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Congo-P/Noire : incapable de le bouffer, les sorciers de sa famille racontent partout qu’il a le sida

décembre 14, 2022
 P/Noire : incapable de le bouffer, les sorciers de sa famille racontent partout qu’il a le sida

On vient d’apprendre qu’une personne atteinte du VIH ne peut être victime des sorciers de sa famille. C’est le cas de Jonas M, cadre à la Bralico et résidant au quartier Thystère de Pointe-Noire. Les sorciers de sa famille qui l’ont programmé pour ce mois de décembre se seraient rendus compte que dans son sang circulait le virus du sida, rendant impossible leur mission. Ils ont commencé à raconter partout sur sa séropositivité.

Cette fois-ci les sorciers d’une famille Vili sont aux abois, leur proie des fêtes de fin d’année est impossible d’être «mangée». Ces sorciers sont en colère au point de répandre partout que Jonas M a le sida.

Dans leur deuxième monde, les sorciers de cette famille qui ont fait leur choix sur Jonas M, se sont retrouvés confrontés à un grand dilemme susceptible de nuire à leur propre santé. Il s’est avéré que leur choix serait atteint du sida et risquait de se contaminer. Ils ont dû renoncer avec regret à leur plan. Le sida aurait sauvé Jonas M d’être ensorcelé.

Jonas M qui a appris auprès des siens sur son état de santé s’est indigné de cette exposition sur la place de sa maladie. Son médecin qu’il a consulté a nié catégoriquement en être l’auteur, affirmant que le sermon d’hypocras le lui interdisait. Finalement, Jonas M a compris dans les prières que c’étaient les sorciers de sa famille qui salissaient son nom après leur échec nocturne contre sa vie.

Avec Le Congolais.fr

Des centaines de conférenciers sur le sida demandent l’asile au Canada

décembre 4, 2022

De nombreux délégués africains ont profité de leur présence à Montréal l’été dernier pour tenter de rester au pays, a appris Radio-Canada.

La Conférence internationale sur le sida a eu lieu à Montréal du 29 juillet au 2 août 2022.

La Conférence internationale sur le sida a eu lieu à Montréal du 29 juillet au 2 août 2022. Photo:  (Paul Chiasson/The Canadian Press)

Ce sommet avait fait grand bruit, et pas nécessairement en raison de son sujet, pourtant gravissime.

Au cours des semaines précédant la 24e Conférence internationale sur le sida, les longs délais pour obtenir un visa avaient été vivement critiqués, tant par les participants que par les organisateurs.

Fin juillet, sur la scène du Palais des congrès de Montréal, la présidente de la Société internationale sur le sida avait même sermonné le gouvernement canadien, tandis que des manifestations avaient condamné les nombreux refus des autorités en ce qui a trait à ces demandes d’autorisation de séjour.

Radio-Canada a obtenu le bilan chiffré de ce sommet. Et il est surprenant.

Près de 300 demandes d’asile

Si on sait depuis longtemps que certains participants étrangers à des rencontres internationales profitent de l’occasion pour fuir leur pays d’origine, ce phénomène a été particulièrement marquant après cette conférence.

D’après des données fédérales, 251 personnes ayant obtenu un visa pour prendre part à cette conférence sur le sida ont déposé une demande d’asile au Canada en date du 30 septembre.

Elles ont pu le faire dès leur arrivée à l’aéroport ou à n’importe quel autre moment par la suite puisque ce visa destiné aux visiteurs est d’une durée maximale de six mois.

Selon nos informations, ce chiffre a encore grimpé et, à ce jour, près de 300 invités à cette rencontre ont maintenant demandé l’asile.

D’où proviennent ces demandeurs d’asile? Nous n’avons pas obtenu cette information précise, mais ils seraient principalement originaires d’Afrique.

Coprésident local de ce sommet, le Dr Jean-Pierre Routy n’est pas surpris par ces données. Ce n’est pas nouveau que des gens profitent d’un congrès pour tenter d’immigrer. À chaque congrès sur le sida, que ce soit en Europe ou aux États-Unis, c’est la même chose, nuance-t-il.

Le même problème pourra se poser à la COP15, ajoute-t-il en référence à la conférence mondiale sur la biodiversité, qui se déroulera à Montréal du 7 au 19 décembre, où des milliers de visiteurs sont attendus.

« Le gouvernement doit avoir conscience du fait que des personnes qui viennent d’un pays en voie de développement veulent rester. C’est un classique. »— Une citation de  Le Dr Jean-Pierre Routy, professeur de médecine à l’Université McGill

Ces dernières semaines, l’avocate Stéphanie Valois a reçu dans son bureau montréalais des participants africains et haïtiens à cette conférence sur le sida, qui souhaitent obtenir l’asile.

Dans leur pays, explique-t-elle, ils sont écartés et jugés dès qu’on sait qu’ils sont touchés par la maladie.

