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Congo: Firmin Ayessa satisfait de l’inhumation du concurrent du dictateur Sassou-Nguesso

janvier 24, 2022
Firmin Ayessa et son beau fils Sassou Dénis

J’interpelle monsieur Firmin Ayessa vice-premier ministre de venir dire sur la place publique ce qu’il sait du décès de l’opposant Brice Parfait Kolélas.

Le peuple congolais a entendu ses propos qu’il a proférés, ses menaces, ses intimidations à l’égard du Président de Yuki dont le « crime » fut de se présenter contre le petit tyran Sassou à l’occasion des présidentielles. Guy Brice Parlait Kolélas est mort la veille du scrutin. Comme par hasard. Officiellement de la Covid 19.

Firmin Ayessa tint publiquement les propos suivants : Avec tout le bien qu’on t’a fait, on t’avait dit de ne pas t’engager aux présidentielles. Tu nous tournes le dos. Mais tu verras ce qui t’arrivera. Tu boiras de l’eau avec une fourchette.

Ces menaces se sont réalisées, Brice Parfait Kolélas est mort à la suite prétendument de pandémie. Ce qui n’a pas été démontré. Vos propos délibérés d’humilier Parfait Kolélas, le léser, blesser, opprimer, envoyer dans la tombe ont eu leurs effets sur le terrain. Tout montre à voir qu’il y a eu « passage à l’acte. »

Guy Brice Parfait Kolélas est décédé quelque mois après vos menaces, monsieur le proche collaborateur de Sassou, de plus son beau-père. Vous êtes donc co-responsable des crimes commis par le tyran congolais depuis son arrivée par effraction au sommet de l’Etat.

De la chronique d’une mort annoncée de Guy Brice Parfait Kolélas, en saviez-vous quelque chose ? Si, animal politique, vous êtes courageux, venez sur la place publique donner votre version. Regrettiez-vous ou non le décès de Guy Brice Parfait Kolélas ? Il est vrai qu’on ne vous a pas vu à ses obsèques vendredi 21 janvier 2022. Mais avez-vous résisté à la volonté d’y envoyer vos espions ? L’assassin rôde toujours sur la scène du crime.

Peu de temps avant, Dominique Okemba, votre frère, se frottait les mains. C’était après les bombardement dans le Pool. Il a dit au cours d’une causerie (c’est-à-dire sur la place publique) : « Le ciel n’est pas tombé ». Autrement dit il ne court aucun châtiment. En fait, l’impunité totale est la sanction de ceux sur qui aucune sanction ne tombe du fait que le pouvoir de juger est entre leurs mains.

Ayessa et Okemba vivent dans l’insouciance quand les autres sont dans la douleur. Sachez que l’horloge judiciaire viendra. L’histoire les reconnaîtra comme étant des coupables. Quel que soit le temps que met le châtiment, il finit par arriver. Les Romains parlaient à juste titre de la « punition au pied boiteux. »

Continuez de faire vos révisions constitutionnelles pour vous pérenniser au pouvoir, viendra un jour où, la sanction vous atteindra, quand bien elle marche en claudicant.

Je vous informe, Monsieur AYESSA, que cette infraction d’intimidation est prévue à l’article 423 du Code criminel – une personne sera coupable d’intimidation si, … sans motif légitime, use de violence ou de menaces de violence…

Les preuves ? Oui, les preuves seront rassemblées, soyez-en sûrs. Vous serez susceptible d’une peine de prison d’un maximum de 2 ans au moins et 1 jour ou de 5 ans. La République vous a à l’œil.

Avec Congo-liberty par Philippe Youlou, avocat au Barreau de Nice

Un livre sur la cuisse

mai 13, 2021

Un livre ouvert sur la cuisse

Est un moment chargé de délices

Permettant de savourer l’intrigue

Avec les ingrédients de la langue

Pour le bonheur secret de la création

Prenant le temps d’offrir la satisfaction

À l’œuvre conçue dans un esprit monastique

Qui nous invite avec des mots sympathiques

En réfléchissant sur le rôle des personnages

Lorsque notre regard se promène entre les lignes

Nous descendons les paragraphes comme la montagne

Au gré du sourire qui irradie le visage du sage

Bernard NKOUNKOU

Centrafrique: reprise des combats

décembre 28, 2012

De violents combats ont eu lieu aujourd’hui à Bambari (centre), ville occupée depuis dimanche par la rébellion du Séléka qui a repris les armes le 10 décembre et s’approche dangereusement de Bangui, a-t-on appris de source militaire centrafricaine.

