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France: Le fils d’Eric Dupond-Moretti, soupçonné de violences conjugales, en garde à vue

janvier 27, 2023
Le fils d'Eric Dupond-Moretti, soupconne de violences conjugales, en garde a vue
Le fils d’Eric Dupond-Moretti, soupçonné de violences conjugales, en garde à vue© AFP/Archives/Ludovic MARIN

Le fils du garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti a été placé en garde à vue en Savoie pour des soupçons de violences conjugales, a indiqué vendredi une source proche du dossier, confirmant une information de TF1.

« Une enquête impliquant le fils du ministre de la Justice Dupond-Moretti est en cours pour des faits de violence conjugale », a précisé à l’AFP une autre source proche du dossier.

Selon TF1, la garde à vue de Raphaël Dupond-Moretti avait lieu à Courchevel.

Le parquet d’Albertville, qui dirige l’enquête, n’a pas répondu aux sollicitations de l’AFP dans l’immédiat.

« En tant que père, je suis dévasté. J’ai une pensée pour la victime. Chaque violence, quelle qu’elle soit, est intolérable », a réagi le ministre de la Justice.

« En tant que ministre, je n’ai cessé de lutter contre les violences faites aux femmes et pour que leur parole soit prise en compte. En tant que citoyen, je demande qu’on respecte ma vie familiale. Il appartient désormais à la justice de faire son travail », a-t-il ajout

Avec Le Point par AFP

États-Unis: Donald Trump refuse de répondre aux questions de la procureure générale de New York

août 10, 2022
Donald Trump.

L’ancien président américain Donald Trump au Hilton Anatole à Dallas. Photo : Getty Images/Brandon Bell

Donald Trump, entendu sous serment mercredi dans le cadre d’une enquête au civil sur des soupçons de fraudes financières au sein de son groupe Trump Organization, a annoncé qu’il avait refusé de répondre aux questions du bureau de la procureure générale de New York.

Disant à nouveau être victime d’une chasse aux sorcières, il a déclaré dans un communiqué avoir refusé de répondre aux questions, en vertu des droits et prérogatives accordés à tout citoyen par la Constitution des États-Unis.

Par ailleurs, Donald Trump a suggéré mercredi sur son réseau social que la police fédérale (FBI) pourrait avoir placé des preuves contre lui, s’insurgeant contre le fait que personne ne pouvait s’approcher des endroits perquisitionnés de son domicile de Floride en début de semaine.

Le FBI et les autres agents du gouvernement fédéral n’ont laissé personne, pas même mes avocats, s’approcher des zones qui ont été fouillées et examinées pendant la perquisition à Mar-a-Lago, s’est plaint le républicain sur sa plateforme Truth Social.

Ils ont demandé à tout le monde de quitter les lieux, ils voulaient être seuls, sans témoin pour voir ce qu’ils faisaient, prenaient ou, ce que je n’espère pas, « plaçaient », a-t-il accusé, sans étayer ses propos.

« Pourquoi ont-ils fortement insisté pour que personne ne les observe, et faire sortir tout le monde? »

Lundi soir, la police fédérale a effectué une perquisition spectaculaire de la résidence du milliardaire en Floride, provoquant une vague d’indignation chez les conservateurs. Jamais un ancien locataire de la Maison-Blanche n’avait été inquiété par la justice de cette façon.

La résidence de Donald Trump en Floride.

La résidence de l’ancien président américain Donald Trump à Mar-A-Lago à Palm Beach, en Floride Photo : AFP via Getty Images/Giorgio Viera

Les raisons de la perquisition non révélées

La perquisition de la police fédérale a-t-elle à voir avec les nombreux cartons que Donald Trump a emportés avec lui en quittant la Maison-Blanche en janvier 2021? Est-elle liée à l’enquête sur sa responsabilité dans l’assaut du Capitole? Concerne-t-elle plutôt les soupçons de fraude financière dont la Trump Organization fait l’objet à New York?