« Ce ne sont pas des demandes d’asile qui sont farfelues. Ce sont des dossiers lourds et tristes. »— Une citation de  Stéphanie Valois, avocate en immigration

Le sida, c’est un gros problème dans beaucoup de pays. On peut comprendre que des gens qui ont témoigné de leur histoire veuillent rester au Canada. Ils ont souvent des craintes de persécution dans leur pays, précise-t-elle.

Tout le monde pense que les gens demandent le statut de réfugié pour fuir la guerre ou pour des raisons politiques. Mais ce n’est pas que ça, ajoute Stéphanie Valois.

Plus d’un millier de refus, principalement pour l’Afrique

Récemment, le ministère fédéral de l’Immigration avait pourtant soutenu publiquement n’avoir trouvé aucune faille dans le traitement des demandes de visa pour cette rencontre internationale.

Or, les chiffres obtenus par Radio-Canada donnent une lecture différente.

Pour cette conférence réunissant des milliers de personnes en provenance de plus d’une centaine de pays, 2811 visas ont été demandés à Ottawa.

Au total, plus d’un tiers de ces demandes (1020) ont été refusées et 150 d’entre elles sont encore en attente de traitement, bien que ce sommet se soit terminé au début du mois d’août.

La répartition de ces rejets diffère sensiblement selon les continents. La grande majorité d’entre eux concerne des personnes originaires d’Afrique. Huit des dix premiers pays pour ce qui est du nombre de refus se trouvent d’ailleurs en Afrique.

L’Ouganda, le Kenya et le Nigeria forment ce podium peu enviable et ces pays ont eu plus de demandes rejetées que de visas accordés.Début du widget . Passer le widget?

Souvent, explique l’avocate Stéphanie Valois, les visas sont refusés sans véritables motifs. La priorité, pour les agents, c’est de voir si ces personnes vont rentrer chez elles, mais ils oublient parfois de regarder l’historique des voyages des candidats. Certains, s’ils voulaient quitter leur pays, auraient pu le faire avant.

Immigration Canada a néanmoins un point de vue différent et défend l’examen minutieux de ces demandes.

« Toutes les demandes sont traitées de manière équitable, impartiale et conformément aux lois canadiennes sur l’immigration. »— Une citation de  Isabelle Dubois, porte-parole d’Immigration Canada

Avant d’accorder un visa, affirme Isabelle Dubois, porte-parole d’Immigration Canada, les agents fédéraux « se penchent sur de nombreux facteurs afin de déterminer si un demandeur est un résident temporaire légitime, notamment les facteurs suivants » :

  • les liens qu’entretient la personne avec son pays d’origine;
  • l’objet de la visite;
  • la situation familiale et économique de la personne;
  • la stabilité économique et politique globale du pays d’origine;
  • des invitations faites par des hôtes canadiens.

Bien que le ministère soit en mesure d’accélérer le traitement des visas, il ne peut pas accorder de traitement spécial ni dispenser les participants et les fonctionnaires invités des obligations de visa, assure-t-elle.

Avec Radio-Canada par Romain Schué

Une résurgence du VIH au centre de la conférence internationale sur le sida

juillet 23, 2018

Plus d’argent, de prévention et moins de répression des populations à risque, des problématiques au menu de la Conférence internationale sur le sida qui s’ouvre à Amsterdam / © AFP/Archives / NOEL CELIS, Noel CELIS

Une résurgence du virus VIH dans certains pays du monde, induite par des lois strictes sur l’usage des drogues et imputée notamment au partage des seringues, inquiètent les membres de la conférence internationale sur le sida qui s’est ouverte lundi à Amsterdam.

Des milliers de délégués – chercheurs, militants, activistes et personnes atteintes par le virus mortel – se sont réunis pour une conférence de cinq jours, alors qu’un relâchement dans la prévention, conjugué à une baisse des financements internationaux, fait craindre un rebond de l’épidémie.

La 22ème conférence internationale sur le sida tente de mettre à profit la célébrité de certaines stars militantes, comme la gagnante de l’Eurovision 2014 Conchita Wurst, afin de soutenir les avertissements criants de nombreux experts.

La chanteuse, qui a annoncé en avril être séropositive et suivre un traitement antirétroviral, a profité de la cérémonie d’ouverture pour insister sur le fait que des millions de personnes n’ont toujours pas accès à ces médicaments vitaux.

« Combien de temps cela prendra-t-il pour que nous rendions les recherches et des thérapies abordables accessibles à chaque être humain qui en a besoin? » a-t-elle demandé.

D’autres personnalités comme le prince Harry, l’actrice Charlize Theron ou le chanteur Elton John prendront le relais de Conchita mardi.

Avec un record de 36,9 millions de personnes actuellement atteintes du VIH, les experts ont averti qu’il ne faut pas baisser la garde, malgré les progrès.

