« Quand vous regarderez cette vidéo, je serai mort. » Ses ultimes mots faisant froid dans le dos ont été prononcés par un Iranien qui s’est suicidé lundi 26 décembre en se jetant dans le Rhône à Lyon afin, dit-il dans sa vidéo posthume, d’attirer l’attention sur la situation de son pays secoué par des manifestations. L’Iranien a été retrouvé noyé, lundi en fin de journée, a indiqué la police à l’Agence France-Presse, confirmant une information du journal local Le Progrès.
L’homme, âgé de 38 ans selon sa vidéo, n’a pas pu être réanimé malgré l’intervention des pompiers, qui l’ont ramené sur la berge, précise la source policière. « La police attaque les gens, on a perdu beaucoup de fils et de filles, on doit faire quelque chose », affirme d’une voix calme l’homme dans cette vidéo postée sur plusieurs réseaux sociaux avant de commettre l’irréparable.
« J’ai décidé de me suicider dans le fleuve Rhône, c’est un challenge pour montrer que nous, peuple iranien, nous sommes très fatigués de cette situation », annonce-t-il.
Un hommage prévu à Lyon mardi
« Quand vous regarderez cette vidéo, je serai mort », poursuit-il, avant d’appeler à soutenir le peuple iranien dans sa lutte contre « des policiers et un gouvernement extrêmement violents ». Des appels à un rassemblement dans le centre-ville de Lyon, pour lui rendre hommage, ont été lancés sur les réseaux sociaux pour 17 heures ce mardi.
L’annonce de la mort du maire de Rezé vendredi matin soulève une vive émotion parmi les élus de Loire-Atlantique. Hervé Neau s’est suicidé dans les locaux de l’hôtel de ville.
« C’est un terrible drame, c’est un véritable choc. Nous perdons un homme de grande qualité ». Ces mots sont ceux de Johanna Rolland, la maire de Nantes et présidente de la métropole qui salue la mémoire d’Hervé Neau à travers un communiqué publié vendredi en fin de matinée. Le maire de Rezé a été retrouvé mort quelques heures plus tôt dans son bureau de l’hôtel de ville, le parquet de Nantes confirme un décès par pendaison.
Hervé Neau, 58 ans, avait été élu en juillet 2020 à la tête de la quatrième ville de Loire-Atlantique, c’était son premier mandat. Il était le chef de file d’une liste de gauche, écologiste et citoyenne qui avait mis fin à plus de 40 ans de pouvoir socialiste dans cette commune de 42.000 habitants.
Un homme engagé
Le président de l’association des maires de Loire-Atlantique fait part de « sa grande émotion et de son profond désarroi ». Maurice Perrion salue « un homme de conviction et d’action […] un homme intègre, proche des gens et à l’écoute ».
« Terrible et bouleversante nouvelle. Hervé Neau était un maire engagé et exemplaire. Je pense à ses proches et aussi à toute l’équipe municipale et aux agents de Rezé », a écrit sur Twitter le député du Maine-et-Loire Matthieu Orphelin. « Toutes mes pensées vont à sa famille, les élus et les habitants de la ville de Rezé », a publié sur Twitter la députée LREM de Loire-Atlantique, Valérie Oppelt.
Dans la commune voisine de Rezé, le maire LR de Vertou, Rodophe Amailland, souligne l’engagement d’Hervé Neau pour ses habitants. Même tonalité dans le message du groupe communiste au conseil métropolitain, les élus saluent « l’Homme sincère, dévoué et engagé ». L’engagement d’Hervé Neau est également souligné par la sénatrice LR de Loire-Atlantique Laurence Garnier. Dans un communiqué, elle explique l’avoir récemment rencontré, elle dit « avoir découvert à cette occasion un homme d’une grande ouverture, passionné par sa commune ».
Hommage au directeur d’école
Pour le président du Conseil départemental de Loire-Atlantique, l’annonce de la mort du maire de Rezé s’accompagne d’une profonde tristesse. Michel Ménard (PS) rappelle qu’Hervé Neau, « directeur d’école, président d’amicale laïque, était depuis longtemps un militant engagé de l’éducation populaire ».