Ni le département de la Justice ni le FBI n’ont fait de commentaire, observant un silence total

Donald Trump, qui flirte ostensiblement avec une nouvelle candidature en 2024 et qui clame son innocence dans chacune de ces affaires, prétend faire l’objet d’une chasse aux sorcières et a dénoncé une persécution politique.

Par Radio-Canada avec Agence France-Presse

Des combattants russes soupçonnés d’être impliqués dans un massacre au Mali

avril 5, 2022

Depuis plusieurs années maintenant, les forces maliennes et étrangères sont engagées dans une lutte impitoyable contre les mouvements islamistes armés. Photo: AFP via Getty Images/AFP Contributor

Les soldats maliens associés à des combattants étrangers présumés être russes ont exécuté sommairement 300 civils, dont certains qu’ils soupçonnaient d’être des djihadistes, fin mars, dans une localité du centre du pays, dénonce Human Rights Watch.

Dans un rapport publié mardi, l’ONG décrit un massacre perpétré sur plusieurs jours entre le 27 et le 31 mars dans la localité de Moura, entre Mopti et Djenné, dans une région qui est l’un des principaux foyers des violences sahéliennes.

Ces faits sont le pire épisode d’atrocités commises depuis le déchaînement des violences au Mali en 2012, dit l’organisation, qui cite 27 personnes informées des évènements, dont 19 survivants et témoins.

Aucune réaction à ce rapport n’a été obtenue dans un premier temps des autorités dominées par les militaires qui ont pris le pouvoir par la force en 2020.

Alors que les messages se multipliaient sur les réseaux sociaux, elles ont donné vendredi une tout autre version des évènements de Moura, parlant d’opération qui avait permis d’abattre 203 membres de groupes armés terroristes et d’en arrêter 51 autres. Elles se sont inscrites en faux contre des spéculations diffamatoires.

Mais la Mission de l’ONU au Mali, les États-Unis, l’Union européenne et la France ont exprimé leurs préoccupations devant les informations remontant de Moura.

Le gouvernement malien doit de façon urgente et impartiale ouvrir une enquête sur ces meurtres de masse, y compris sur le rôle de soldats étrangers, dit Corinne Dufka, directrice pour le Sahel à HRW. Pour la crédibilité de ces investigations, les autorités doivent se faire assister de l’Union africaine et des Nations unies, dit-elle.

Islamistes armés

Les évènements de Moura ont commencé le 27 mars par l’arrivée en hélicoptères de soldats en pleine foire aux bestiaux, dit HRW. Les soldats auraient alors échangé des tirs avec une trentaine d’islamistes armés qui se trouvaient dans la foule; plusieurs islamistes, quelques civils et deux soldats étrangers auraient été tués.

Moura est décrite comme une localité passée, comme beaucoup d’autres au Mali, sous la coupe de groupes affiliés à Al-Qaïda.

Avec des renforts transportés par hélicoptères, les soldats maliens et étrangers ont pris le contrôle de Moura, relatent les témoins cités par HRW.

Les étrangers, blancs de peau, sont assimilés à des Russes parce qu’ils ne parlent pas français et qu’il a beaucoup été question dans les médias, y compris de la part des autorités, de l’arrivée de soldats russes ces derniers mois pour aider à combattre les djihadistes.

Exécutions sommaires

Les soldats auraient ratissé la localité, exécutant un certain nombre de personnes et en capturant des centaines d’autres. Les jours suivants, ils auraient exécuté par balles et par petits groupes des dizaines de captifs, peut-être en fonction de leur tenue vestimentaire ou parce qu’ils portaient la barbe suivant des règles édictées par les djihadistes, ou en raison de leur appartenance ethnique.

La grande majorité des hommes, exécutés aussi bien par des soldats maliens que blancs, étaient Peuls, un groupe dans lequel les djihadistes ont largement recruté, dit HRW.

Tuer délibérément ou maltraiter un individu en détention est un crime de guerre, dit HRW.

Des civils ont été forcés de creuser des fosses communes avant d’être exécutés, dit HRW. Certaines dépouilles ont été brûlées au point d’être méconnaissables, ajoute HRW.