« En Europe de l’Est et en Asie centrale, le nombre de nouvelles infections a augmenté de 30% depuis 2010 », a déclaré la présidente de la Société internationale sur le sida Linda-Gail Bekker dans la capitale néerlandaise.

Il s’agit de « la seule région dans le monde où le virus VIH augmente rapidement, en grande partie à cause de la consommation de drogues injectables. »

– Trop lent –

« En dépit de toutes les avancées remarquables qui ont été réalisées, les progrès pour mettre fin au sida sont encore lents », a estimé Tedros Ghebreyesus, directeur de l’Organisation mondiale de la Santé.

M. Ghebreyesus a averti que les objectifs 2020 de l’ONU sur le VIH et le sida « ne seront pas » atteints « parce qu’il y a trop d’endroits dans le monde où les gens n’ont pas accès aux services de prévention et de traitement dont ils ont besoin. »

Principalement transmis par contact sexuel ou sanguin, le virus VIH, qui cause la maladie du sida, a infecté presque 80 millions de personnes depuis le début des années 80. Plus de 35 millions d’entre eux y ont succombé.

Le Sida / © AFP /

« Lorsque je suis née il y a 20 ans avec le virus VIH, le paysage de l’épidémie était très différent ce qu’il est aujourd’hui », a expliqué Mercy Ngulube, une jeune activiste assistant à la conférence.

« C’est tellement merveilleux de pouvoir vivre une vie dans laquelle je n’ai pas besoin de me réveiller en me demandant si nous avons des outils pour combattre le VIH. »

« Mais c’est aussi triste de vivre une vie dans laquelle je sais que nous possédons ces outils et que certaines personnes n’y ont pas accès », a-t-elle ajouté.

Selon Onusida, il manque 7 milliards de dollars par an afin que cette maladie ne soit plus une menace pour la santé publique mondiale en 2030.

– « Non » à la guerre contre les drogues –

Une cause majeure de cette résurgence sont les législations répressives concernant l’injection de drogues mises en place dans de nombreux pays, particulièrement en Europe de l’Est et en Asie centrale — y compris en Russie.

C’est pourquoi un regroupement d’associations présent à la conférence a mis en place une campagne intitulée: « Dites non à la guerre contre les drogues », détournant un célèbre slogan antidrogue américain de l’administration Reagan des années 80.

Durant la cérémonie d’ouverture, le président de l’Onusida, Michel Sidibe, a été interrompu par plusieurs femmes lors d’une protestation contre ce qu’elles appellent « la machine de la patriarchie ».

Soupçonné d’avoir protégé un de ses collègues accusé de harcèlement sexuel, M. Sidibe a refusé de démissionner la semaine dernière.

La conférence a également rendu hommage à six collègues de la Société internationale sur le sida décédés lorsque le vol de la Malaysian Airlines MH17, en chemin vers la conférence 2014 à Melbourne, a été abattu en plein vol.

« Le monde continue de demander justice pour ce qui est arrivé en ce jour terrible », a déclaré Peter Reiss, un des présidents de la conférence.

Romandie.com avec(©AFP / 23 juillet 2018 23h53)

Sans préservatif dans le quartier rouge d’Amsterdam? « Même pas pour un million! »

juillet 21, 2018

« S’il refuse de mettre un préservatif, c’est dehors ». Corps tatoué et cheveux blonds platine, Foxxy Angel avale un sandwich au chorizo avant de se rasseoir sur son fauteuil de velours rouge, derrière les vitres d’un bordel du célèbre quartier rouge d’Amsterdam.

Les rues de ce bout de centre-ville sont parsemées de rez-de-chaussée de maisons pittoresques dotés de trois vitrines, entourées d’une lumière de néon rouge. Emblématiques de la capitale des Pays-Bas, ces antres de la prostitution sortent de l’ombre la semaine prochaine avec la réception de la Conférence internationale du sida.

« Lorsque nous avons choisi Amsterdam pour accueillir la conférence, c’est assurément avec l’idée de mettre en lumière les personnes les plus vulnérables et exposées au VIH », explique Linda-Gail Bekker, présidente de la Société internationale sur le sida (IAS). « Si nous ne donnons pas d’attention à ces personnes-là, nous échouerons dans la lutte contre le sida », ajoute-t-elle à l’AFP lors d’une visite dans le quartier rouge samedi.

– Dépistage –

De derrière leur mur de verre, au détour des couloirs feutrés et des chambres sombres, les travailleuses et les travailleurs du sexe n’ont pas attendu la venue du gratin mondial de la science et de la médecine pour prendre conscience du risque que leur fait courir la pratique du « plus vieux métier du monde ».

« Je n’ai jamais de rapports sexuels sans préservatifs et je fais des dépistages quatre fois par an pour les IST (Infections sexuellement transmissibles) et le VIH », virus responsable du sida, raconte Foxxy Angel, Néerlandaise de 47 ans.