Christiane Taubira s’est fendue d’un message sur son compte Twitter, elle adresse ses pensées aux habitants de Rezé. Hervé Neau avait tout récemment apporté son parrainage à la candidate à la présidentielle.
France Bleu par Pascal Roche avec France Bleu Loire Océan et Le Point
La défense de Julian Assange a insisté jeudi sur le risque de suicide du fondateur de WikiLeaks en cas d’extradition vers les Etats-Unis, malgré les assurances de Washington sur le sort qui lui serait réservé.
L’Australien de 50 ans risque 175 ans de prison aux Etats-Unis, où il est poursuivi pour avoir publié des centaines de milliers de documents classifiés.
Au deuxième jour de l’examen devant la Haute-Cour de Londres de l’appel américain, ses avocats ont plaidé que les nouveaux éléments apportés ne justifiaient aucunement de revenir sur le refus de l’extrader.
Pour essayer de convaincre les hauts magistrats londoniens, les Etats-Unis ont contesté mercredi le risque de suicide d’Assange.
Ils ont insisté sur les assurances de Washington que Julian Assange ne serait pas incarcéré au redouté centre pénitentiaire ADX Florence, dans le Colorado, surnommé l' »Alcatraz des Rocheuses », et où sont détenus à l’isolement quasi-total des membres d’Al Qaïda.
Les Etats-Unis espèrent faire annuler la décision de la juge Vanessa Baraitser, qui avait refusé l’extradition en raison du risque de suicide et de la détérioration de la santé mentale d’Assange dans le système judiciaire américain.
Pour appuyer sa décision, elle avait notamment mis en avant l’incapacité des Etats-Unis à empêcher le suicide du financier américain Jeffrey Epstein, accusé d’un trafic sexuel de mineures.
« Modérément déprimé »
« Ces conclusions découlent avant tout de la nature des troubles mentaux de M. Assange et sa crainte d’être extradé étant donné le caractère exceptionnel de son dossier », a déclaré l’avocat du fondateur de Wikileaks, Edward Fitzgerald.
« Rien n’indique que ces facteurs aient aucunement changé avec ces assurances », a-t-il plaidé.
Julian Assange a refusé de comparaître jeudi, après avoir participé à une partie des débats en visioconférence depuis la prison de haute-sécurité de Belmarsh où il est détenu depuis deux ans et demi.
Il a été arrêté par la police britannique en avril 2019 après avoir passé sept ans à l’ambassade d’Equateur à Londres, où il s’était réfugié alors qu’il était en liberté sous caution. Il craignait une extradition vers les États-Unis ou la Suède, où il a fait l’objet de poursuites pour viol, depuis abandonnées.
Il est poursuivi pour avoir diffusé, à partir de 2010, plus de 700.000 documents classifiés sur les activités militaires et diplomatiques américaines, notamment en Irak et en Afghanistan.
Mercredi, l’avocat représentant le gouvernement américain, James Lewis, a assuré que Julian Assange ne présentait « aucun antécédent de maladie mentale grave et durable », affirmant que même les experts mandatés par sa défense ne le trouvaient que « modérément déprimé ».
« Boule de cristal »
Il a affirmé que l’Australien avait « toutes les raisons d’exagérer ses symptômes » et mis en garde contre une décision reposant sur des prédictions faites dans une « boule de cristal » concernant son sort en cas d’extradition.
Il avait également insisté sur le fait que le psychiatre Michael Kopelman a trompé la justice en « dissimulant » le fait que son client était devenu père de deux enfants avec son avocate Stella Moris alors qu’il était cloîtré à l’ambassade d’Equateur à Londres.
Selon l’avocat de Julian Assange, les assurances apportées par les Etats-Unis n’excluent pas son incarcération dans une prison de très haute sécurité aux Etats-Unis et il n’existe « aucun fondement fiable » pour infirmer le refus d’extradition.