« Des éléments des Forces armées centrafricaines (Faca) ont attaqué Bambari pour essayer de la reprendre. Les combats ont été particulièrement violents. On ne sait pas encore qui contrôle la ville », a indiqué cette source sans plus de précisions.
Selon une source humanitaire, « des témoins situés à 60 km de Bambari ont entendu des détonations et des armes lourdes pendant plusieurs heures dans la journée ».

La reprise des combats intervient alors que les pays d’Afrique Centrale ont entamé vendredi une médiation en Centrafrique pour tenter d’obtenir un cessez-le-feu et des négociations entre le régime du président François Bozizé et la rébellion. Parallèlement, les ministres des affaires étrangères de la Communauté économique des états d’Afrique centrale ont entamé une rencontre à Libreville (Gabon) pour trouver une solution de sortie de crise.

Le Séléka, qui revendique le « respect » de divers accords de paix signés entre 2007 et 2011, a conquis de nombreuses villes du nord et du centre de la Centafrique à une vitesse fulgurante, s’emparant de plusieurs villes stratégiques telles que Bria et Bambari (centre) et récemment Kaga Bandoro, au nord de Bangui.

Aujourd’hui, des éléments du Séléka ont été signalés aux alentours de Damara, ville située à a peine 70 km de Bangui, que la rébellion a pourtant affirmé ne pas vouloir attaquer.

Réunis le 21 décembre à N’Djamena, les chefs d’Etats de la CEEAC avaient appelé à des négociations « sans délai » à Libreville, en donnant un ultimatum d' »une semaine » à la rébellion pour se retirer de ses positions, ultimatum arrivant à terme aujourd’hui.

Le Séléka avait exprimé sa « satisfaction » devant la proposition de négociation, mais avait maintenu ses positions et continué sa progression vers Bangui, se justifiant par « les provocations des Faca », « l’absence de cessez-le-feu » et le « manque de garanties ».

Lefigaro.fr avec AFP

Opposition congolaise: causerie à bâtons rompus avec Mathias Dzon sur RFI et TV5

octobre 29, 2012
 
Mathias Dzon, sur le plateau de RFI et TV5, donne ses impressions sur certaines questions alarmantes et cruciales qui minent et ruinent le Congo-Brazzaville. La gouvernance dans un système dans lequel il a été l’argentier secret du Chef de l’État en 1997 ? Mais dans cette démocratie congolaise, en mal de se trouver un vrai leader d’opinions et de rassemblement, l’opposition dort comme un chien affamé qui est entrain de perdre ses poils. Et au moindre morceau d’os dans le plateau, ses acteurs se dispersent dans les rangs, pour se retrouver dans la mangeoire du pouvoir.
 
L’opposition n’a plus de locomotive pour redonner l’espoir du combat politique. Sassou Nguesso est devenu le seul maître, à bord, qui tient les commandes et distribue les cartes de présence tant à l’hémicycle qu’au gouvernement et aux hautes fonctions de l’État.
 
Le Congo, pays prospère en richesses minières mais pauvre car la population ne mange à sa faim. A quand la satisfaction totale des revenus de la vente de la production du patrimoine économique ?
 
Vidéo de Mathias Dzon : http://youtu.be/Xqo79bRJd3c

Les pulsions débordantes de l’amour

mars 7, 2012

 

Ton amour porte à jamais les cornes du mensonge

traînant entre les pattes la clé passe-partout du voleur

qui saute par la fenêtre après la satisfaction du  plaisir

 

Je te vois gambader et sautiller puis vite au trot à poil

comme un cheval excité qui a brisé l’entrée de l’enclos

courant derrière  toutes les femelles de la ferme

 

Les pulsions débordantes de ton amour excessif

nécessitent un contrôle médical sûr pour laver

le voile souillé de la sottise de la normalité.

Bernard NKOUNKOU

Au salon de la vie

mai 4, 2011

Je te prends
tu me tiens
au salon de la vie

Je t’embrasse
tu m’arroses
de tes baisers à l’envie

Quand les hanches
du fût de ton corps
enlacent ma chair

Je réponds doucement
au parcours de mes doigts
au contact de ta chair

Jamais un flux d’énergie
n’a aussi bien transité
du relief de ta plage corporelle

D’où le plasir de mon être
ne trouve satisfaction
sur ton ventre verticale.

Bernard NKOUNKOU