Après plus de trois décennies de recherche, le virus reste incurable et sans vaccin. Il a contaminé quelque 80 millions de personnes depuis le début de l’épidémie au début des années 1980.

Parmi ces personnes, des collègues de Foxxy Angel et d’Elsa, sa jeune voisine de vitrine. Au sein du quartier rouge, cela fait belle lurette que le sida n’est plus tabou.

« Je n’en ai pas peur du tout, certaines de mes copines sont infectées par le VIH mais elles continuent de travailler. C’est possible aujourd’hui », raconte la jeune américaine de 25 ans, faisant référence aux progrès médicaux.

La prostitution a été légalisée en 2000 aux Pays-Bas et les prostituées, enregistrées à la chambre de commerce, payent des impôts sur leur travail.

Environ 7.000 personnes travaillent dans le secteur du sexe tarifé à Amsterdam et 75% d’entre elles proviennent de pays à bas revenus, particulièrement de l’Europe de l’Est, selon la municipalité.

– Ne pas fermer les yeux –

« Mariée et polyandre », travailleuse du sexe depuis l’âge de 17 ans, Elsa occupe une vitrine le long d’un des nombreux canaux d’Amsterdam. En face d’elle, le bordel où elle a fait ses gammes depuis qu’elle a posé ses valises aux Pays-Bas, fuyant le manque de liberté qu’elle éprouvait dans l’exécution de son travail aux Etats-Unis.

Tout comme Foxxy Angel, Elsa se rend plusieurs fois par an dans un centre de dépistage financé par la commune, à deux pas de leur lieu de travail.

« Je fais très attention, j’utilise des préservatifs. Mais ces dépistages sont gratuits, donc j’en profite », confie la jeune femme, vêtue d’un haut rose et d’un legging noir.

Si les moeurs ont changé depuis l’arrivée du sida, démocratisant le préservatif jusque dans les maisons closes, les travailleurs du sexe doivent toujours garder un oeil ouvert.

« Certains hommes essaient de retirer le préservatif pendant le rapport sexuel. Lorsque cela arrive, c’est la fin du rendez-vous, immédiatement », affirme Foxxy Angel, prostituée depuis 15 ans et ancienne vendeuse dans le prêt-à-porter.

« Même pas pour un million j’accepterais cela », insiste-t-elle.

Romandie.com avec(©AFP / 21 juillet 2018 21h48)                                                        

Attention infection VIH-SIDA

novembre 1, 2017

Prenez garde et informez votre entourage !

Afrique, terre de Cobaye pour les industries pharmaceutiques

FAIRE LARGE DIFFUSION S’IL VOUS PLAIT AUTOUR DE VOUS C’EST VRAIMENT HALLUCINANT COMME BÊTISE HUMAINE ! ! ! ! MIEUX VAUT LE SAVOIR ET FAIRE ATTENTION QUE DE L’IGNORER

Il est presque minuit, et nous venons de visualiser un reportage hallucinant sur la deuxième chaîne de télévision française. Depuis le mois de Septembre 2004 un laboratoire américain du nom de GEDEAD s’est implanté à Douala pour (officiellement) tester un médicament ‘préventif’ du nom de VIREAD sur des jeunes camerounaises saines c.a.d. SERONEGATIVES! !

A raison de 4 Euro par mois + des examens médicaux gratuits et une promesse de prise en charge en cas de contamination, les filles sont encouragées à n’avoir que des rapports sexuels non protégées avec des partenaires multiples. On leur ment que ce fameux VIREAD les protège, que c’est un vaccin et qu’elles ne pourront plus jamais être contaminées. En plus, elles auront contribué au progrès de la science!!!!

Le but (toujours officiel) de cet essai est justement de voir si le fameux viread protège. Donc après avoir absorbé cette pilule sans du tout savoir ce qu’elle contient, les filles sont livrées à la nature et reçoivent 4 Euros par mois lorsqu’elles viennent se faire tester mensuellement pour le SIDA et pas pour les autres MST tout aussi graves comme les hépatites et autres maladies virales…

(Officiellement) , 400 filles volontaires et pas informées du tout ont ainsi été recrutées par un camerounais ayant reçu une somme de 800 000$ de ce labo américain. Beaucoup de ces filles ayant déjà été contaminées, ont été purement et simplement abandonnées dans la nature (témoignage à l’appui).

A mon avis la mission secrète ciblée est simplement de continuer à propager le sida, déjà terriblement élevé chez nous. Ne pouvons-nous pas dire qu’il s’agit ici d’un crime contre l’humanité ? Inoculer un virus de sida à Douala à des prostituées ne manque pas de stratégie. Douala est la plaque tournante du Cameroun.  Ce n’est qu’une histoire de temps avant que ce virus ne se répande dans tout le pays.