Il existe selon lui « un grand risque de suicide quelles que soient les mesures », a-t-il fait valoir, expliquant qu' »aucune erreur de droit n’a été identifiée » dans l’approche de la juge Baraitser.
A l’issue des débats, la Haute-Cour mettra sa décision en délibéré pendant plusieurs semaines. Mais la bataille judiciaire est loin d’être terminée.
Si les Etats-Unis obtiennent gain de cause, la décision de janvier sera annulée et la justice de nouveau amenée à trancher. Et quel que soit le perdant, il a la possibilité de demander à saisir la Cour suprême britannique.
Le Mée-sur-Seine en Seine et Marne, à quelques encablures de Melun la ville préfecture, une Congolaise s’est donné la mort par pendaison, vendredi après-midi. C’est son mari qui a fait la macabre découverte, en rentrant du travail.
La communauté congolaise du Mée-sur-Seine est en émoi, suite au décès vendredi après-midi, de Irène M, la cinquantaine entamée, mère de six enfants.
Quand il rentre du travail vers 15 heures, en ce vendredi 8 octobre, Nicaise M, est loin de se douter que son épouse vient de commettre l’irréparable. Vers 14 heures, elle l’a appelé, lui demandant d’acheter de la bière en rentrant. Il trouverait la clé sous le paillasson, car elle s’en va faire les cent pas.
Pourtant, quand il met la clé dans la serrure, Nicaise se rend compte que la porte n’est pas verrouillée. Une fois dans la maison, il s’aperçoit que la porte donnant sur le balcon est restée ouverte et l’air froid envahi la maison. En allant fermer la porte, il trouve son épouse pendue au moyen d’un foulard attaché sur la rambarde du balcon. Elle s’est laissée choir de tout son poids et la vie semble avoir déjà quitté le corps.
Nicaise appelle la police, les secours puis les voisins. Les secours rapidement arrivés sur le lieu ont tenté de réanimer Irène en vain. Le décès constaté et certifié par la police scientifique comme ayant été provoqué par pendaison, l’équipe funéraire a procédé à l’enlèvement du corps aux environs de 18 heures.
Ses amis ont sans trop de détails, expliqué le geste définitif d’Irène par la longue dépression dont elle souffrait depuis des années, conséquence de nombreux facteurs sous-jacents induisant une quasi-culpabilité voire une souffrance de laquelle elle tardait à se remettre.
Ses relents suicidaires étaient connus de tous. Il arrivait qu’elle se réveille de nuit pour rallier l’autoroute à pied, aux fins de se jeter sous un véhicule.
Mais Irène M, ne suivait aucun traitement ni accompagnement psychologique. Conforté par une conception bien congolaise du phénomène, son entourage arguait qu’elle avait des problèmes de famille et ses crises suicidaires étaient un envoutement. Cela l’avait amené à effectuer un voyage au Congo, afin de trouver auprès de ses parents, des solutions au problème par les pratiques du terroir. Hélas…
Selon un groupe djihadiste rival, le chef de Boko Haram Abubakar Shekau se serait suicidé lors de combats contre l’État islamique en Afrique de l’Ouest.
Abubakar Shekau est mort. Le chef de Boko Haram s’est suicidé lors de combats contre le groupe jihadiste rival de l’État islamique en Afrique de l’Ouest (Iswap), a affirmé celui-ci dans un enregistrement audio diffusé deux semaines après de premières informations faisant état de sa mort. « Shekau a préféré l’humiliation dans l’au-delà à l’humiliation sur Terre. Il s’est donné la mort en déclenchant un explosif », déclare en langue kanuri une voix semblant être celle du chef de l’Iswap Abu Musab Al-Barnawi dans cet enregistrement remis à l’Agence France-Presse par une source relayant habituellement les messages du groupe.