Par Radio-Canada avec Agence France-Presse

France/Soupçons de conflit d’intérêt: Eric Dupond-Moretti convoqué la semaine prochaine pour une mise en examen

juillet 5, 2021
Soupcons de conflit d'interet: Eric Dupond-Moretti convoque la semaine prochaine pour une mise en examen
Soupçons de conflit d’intérêt: Eric Dupond-Moretti convoqué la semaine prochaine pour une mise en examen© AFP/Archives/Ludovic MARIN

Une perquisition rarissime au ministère de la justice, et maintenant, une convocation chez les magistrats. Soupçonné de conflit d’intérêt, le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti est attendu la semaine prochaine à la Cour de justice de la République (CJR), en vue d’une mise en examen.

Le ministre est convoqué vendredi 16 juillet, a appris l’AFP de source proche du dossier, confirmant une information du Parisien.

Cette convocation lui a été remise en marge de la très longue et exceptionnelle perquisition place Vendôme jeudi dernier, ce qui n’a pas manqué de hérisser ses avocats : « Remettre une convocation le jour de la perquisition, c’est considérer que ce qui a été saisi n’a pas d’intérêt et que tout est décidé d’avance », ont réagi auprès de l’AFP Mes Christophe Ingrain et Rémi Lorrain.

Les trois magistrats de la commission d’instruction de la CJR, seule habilitée à juger des ministres, ont perquisitionné jeudi pendant quinze heures les locaux du ministère de la justice, avec une vingtaine de gendarmes.

Un des téléphones du garde des Sceaux a été saisi à cette occasion et le contenu des boîtes mails de plusieurs de ses collaborateurs a été « aspiré », selon une source proche du dossier.

L’enquête de la commission d’instruction de la CJR, seule habilitée à juger des ministres, avait été ouverte en janvier, après la plainte de trois syndicats de magistrats et de l’association Anticor.

Selon les syndicats, M. Dupond-Moretti a profité de son poste de garde des Sceaux pour régler des comptes dans des dossiers dans lesquels il avait été impliqué en tant qu’avocat.

« Instrumentalisation »

Au coeur de ces accusations, l’enquête administrative ordonnée par le ministre en septembre contre trois magistrats du parquet national financier (PNF), qui avaient participé à une enquête visant à identifier la taupe qui aurait informé Nicolas Sarkozy et son conseil qu’ils étaient sur écoute dans une affaire de corruption.

Le PNF avait été mis en cause pour avoir épluché les relevés téléphoniques détaillés (« fadettes ») d’avocats, dont Eric Dupond-Moretti.

Il s’en était insurgé et avait dénoncé des méthodes de « barbouzes », puis déposé une plainte pour « atteinte à la vie privée », avant de la retirer le soir de sa nomination comme ministre en juillet 2020.

L’enquête administrative lancée par le garde des Sceaux lui a valu les foudres du monde de la magistrature, les deux plus hauts magistrats de France, Chantal Arens et François Molins, s’en étant même inquiétés publiquement.

Les syndicats reprochent également à M. Dupond-Moretti d’avoir ouvert une autre enquête administrative, cette fois à l’encontre du magistrat Edouard Levrault, anciennement détaché à Monaco.

Avant de devenir ministre, M. Dupond-Moretti avait été l’avocat d’un haut policier monégasque mis en examen par ce magistrat, dont il avait critiqué les méthodes de « cow-boy ». Ce juge s’était exprimé à la télévision sur cette affaire après son départ forcé de son poste.

Le garde des Sceaux a été officiellement écarté de ces enquêtes et de toutes les affaires en lien avec ses anciennes activités d’avocat, qui sont dorénavant à la charge de Jean Castex.

Les deux principaux syndicats de magistrats, à l’origine de la plainte, n’ont pas souhaité commenter la convocation. « C’est la suite logique de l’enquête qui doit se dérouler de la manière la plus sereine possible », a indiqué Céline Parisot, présidente de l’Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire).