Un responsable du ministère de la santé déclare sans aucune crainte de choquer que son poste a été créé après l’implantation de ce laboratoire. Donc il n’a pas pu empêcher cela et il ne peut interdire ce test. VOILA.

De tels tests se passent actuellement dans plusieurs pays pauvres tels qu’Haïti, Jamaïque, République Dominicaine, Cambodge et d’autres pays africains, nous avons vu la République centrafricaine par exemple… On a parlé de 10 pays sans les citer tous explicitement…

Nous crions de douleur face au sentiment d’impuissance qui nous envahit devant notre petit écran d’ordinateur.

La seule réaction que nous puissions avoir est d’envoyer ce mail à tous ceux dont nous connaissons l’adresse électronique. Si vous ressentez la même chose que nous, nous vous prions d’envoyer ce mail à tous ceux qui vous sont chers.. Peut-être arriverons-nous à informer un grand nombre de personnes…

Faites attention à vous et sensibilisez vos familles!

Dr Judith Kareine Dubois, M.D

Dr Abbé Amoumbba, M.D

Professeur Marc-Antoine De Pigani, Virologue.

Daphney Saint-Pierre, Phamacologue.

Cyrille Deutou , Analyste Politique en herbe

Thanks to Elle Wise for informing me on this.

La conférence sida appelle les États-Unis à maintenir leur aide financière

juillet 23, 2017

Linda-Gail Bekker, chercheuse au Desmond Tutu HIV Centre (Afrique du Sud) et présidente de la Société internationale du sida, le 23 juillet 2017 à Paris / © AFP / FRANCOIS GUILLOT

Les organisateurs de la conférence internationale de recherche sur le sida, qui s’est ouverte dimanche à Paris, ont appelé les Etats-Unis, premier contributeur dans la lutte contre l’épidémie, à « rester engagés » financièrement, alors que le président Donald Trump a menacé les aides de coupes budgétaires.

« Les Américains représentent un financement essentiel dans ce domaine et nous avons besoin qu’ils restent engagés », a déclaré Linda-Gail Bekker, chercheuse au Desmond Tutu HIV Centre (Afrique du Sud) et présidente de la Société internationale du sida, au cours d’une conférence de presse.

Dans le cas contraire, cela se traduirait par des morts et des nouvelles contaminations supplémentaires, a-t-elle averti.

Les « progrès remarquables » accomplis dans la lutte contre le sida n’auraient pas été possibles sans la recherche, « toute coupe dans les financements remettrait en cause ces progrès », a-t-elle souligné.

6.000 spécialistes du sida sont réunis à Paris à partir jusqu’à mercredi pour faire le point sur les avancées de la recherche, sur fond d’inquiétude face à la baisse du soutien financier à la lutte contre le VIH ces dernières années.

Au niveau mondial, les dons gouvernementaux ont chuté l’an dernier à leur plus bas niveau depuis 2010 – à 7 milliards de dollars (environ 6,4 milliards d’euros) contre 7,5 milliards de dollars en 2015 – selon la Kaiser Family Foundation.

Les Etats-Unis sont historiquement le plus gros contributeur à la lutte contre le sida : ils représentent à eux seuls plus des deux tiers des financements gouvernementaux internationaux.

Le président Donald Trump propose de réduire ces dépenses dans le budget 2018, actuellement en discussion au Congrès, pour un montant global évalué à plus d’un milliard de dollars par l’ONG américaine Health Gap.

Il faut « réduire les financements de plusieurs programmes de santé, dont certains concernent le sida, en considérant que d’autres donneurs devraient augmenter leur contribution », a écrit Trump en mai dans un projet de budget.

« Cette semaine nous allons montrer que les investissements dans la lutte contre l’épidémie ne sont pas perdus: cet argent n’est pas gaspillé, il sauve des vies », a dit Linda-Gail Bekker.

« Nous sommes en train de briser la colonne vertébrale de l’épidémie. C’est un moment que nous ne pouvons pas laisser passer », a de son côté plaidé Michel Sidibé, directeur exécutif de l’Onusida. Il veut croire au « soutien transpartisan pour les programmes » contre le sida qu’il a senti chez les parlementaires américains.

Romandie.com avec(©AFP / 23 juillet 2017 20h23)

Côte d’Ivoire: A Abidjan, des professionnelles du sexe font barrage au VIH

avril 10, 2016

 Manifestation contre le sida à Abidjan et pour l'utilisation du préservatif en 2008.