Boko Haram ne s’est pas exprimé sur la mort annoncée de son chef, et l’armée nigériane dit enquêter. Dans son enregistrement, Iswap décrit comment ses troupes, envoyées dans l’enclave de Boko Haram, dans la forêt de Sambisa, ont découvert Abubakar Shekau assis dans sa maison et ont engagé le combat.
L’Iswap est né d’une scission avec Boko Haram
« Il a battu en retraite et s’est échappé, errant à travers la brousse pendant cinq jours. Néanmoins les combattants (de l’Iswap) ont continué à le chercher et à le traquer jusqu’à ce qu’ils soient capables de le localiser », raconte la voix. Après l’avoir débusqué dans la brousse, les combattants d’Iswap l’ont sommé, lui et ses partisans, de se repentir, mais Shekau a refusé et s’est donné la mort, poursuit-elle.
L’Iswap, reconnu par l’État islamique, est né en 2016 d’une scission avec Boko Haram, auquel il reproche notamment des meurtres de civils musulmans. Après être monté en puissance, il est désormais le groupe jihadiste dominant dans le nord-est du Nigeria, multipliant les attaques d’ampleur contre l’armée nigériane. « Nous sommes tellement heureux », souligne la voix, ajoutant que Abubakar Shekau est « quelqu’un qui s’est rendu coupable d’un terrorisme et d’atrocités inimaginables ».
« Peut-être pas fini »
Cette montée en puissance du groupe, qui semble désormais sur le point d’absorber les combattants de Boko Haram et de prendre possession de ses anciens territoires inquiète les analystes, car elle signifie que l’Iswap dispose désormais d’une plus grande zone sous son contrôle, mais aussi de plus de combattants et d’armes à disposition.
Les hostilités entre Boko Haram et Iswap profitaient également à l’armée nigériane. « Si l’Iswap convainc les forces de Shekau de le rejoindre, il contrôlera la majorité des forces ennemies et sera en outre présent dans l’essentiel des zones échappant au contrôle gouvernemental dans le nord-est », explique dans une note Peccavi Consulting, une société d’évaluation du risque spécialiste de l’Afrique.
Toutefois, l’Iswap va probablement devoir convaincre ou combattre d’autres factions de Boko Haram loyales à Abubakar Shekau, qui disposent encore d’importants bastions notamment de part et d’autre de la frontière avec le Cameroun à Gwoza, Pulka, et dans les montagnes de Mandara, ainsi qu’au Niger. « Ce n’est peut-être pas fini, l’Iswap va devoir soumettre ou convaincre ces groupes de s’unir à lui, pour consolider totalement son contrôle », a expliqué une source sécuritaire.
Les habitants de la région ont été chassés des îles du lac Tchad
Depuis 2019, l’armée nigériane s’est retirée des villages et bases de petite importance, pour se retrancher dans des « supercamps », une stratégie critiquée car elle permet aux jihadistes de se déplacer sans entraves dans les zones rurales.
Après sa prise de la forêt de Sambisa, l’Iswap a envoyé des messages aux habitants de la région du lac Tchad, aux confins du Nigeria, du Niger, du Cameroun et du Tchad, les disant bienvenus dans son « califat » autoproclamé, a expliqué Sallau Arzika, un pêcheur de Baga, localité des rives du lac.
Les habitants de la région ont été chassés des îles du lac Tchad par l’Iswap qui les accusaient d’espionner pour le compte de l’armée. Al-Barnawi leur a indiqué qu’ils pouvaient retourner pêcher et faire du commerce, après paiement de taxes, avec l’assurance qu’ils ne leur serait fait aucun mal, a expliqué le pêcheur. Depuis le début de la rébellion du groupe islamiste radical Boko Haram en 2009 dans le nord-est du Nigeria, le conflit a fait près de 36 000 morts et deux millions de déplacés.
D’après certaines indiscrétions, Monsieur Barros est mort à MABINDOU. Mais avant qu’il se donne la mort, ce dernier a laissé un mot à son gardien en lui demandant de le remettre à son ami Alexandre.
