutes les photos du mariage d’Albert et Charlene : la cérémonie civile, la cérémonie religieuse et la soirée

Ce qui serait pointé du doigt, ce serait la vie dissolue du prince. Mardi, le site L’express.fr révélait que Charlene Wittstock aurait tenté de se faire la belle à trois jours de la cérémonie. Le JDD va encore plus loin et révèle, dans son édition d’hier, que Charlene Wittstock aurait essayé de s’enfuir à trois reprises. La première, c’est lorsqu’elle est venue à Paris en mai dernier, dans la boutique Giorgio Armani, pour les essayages de sa robe de mariée. Elle se serait d’ailleurs « réfugiée à l’ambassade de son pays d’origine », précise le journal. La deuxième, c’était fin mai. Alors que tous les projecteurs étaient braqués sur Monaco à l’occasion du Grand Prix de Formule 1, la Sud-Africaine aurait cherché une nouvelle fois à partir. La dernière, c’était à quelques jours du mariage. Ce n’est « non pas sur le tarmac de l’aéroport de Nice, mais sur l’héliport de Monaco » que Charlene aurait été récupérée in extremis par les carabiniers, qui lui auraient alors confisqué son passeport. Certains défendent même la thèse selon laquelle, pour s’assurer de sa présence tout au long du week-end, « un accord aurait été conclu entre les futurs mariés », selon le JDD.

>>> Le dessin de Louison sur la folle rumeur du départ de Charlene Wittstock

Ce qui aurait mis le feu aux poudres : une nouvelle paternité d’Albert II de Monaco. « On parle d’enfant caché, mais tout l’enjeu serait de savoir s’il a plus de cinq ans, car Charlene et Albert sont officiellement ensemble depuis cinq ans », a expliqué le conseiller d’un parlementaire monégasque. Or, plusieurs sources évoqueraient « deux enfants illégitimes (l’un déjà né, l’autre à venir) », d’après le Journal du Dimanche. Tout en sachant qu’Albert II de Monaco a déjà reconnu deux enfants illégitimes, Jazmin, 19 ans, et Alexandre, 8 ans.

Voici.fr par M-A.K.