Dans un entretien au Journal du Dimanche, Eric Dupond-Moretti s’est dit « extrêmement serein » et a à nouveau mis en cause ce syndicat, dont « le but » est « d’obtenir un nouveau garde des Sceaux », a-t-il dit.

« Ce n’est pas un, mais trois syndicats qui ont constaté ces conflits d’intérêts, et c’est aussi le Premier ministre, quand il a pris un décret pour écarter le garde des Sceaux de ces affaires », a noté pour sa part Katia Dubreuil, du Syndicat de la magistrature (SM, classé à gauche).

« Quant aux accusations d’instrumentalisation de la justice, on les entend à chaque fois qu’un responsable politique est inquiété », a ajouté la présidente du syndicat.

Par Le Point avec AFP

Soupçon d’empoisonnement pour un ex-espion russe au service de Sa Majesté

mars 5, 2018

Le siège du MI6, l’agence de renseignement britannique, le 23 novembre 2010 à Londres / © AFP/Archives / BEN STANSALL

Comme au temps de la Guerre froide, un ex-espion russe au service de Sa Majesté, arrêté en Russie puis libéré lors d’un échange en 2010, aurait été mystérieusement empoisonné, ont rapporté lundi les médias britanniques.

Un homme a été hospitalisé dimanche « dans un état critique » à Salisbury dans sud de l’Angleterre, a annoncé la police du Wiltshire, sans donner son identité, de même qu’une femme d’une trentaine d’années qui se trouvait avec lui. Le couple avait été retrouvé inconscient sur un banc, dans un centre commercial de Salisbury.

Selon la BBC, il s’agit de Sergueï Skripal, un ex-colonel du renseignement militaire russe. Accusé d’espionnage au profit du Royaume-Uni, il avait été condamné à 13 ans de prison en Russie en 2006, avant de retrouver la liberté en Angleterre grâce à un échange de prisonniers opéré en 2010 entre Moscou d’une part, Londres et Washington d’autre part.

Selon le quotidien The Guardian, il aurait été empoisonné au fentanyl, un puissant opiacé. « Les deux personnes, dont nous pensons qu’elles se connaissent, ne présentaient aucune blessure visible », a précisé la police.

Selon la BBC, Sergueï Skripal avait été payé 100.000 dollars pour fournir au MI6, le renseignement britannique, les noms des agents russes présents en Europe. Avec trois autres agents russes, il avait fait l’objet d’un échange en 2010 contre dix agents du Kremlin expulsés par Washington, dont Anna Chapman, une jeune femme d’affaires russe surnommée la « nouvelle Mata Hari » à New York.

– Parapluie bulgare –

Cette hospitalisation a immédiatement fait ressurgir le souvenir de l’affaire Litvinenko, du nom d’un ex-agent du FSB (services secrets russes) et opposant à Vladimir Poutine, empoisonné en 2006 à Londres au polonium-210, une substance radioactive extrêmement toxique.

Alexandre Litvinenko avait fui la Russie pour Londres avec sa famille en octobre 2000. Il y avait rejoint le milliardaire Boris Berezovski, farouche ennemi de Vladimir Poutine, lui-même décédé dans des circonstances non élucidées en mars 2013.

M. Litvinenko collaborait avec les services secrets britannique et enquêtait sur d’éventuels liens entre le Kremlin et des réseaux mafieux. Selon les conclusions de l’enquête menée par la justice britannique après sa mort, il avait été empoisonné alors qu’il prenait un thé avec Andreï Lougovoï et Dmitri Kovtoun, deux ressortissants russes, au Millenium Hotel, dans le centre de Londres.

« Le fait que M. Litvinenko ait été empoisonné par du polonium-210 fabriqué dans un réacteur nucléaire suggère que MM. Lougovoï et Kotvoun agissaient pour le compte d’un État plutôt que d’une organisation criminelle », avait souligné le juge Robert Owen, chargé de l’enquête.

Une autre affaire de meurtre survenue à Londres sur fond de guerre froide, n’a elle jamais été résolue. Le 7 septembre 1978, l’écrivain dissident bulgare Guéorgui Markov avait été piqué par le parapluie qu’avait laissé tombé un homme, alors qu’il remontait le Waterloo bridge.