Monsieur BAROS s’est ensuite rendu à Loango où il s’est suicidé à l’aide d’un fusil de 14 mm ( Diana fabriqué pour la chasse des oiseaux ).
Le Patron de UNICONGO avait insisté de remettre cette lettre qu’à 15 h, c’est ce qui fût fait, le destinataire a rapidement signalé ses amis et la famille qui se sont tous mobilisés pour le retrouver en commençant par solliciter l’aide de son réseau mobile qui est Airtel.
La compagnie Airtel a localisé son téléphone à Diosso. Une fois à DIOSSO, après d’intenses recherches avec l’aide de la population, un chef du quartier s’est souvenu avoir vu un véhicule resté longtemps depuis 9 h immobilisé dans un coin, et la population a témoigné avoir entendu un coup de feu dans cette zone, mais tout le monde pensait comme d’habitude que c’était quelqu’un qui chassait, et c’est là qu’on retrouve le corps sans vie de M. Barros en fin d’après midi, l’homme aurait semble-t-il des dettes qu’il n’arrive pas à éponger, et le poids des travailleurs qu’il n’arrive pas à payer, il était le patron de CODISCO, travaillait aussi à ENI .
La mort est le chemin de tous, et arrive sous plusieurs formes, mais précipiter sa mort à cause d’une femme est la plus bête des décisions qu’un homme puisse prendre surtout en France. Alberto Nzonzi a choisi ce chemin de la bêtise pour mettre fin à ses jours, alors que celle pour laquelle, il a commis cette grosse erreur jouit tranquillement avec son autre homme. Une perte pour la famille de ce jeune Congolais plein d’avenir encore. Son corps a été retrouvé à Aulnay-sous-Bois dans la banlieue parisienne.
Âgé de 25 ans, ayant encore toute la vie devant lui, le Congolais Alberto Nzonzi a préféré mettre terme à sa vie parce que sa copine lui aurait échangé pour un autre. Il n’a pas supporté cette humiliation pourtant passagère. Combien d’hommes, quelques années après, ne se demandent-ils pas pourquoi avoir fait couler leurs larmes lors d’une séparation? Une fille qui te quitte est pourtant un problème de moins et une chance de plus dans ta vie. Mourir pour une femme en France est la pire des péchés qu’un homme puisse commettre!
Quelques jours plus tôt, un autre Congolais s’est jeté du huitième étage à Evry après avoir surpris sa femme avec son propre petit frère dans son lit. Les relations amoureuses en France sont devenues comme un jeu de ping-pong.
L’ancien joueur international français de rugby Christophe Dominici a été retrouvé mort mardi dans le parc de Saint-Cloud, près de Paris, a-t-on appris de sources concordantes. L’ex-ailier du Stade français, qui était âgé de 48 ans, est monté sur le toit d’un bâtiment désaffecté en début d’après-midi avant de sauter, a précisé une source policière. Selon une source judiciaire, qui a confirmé la mort du joueur, un témoin aurait vu l’ancien joueur faire une chute de 10 mètres. Une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte par le parquet de Nanterre (région parisienne).
Gabarit modeste mais appuis électriques
Originaire de Toulon, Christophe Dominici avait été recruté par l’ancien président du Stade Français, Max Guazzini. D’un gabarit plutôt modeste (1,72 m, 82kg) mais doté d’appuis électriques, «Domi» était devenu l’un des meilleurs finisseurs de sa génération, inscrivant notamment 25 essais sous le maillot bleu. A l’issue de sa carrière, il avait tenté de se lancer dans le métier d’entraîneur en devenant l’adjoint de l’Australien Ewen McKenzie sur le banc du Stade Français. Récemment, il s’était investi dans un projet de reprise du club de Béziers (Pro D2) en se faisant l’intermédiaire d’investisseurs émiratis. Un projet qui avait finalement capoté. Il collaborait depuis plusieurs années avec la station RTL dont il était consultant pour le rugby.