Manifestation contre le sida à Abidjan et pour l’utilisation du préservatif en 2008. Crédits : KAMBOU SIA/AFP
« Un trait, yes ! » Keira, Nigériane de 24 ans, mini-short, lèvres fuchsia et tatouage qui lui mange le bras tient dans sa main une bandelette de dépistage rapide du VIH. Négatif. Visiblement soulagée, elle éclate d’un rire sonore. Dans sa minuscule chambre sans fenêtre, un ventilateur tourne à plein régime sans parvenir à rafraîchir l’air. Une goutte de son sang et quinze minutes d’attente ont suffi pour obtenir le résultat. « J’ai 15 à 20 clients par jour, mais j’utilise toujours un préservatif. Et j’avais déjà fait le test il y a trois mois. Je n’avais pas peur », lance-t-elle, bravache. Son visage s’était pourtant crispé au moment de lire le résultat.

Comme des dizaines d’autres filles venues du Nigeria, Keira vit et se prostitue dans le bidonville du quartier de Port-Boué, à Abidjan. Dans le dédale de ruelles, les chambres de passe se succèdent et les filles s’apostrophent sur le pas de leur porte. Une jeune femme qui se fait appeler Mecy avoue, elle, que le test de dépistage est toujours une épreuve.

« Avant l’an 2000, on ne se protégeait même pas »

Keira n’était pas seule pour lire le résultat de son test. C’est Solange, 35 ans, jeune femme ivoirienne posée et douce, qui lui a piqué le doigt. Et elle a profité du temps de réaction de la bandelette pour lui rappeler l’importance du port du préservatif et les bons réflexes à avoir s’il se déchire. Comme Keira, Solange se prostitue. Elle est, comme elle se désigne elle-même, une « PS », comprendre une professionnelle du sexe. Mais elle a aussi été formée pour être une « EP », une « éducatrice des pairs ». « Quand le résultat est positif, ça peut être l’horreur, assure Solange. Les filles peuvent pleurer, bien sûr. Mais elles peuvent aussi avoir une réaction hostile, se braquer, nous accuser d’avoir bidonné le test. »

Avec Kate, 55 ans, elle aussi PS et EP, très en chair et l’air fatigué, Solange travaille pour l’ONG Espace Confiance, précurseur dans la prise en charge des professionnelles du sexe. Toutes deux sont chargées de la sensibilisation et du dépistage du VIH parmi leur communauté. La Côte d’Ivoire est le pays d’Afrique de l’Ouest le plus touché par le sida : 3,7 % des adultes vivent avec le VIH. Si ce chiffre est en baisse, l’épidémie fait toujours rage. Et les 15 000 femmes prostituées en Côte d’Ivoire (dont la moitié travaille à Abidjan) sont touchées de plein fouet.

Mais grâce au travail de terrain des éducatrices, mené depuis les années 1990 et soutenu par le ministère de la santé ivoirien, elles le sont de moins en moins. Le taux de prévalence – c’est-à-dire le nombre de personnes contaminées dans une population donnée – est passé de 32 % à 18,5 % de 2002 à 2008, et est aujourd’hui estimé, dans le district d’Abidjan, à 11,4 %. L’objectif est de le ramener au même niveau que celui de la population générale, d’ici à une dizaine d’années.

Kate croit d’autant plus à sa mission qu’elle a connu les heures les plus sombres du sida, quand la maladie décimait sa communauté. « Beaucoup de mes copines sont mortes. A l’époque, je ne savais pas que c’était le sida. Avant l’an 2000, on ne se protégeait même pas. » La quinquagénaire s’est impliquée comme éducatrice dès la fin des années 1990. La technique de sensibilisation est depuis encouragée au plus haut niveau, tant par le ministère de la santé ivoirien que par le Fond mondial contre le sida, la tuberculose et le paludisme.

Difficile recourt aux soins

Avant que les deux éducatrices ne s’éloignent, Keira interpelle Kate discrètement. « J’ai une infection vaginale. J’ai besoin que tu m’amènes à la clinique. Si je dois y aller toute seule, je vais être perdue. » Les EP sont aussi là pour aider leurs protégées au quotidien. La clinique en question est celle d’Espace Confiance. Car, si la prostitution n’est pas criminalisée, les prostituées sont fortement stigmatisées dans la société ivoirienne. Rares sont celles qui osent informer les médecins de leur activité dans les structures de soin classiques. Ces tabous ont des impacts sur leur suivi gynécologique et la qualité des soins qui leur sont offerts.

Même si Espace Confiance leur est dédié, faire venir les femmes séropositives et leur faire accepter le traitement restent un défi. Isa Coco a été formée au dépistage par l’ONG il y a à peine six mois. « Ça arrive souvent que tu dépistes une fille et que tu n’arrives pas à la convaincre de venir à la clinique pour commencer un traitement par antirétroviraux (ARV). Alors tu es obligée d’insister, de ne pas la lâcher. Moi je retourne la voir en essayant d’être discrète pour ne pas éveiller les soupçons des autres filles. Et puis je lui téléphone. Mais les filles bougent beaucoup, et il y en a plein qui te donnent de faux numéros de téléphone. »

Le jeu en vaut pourtant la chandelle. Les ARV sont disponibles et complètement gratuits à la clinique. Et celles qui passent la porte pour entamer un traitement sont à peine 15 % à l’abandonner en cours de route.