Pris d’une forte fièvre le soir même, Guéorgui Markov était décédé quatre jours plus tard à l’hôpital sans avoir été interrogé par la police. Lors de l’autopsie, une capsule pleine d’un poison fort, le ricine, avait été découverte dans la jambe de la victime.

En 2002, Oleg Kalouguine, un ex-général du KGB, a affirmé que les soviétiques avaient fourni l’arme du crime sur demande du dictateur bulgare Todor Jivkov. Une enquête judiciaire ouverte en Bulgarie a été classée sans suite en 2013 en raison du délai de prescription.

Romandie.com avec(©AFP / 05 mars 2018 22h19)                

Nobel de la paix: soupçons de fraude d’une candidature de Trump

février 28, 2018

Donald Trump à la Maison Blanche à Washington, le 27 février 2018 / © AFP / MANDEL NGAN

L’Institut Nobel norvégien a annoncé mercredi le dépôt d’une plainte après avoir reçu une nomination, vraisemblablement frauduleuse, du président américain Donald Trump au prix Nobel de la paix.

« Nous avons de bonnes raisons de croire qu’une candidature que nous avons reçue concernant Trump a été falsifiée », a déclaré à l’AFP le directeur de l’Institut Nobel, Olav Njølstad.

M. Njølstad a refusé de fournir plus de détails, laissant à la police norvégienne le soin de faire la lumière sur cette affaire.

Comme chaque année, les candidatures au prix Nobel de la paix devaient être déposées avant le 31 janvier, seules certaines personnalités étant habilitées à proposer un nom (parlementaires et ministres, anciens lauréats, certains professeurs d’université…).

Si la liste des candidatures est tenue secrète pendant au moins 50 ans, l’Institut de recherche sur la paix d’Oslo (Prio) assurait cependant au début du mois que l’actuel locataire de la Maison Blanche en faisait partie.

Salué pour son « idéologie de paix par la force », M. Trump aurait, comme l’an dernier, été proposé par un Américain ne souhaitant pas dévoiler publiquement son identité, croyait savoir le Prio, organisation indépendante du cercle Nobel mais qui suit ces questions de près en recensant notamment les nominations annoncées publiquement.

Tout indique désormais que cette nomination était le fait d’une personne ayant usurpé une identité pour se donner une apparente légitimité.

L’Institut Nobel a précisé avoir reçu cette année 329 candidatures –valides– pour le Nobel de la paix, y compris celles avancées par les cinq membres du comité attribuant le prix, eux aussi autorisés à proposer des noms lors de leur première réunion annuelle, qui s’est tenue lundi.

Le chirurgien congolais Denis Mukwege et la Yézidie Nadia Murad, qui combattent tous deux les violences sexuelles, ont à ce stade les faveurs du Prio.

« Bien que leurs expériences et pratiques soient très différentes, la force de leur mobilisation contre les violences sexuelles dans les conflits ne fait aucun doute », estime le directeur du Prio, Henrik Urdal, sur le site de l’institut.

Parmi les quelques candidatures rendues publiques par leurs parrains figure aussi la « Révolte des parapluies », mouvement qui avait réclamé des réformes démocratique à Hong Kong en 2014 et proposé par des élus américains.

En France, l’ex-président Jacques Chirac aurait également été nominé, de même que Latifa Ibn Ziaten, mère d’un militaire assassiné par Mohamed Merah.

Autres nominations citées par divers médias: l’Agence de l’ONU pour les réfugiés (HCR), le pape François, la Cour européenne des droits de l’Homme, Edward Snowden, les « Casques blancs » syriens, le journal russe Novaïa Gazeta, le Comité contre la torture (OHCR), les peshmargas (combattants kurdes) ou encore la campagne pro-palestinienne BDS (Boycott, désinvestissements, sanctions).

Le nom du ou des lauréats sera annoncé début octobre.

Romandie.com avec(©AFP / 28 février 2018 14h37)