Formé à Solliès-Pont puis La Valette-du-Var avant de rejoindre le RC Toulon (1993-1997) puis le Stade Français (1997-2008), Christophe Dominici compte cinq titres de champion de France avec le club parisien (1998, 2000, 2003, 2004, 2007) et a été finaliste de la Coupe d’Europe à deux reprises (2001, 2005). Avec le XV de France, Dominici a remporté deux Grands Chelems dans le Tournoi (1998, 2004) et 2 victoires (2006, 2007), il a été finaliste de la Coupe du monde 1999. Sa 65e et dernière sélection remonte au 19 octobre 2007 face à l’Argentine.
L’acteur guadeloupéen était recherché pour disparition inquiétante depuis un an. Il s’est «selon toute hypothèse» suicidé en juillet 2019, a indiqué vendredi le parquet de Reims.
Le comédien Djédjé Apali, que la police recherchait pour disparition inquiétante, s’est «selon toute hypothèse» suicidé en juillet 2019, a indiqué vendredi le parquet de Reims après que de récentes comparaisons dentaires ont permis d’identifier «formellement» le corps.
Selon sa mère, l’acteur, demeurant à Reims, n’avait plus donné de nouvelles depuis décembre 2019.
Ni l’enquête pour disparition inquiétante, ni l’appel à témoins n’ont permis de le retrouver, «malgré de nombreuses investigations (téléphone, perquisition, comptes bancaires..)», a relevé le parquet.
Mais les enquêteurs ont retrouvé, «par recoupement», «un dossier de mort violente qui avait eu lieu en gare de Bezannes (Marne), le 12 juillet 2019, où une personne s’était manifestement jetée sous un train et n’avait pu être depuis lors identifiée.»
«Une expertise odontologique a été pratiquée il y a quelques jours qui, après comparaison entre le dossier dentaire de M. Apali et les constatations dentaires faites sur le cadavre en juillet 2019, a permis formellement à l’expert d’indiquer que le corps retrouvé était bien celui de M. Djédjé Apali», poursuit le parquet.
L’enquête se poursuit en recherche des causes de la mort, «notamment pour procéder aux ultimes vérifications formelles permettant de confirmer les circonstances (de son) décès, selon toute hypothèse par suicide».
Ce samedi 15 février, la mort de Caroline Flack, animatrice télé britannique et ex du prince Harry a été annoncée. Elle s’est suicidée à l’âge de 40 ans.
Une tragédie. Ce samedi 15 février, le corps inanimé de Caroline Flack a été retrouvé dans son appartement londonien comme l’a annoncé sa famille, confirmant un article publié dans le Sun : « Nous pouvons confirmer que Caroline est décédée aujourd’hui le 15 février ». Dans leur déclaration, les proches de la quarantenaire demandent à ce que leur « intimité » soit respectée. L’animatrice de l’émission Love Islands’est suicidée à l’âge de 40 ans, comme l’indique toujours le Sun.
Elle devait comparaître le mois prochain, le 4 mars plus exactement, devant la justice. Elle était accusée d’avoir agressé son petit-ami, le mannequin et ancien tennisman Lewis Burton. Ce dernier avait de son côté souhaité que toutes les poursuites soient abandonnées, soulignant le fait qu’il n’avait pas été gravement blessé. De son côté, la star de télé avait plaidé non coupable pour ces faits à la suite d’une première comparution devant la justice en décembre 2019. Lewis Burton a appris la mort de sa compagne pendant des vacances au ski avec des copains. Il avait posté un adorable message à son encontre pour la Saint-Valentin.
Depuis l’annonce de ce suicide, les amis et la famille de la star britannique n’en finissent plus de lui rendre hommage. C’est le cas de ses parents Christine et Iran son frère Paul et ses soeurs Elizabeth et Jody. Tous la décrivaient comme « vulnérable ». La célèbre présentatrice outre-Manche était connue pour être l’ex du prince Harry. Elle avait dévoilé elle-même son histoire d’amour avec la tête couronnée en 2009. Leur idylle n’avait duré que quelques semaines à la suite de leur rencontre en boite de nuit.