Pénis en bois

Le jour se couche sur Abidjan et le quartier de Treicheville s’anime. Dans les rues, la musique commence à monter et les bars à se remplir. Au Rencart chez les filles, qualifié pudiquement de bar à hôtesses, trois EP viennent d’arriver. L’endroit est miteux et à peine éclairé. Elles y trouvent Sandy, Florence et Marie-France, des Ivoiriennes francophones. Aucun client à l’horizon. Assises en tailleur par terre, elles se préparent au travail. L’heure est au maquillage et à la coiffure. Les filles accueillent les éducatrices avec enthousiasme. « Honnêtement, avant, je ne me protégeais pas, commence Marti, 37 ans. Parce que l’argent était ma priorité. Et les clients te proposent plus d’argent pour coucher avec toi sans capote. J’ai ouvert les yeux : l’argent disparaît, mais la maladie reste. Depuis trois ans, j’essaie de passer le message aux autres. » Energique et pédagogue, elle sort de son sac un cahier usé.

Au fil des pages, des photos en gros plan de sexes, masculins et féminins, malades de toutes sortes d’IST visibles. Le cahier passe de mains en mains, provoquant rires gênés, têtes dans les mains et moues de dégoût. « Vous voyez, ça, ça n’est pas normal ! Si vous avez ça, il faut aller à la clinique. » Marti parle simplement et crûment. Et fait participer les filles pour garder leur attention. « Qui peut me rappeler les trois voies de transmission du VIH, une bonne fois pour toutes ? », lance-t-elle avant de dégainer un pénis en bois. La nuit est tombée et les néons du bar ne suffisent plus à l’éclairer. Qu’à cela ne tienne, Sandrine, une autre éducatrice, utilise la lampe torche de son smartphone. Les rires et les applaudissements fusent quand Marti montre comment faire accepter le préservatif au client pendant la fellation en le mettant en place avec la bouche. « Ça rend la chose plus chic », s’amuse Sandrine.

Le patron du bar, Aimé, trentenaire arrivé en cours de séance, apprécie aussi les éducatrices. « Elles mettent tout le monde à l’aise. Elles ne stressent pas les filles et répondent à toutes leurs questions. En fait, elles donnent envie à tout le monde de se protéger. » Toutes les PS ne sont pas toujours aussi réceptives que celles de Treichville. « Il y a des filles qu’on énerve, qui se demandent ce qu’on leur veut. Certaines continuent à avoir des comportements risqués pour gagner plus d’argent. Il faut les approcher, être patientes et tout encaisser », explique Marti. Il est 19 h 30 et les premiers clients arrivent. Le volume musical explose. Les filles apprêtées et dévêtues sont méconnaissables. La nuit de travail peut commencer. Pour toutes, prostituées comme éducatrices, c’est un éternel recommencement.

Lemonde.fr par Héloïse Rambert (contributrice Le Monde Afrique, Abidjan)

Sida : comment le virus a quitté son berceau près de Kinshasa

avril 2, 2016

 

INFOGRAPHIE – Comprendre comment le VIH est sorti de la forêt africaine dès 1920 aidera à combattre les virus émergents.
Le premier cas de sida ne date pas de 1981. «Les biologistes moléculaires sont formels, vingt ans avant le cas zéro en Occident, il y avait déjà une épidémie en Afrique centrale», explique Martine Peeters, virologue et directrice de l’Institut de recherche et développement (IRD) à Montpellier.
«Dans l’imaginaire de tout le monde, le sida est apparu au début des années 1980, or les scientifiques datent l’origine du virus du début du XXe siècle. Il y a là un mystère, un virus qui se propage et que les gens ne voient pas, une épidémie invisible», commente Hervé Guérin, responsable Sciences à France 5. Il a soutenu le documentaire Sida, sur la piste africaine, diffusé vendredi après-midi sur France 5 (rediffusion lundi 4 avril à 0 h 55), qui retrace l’incroyable histoire du virus de l’immunodéficience humaine (VIH).

511 kilomètres de rails

«Une odyssée tragique qui a commencé il y a longtemps, très longtemps, aux confins du Cameroun», explique Rémi Lainé, auteur de ce documentaire. Mais, pendant plus de cinquante ans, personne n’a rien vu. Car mourir de cachexie (dénutrition majeure) ou d’infections diverses n’a rien d’exceptionnel en Afrique. Et d’ailleurs, que voir? Avec les moyens de la médecine coloniale du début du siècle, un jeune médecin français en poste au Moyen Congo français en 1931, le Dr Léon Pales, a bien multiplié les autopsies pour comprendre de quoi mouraient en nombre (17.000 morts entre 1921 et 1934) les ouvriers du chemin de fer en construction pour relier Brazzaville au port de Pointe-Noire, 511 km à travers les forêts hostiles du Mayombe. Il n’avait rien trouvé, du moins aucun des pathogènes habituels.

