Ce qu’on n’aurait pas dû voir
Un coup de vent, une négligence, un vêtement mal resserré et hop, un sein s’échappe du décolleté ou une culotte apparaît à la vue de tous. À Cannes, cette année, les incidents vestimentaires furent nombreux et ont donné lieu à des moments inoubliables et cocasses. Si on devait remettre une Palme, on la décernerait évidemment à Sophie Marceau qui n’a pas démérité et qui se bat depuis tant d’années dans un engagement désintéressé pour nous offrir en partage une photo de sa culotte ou de ses seins sur le tapis rouge. Alors bien sûr, il y a les moqueurs, les détracteurs, les prédateurs (oui, Gérard, c’est toi qu’on regarde) qui sous-entendent qu’elle le fait exprès en soulignant qu’il « n’y a que chez elle qu’on voit tantôt un sein, tantôt une culotte… ». En même temps, pour demeurer en tête du classement des actrices préférées des Français, il faut ce qu’il faut.
Le prix du jury va à Lady Victoria Hervey, qui a (vainement) tenté de se battre contre le vent facétieux et coquin qui agitait le bas de sa robe fendue. Tandis qu’elle ajustait le tissu autour de ses jambes, son décolleté plongeant a laissé transparaître plusieurs de ses atouts charme. Et en parlant de transparence, on salue Toni Garrn et le mannequin Olga Sorokina pour leurs salutaires efforts en vue d’une démocratie où il suffit d’un peu de flash pour tout dévoiler. On a déjà hâte d’être à l’an prochain…
Voici.fr par C D