«Récemment, le fils d’un médecin qui avait été en poste au Congo belge m’a offert les fiches de patients rédigées par son père. La description colle avec le sida», explique Éric Delaporte, médecin et chercheur à l’IRD de Montpellier. Mais surtout, la médecine coloniale a laissé un trésor dans les frigos des différents centres. «On a retrouvé à Kinshasa des biopsies datant de l’époque coloniale et on a pu mettre en évidence par des techniques moléculaires la présence du VIH1, explique Martine Peeters. Vingt ans avant le cas zéro en Occident, il y avait déjà une épidémie en Afrique centrale.»

Les chercheurs ont donc pu remonter le temps et suivre à la trace la dissémination du virus grâce à la biologie moléculaire. Deux prélèvements oubliés, l’un fait à Brazzaville en 1959, l’autre à Kinshasa en 1960 (les deux villes ne sont séparées que par le tumultueux fleuve Congo), vont se révéler positifs au VIH1 groupe M, précisément la souche qui s’est répandue dans le monde entier. Deux échantillons: assez pour déterminer qu’un ancêtre commun à ces deux souches devait exister autour de 1920. C’est à cette époque qu’un virus simien, similaire au VIH mais baptisé SIVcpz, serait donc passé du chimpanzé à l’homme. Martine Peeters, qui a découvert les descendants de ce SIVcpz à la fin des années 1980 au Gabon, a ensuite réussi à en traquer la source jusqu’à l’extrême sud-est du Cameron, «dans une zone d’environ 200 km2».

Escale en Haïti

Selon toute vraisemblance, la chasse et la consommation des chimpanzés porteurs du SIVcpz dans ces régions isolées n’ont pas permis la diffusion du virus lors de la première moitié du XXe siècle. Mais l’urbanisation intense de Léopoldville (Kinshasa), puis l’amélioration des moyens de transport, dont la ligne de chemin de fer Congo-Brazzaville, ont constitué les conditions idéales pour que démarre l’épidémie en Afrique. À partir de Kinshasa. La grande diversité des souches présentes à Pointe-Noire, Kinshasa et plus largement au Congo confirme qu’il s’agit bien du berceau de l’épidémie de sida. Mais pour que l’Occident soit à son tour touché, il va falloir un élément supplémentaire: Haïti.

Rétrospectivement, on sait que l’épidémie aurait pu commencer plus tôt en Europe. Notamment à partir d’un marin norvégien sans doute contaminé en 1961-1962 lors d’une escale à Pointe-Noire, et mort en Norvège, du sida, en 1976. D’autres cas isolés méconnus ont sans doute aussi existé en Occident à partir de l’Afrique, mais ce n’est pas la route principale qu’ont découverte les biologistes moléculaires. En réalité, le VIH est passé par Haïti avant de gagner l’Amérique et l’Europe.

Car des milliers d’enseignants haïtiens, venus en renfort au Congo lors de l’indépendance du pays, dans le cadre d’un programme de l’Unesco, ont ensuite rapporté le virus à Haïti. C’est là que de nombreux homosexuels américains, qui s’y rendaient dans les années 1970 à partir de New York et San Francisco, ont été contaminés. À cette époque, les États-Unis importaient aussi des milliers de litres de sang, chaque mois, à partir de donneurs haïtiens. Du sang contaminé.

Lefigaro.fr par figaro icondamien Mascret

L’infection du sida se propage parmi les homosexuels dans des pays arabes

août 3, 2011

L’infection par le virus du sida dans des pays du Moyen-Orient et d’Afrique du nord s’est propagée, prenant l’allure d’une épidémie, en particulier dans les milieux des homosexuels et bisexuels, selon une étude publiée par le journal spécialisé PLoS Medecine.

L’étude précise que le taux d’infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) parmi les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes a dépassé les 5%, un seuil annonciateur d’une épidémie, dans plusieurs régions comme en Egypte, au Soudan et en Tunisie.

« Une épidémie du sida semble se dessiner parmi les homosexuels dans au moins certains pays de la région », indique l’étude, la première menée dans ces pays musulmans où le sida est encore considéré parfois comme un tabou.

Les auteurs de l’étude, à l’initiative du Weill Cornell Medical College au Qatar, préconisent le renforcement de la surveillance sanitaire et des moyens de dépistage et de prévention, notamment dans les milieux des populations à risque.

« Il y a un besoin urgent d’étendre la surveillance du sida, l’accès au dépistage, la prévention et les services de traitement de l’infection (. . . ) pour prévenir que la propagation du virus n’empire au Moyen-Orient et en Afrique du nord », conclut l’étude.

Jeuneafrique.com avec AFP