Posts Tagged ‘Tweet’

États-Unis: Un procureur se retire d’une affaire après un tweet critique de Trump

février 11, 2020

Un procureur fédéral qui avait réclamé une lourde peine contre Roger Stone, un proche de Donald Trump, s’est retiré mardi de l’affaire après l’intervention du président américain, qui s’est plaint de la sévérité de la peine initialement requise contre M. Stone. Lundi, dans leurs recommandations de peine transmises à un juge fédéral, les procureurs ont demandé entre 7 et 9 ans de prison contre ce consultant politique de 67 ans, fidèle du président républicain.

Mais dans la nuit, ce dernier a réagi en dénonçant dans un tweet une «situation très injuste» et une «erreur judiciaire». Roger Stone a été reconnu coupable en novembre de mensonges au Congrès dans le cadre de l’enquête sur l’ingérence russe dans l’élection américaine de 2016. Il connaitra sa peine le 20 février.

Dans une motion transmise mardi au juge, le procureur Aaron Zelinsky, un des membres de l’équipe du procureur spécial Robert Mueller, qui a instruit l’enquête russe, a signifié son retrait de l’affaire, sans en préciser la raison. Cette décision fait suite à des révélations de la presse américaine, selon lesquelles le ministère de la Justice devrait intervenir mardi pour demander une peine plus clémente contre M. Stone.

«Le ministère trouve les recommandations extrêmes, excessives et disproportionnées», a déclaré à la presse un haut responsable du ministère sous couvert d’anonymat. Le ministère de la Justice a affirmé que cette décision avait été prise avant le tweet de Donald Trump et sans consulter la Maison Blanche, mais l’opposition démocrate a réagi en dénonçant un possible «abus de pouvoir».

«Si les informations sont exactes, le ministère de la Justice et le ministre Bill Barr sont prêts à passer outre l’avis de procureurs de carrière (…) après un tweet de minuit du président attaquant la durée de peine proposée», a déclaré dans un communiqué Adam Schiff, l’élu démocrate qui menait l’équipe des procureurs lors du procès en destitution du président Trump au Sénat.

Roger Stone est parmi les six membres de l’entourage, plus ou moins proche, de Donald Trump à avoir été inculpé ou condamné dans le sillage de l’enquête russe, qui a empoisonné la première moitié du mandat du milliardaire républicain.

Par Le Figaro avec AFP

Maroc: un journaliste inculpé pour un tweet critiquant la justice

décembre 26, 2019

 

Le journaliste et militant des droits humains marocain Omar Radi a été inculpé jeudi pour un tweet dans lequel il dénonçait une décision de justice, a indiqué son avocat.

Son procès doit débuter dès jeudi soir, selon la même source, et Omar Radi sera jugé en vertu de l’article 263 du Code pénal, qui punit d’un mois à un an de prison «l’outrage envers un ou plusieurs magistrats». D’après Maître Said Benhammani, le journaliste est poursuivi pour un tweet publié en avril et dénonçant le verdict d’un magistrat contre des membres du Hirak, un mouvement de contestation sociale qui a agité le nord du Maroc en 2016 et 2017. «Lahcen Talfi, juge de la cour d’appel, bourreau de nos frères, souvenons-nous bien de lui. Dans beaucoup de régimes, les petits bras comme lui sont revenus supplier après en prétendant  »avoir exécuté des ordres ». Ni oubli ni pardon avec ces fonctionnaires sans dignité!», avait écrit Omar Radi.

Début avril, la Cour d’appel de Casablanca (ouest) avait confirmé des peines allant jusqu’à 20 ans d’emprisonnement de 42 membres du Hirak. Le journaliste âgé de 33 ans, qui collabore occasionnellement avec des médias marocains et étrangers, a été convoqué et entendu jeudi par la police judiciaire qui l’a déféré devant le procureur. Celui-ci a décidé de le placer en détention et de le poursuivre, a rapporté son avocat. En avril, Omar Radi avait déjà été entendu une première fois par la police judiciaire et une enquête avait été ouverte. Mercredi, il a écrit sur les réseaux sociaux avoir reçu une convocation de la part de la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ). «J’ignore les raisons de cette nouvelle convocation», a-t-il dit. Son arrestation a suscité une vague d’indignation sur les réseaux sociaux.

Un nouveau Code de la presse ne prévoyant plus de peines de prison est entré en vigueur en 2016, mais les journalistes continuent d’être poursuivis selon le Code pénal. Des ONG comme Human Rights Watch, Amnesty International et Freedom Now s’inquiètent des condamnations de journalistes en vertu du Code pénal. Dans son dernier classement annuel sur la liberté de la presse, Reporters sans frontières a classé le Maroc 135e sur 180 pays.

Par Le Figaro.fr avec AFP

Le G7 vire au fiasco avec un tweet de Trump qui torpille l’accord final

juin 9, 2018

/ © AFP / SAUL LOEB

Le G7 au Canada a tourné au fiasco samedi: d’un tweet rageur, Donald Trump a retiré son soutien au communiqué commun obtenu dans la douleur, rejetant la faute sur des propos du Premier ministre canadien Justin Trudeau qu’il a qualifié de « très malhonnête ».

Le président américain a tweeté depuis Air Force One: « En raison des fausses déclarations de Justin à sa conférence de presse, et du fait que le Canada impose des taxes massives sur nos agriculteurs, travailleurs et entreprises américains, j’ai demandé à nos représentants américains de retirer le soutien au communiqué, tandis que nous envisageons des tarifs sur les automobiles qui inondent le marché américain! ».

La volte-face est spectaculaire. Déjà parti au moment de la publication de ce fameux communiqué, Donald Trump avait fait savoir à la presse voyageant avec lui à bord d’Air Force One qu’il y souscrivait.

Avant de changer d’avis quelques heures plus tard après avoir pris connaissance des propos de Justin Trudeau. Un haut responsable de la Maison Blanche a confirmé que le président était « en colère ».

– Taxes « insultantes » –

Concluant deux jours de débats laborieux à La Malbaie (Québec, est du Canada), le Canadien a, lors de sa conférence de presse de clôture, réutilisé le terme d' »insultantes » pour qualifier les taxes tout juste imposées par les Etats-Unis sur l’acier et l’aluminium importés. Et il avait promis d’y répliquer « sans sourciller ».

Le cabinet du Premier ministre canadien s’est seulement fendu d’une réponse laconique: « Nous nous concentrons sur tout ce que nous avons accompli ici au sommet G7. Le premier ministre n’a rien dit qu’il n’avait pas déjà dit auparavant, autant publiquement qu’en conversations privées » avec le président américain.

De son côté, le président français Emmanuel Macron a appris la nouvelle au décollage de son avion. Ses services n’ont voulu faire aucun commentaire dans l’immédiat.

Le tweet de Donald Trump rend de facto caduque la déclaration commune sur le commerce grâce à laquelle le « Groupe des sept » (Etats-Unis, Canada, Italie, Royaume-Uni, France, Allemagne, Japon) avait tenté de sauver la face. Et ce alors que les autres dirigeants, eux-même dans l’avion pour rejoindre leurs pays respectifs, ne peuvent réagir dans l’immédiat.

Ce texte critique le « protectionnisme », qu’incarne pourtant le président américain, et s’engage à « moderniser » l’Organisation mondiale du commerce.

– Coup pour coup –

Que pesaient de toute façon ces quelques lignes difficilement négociées face à un Donald Trump prêt à toutes les confrontations pour réduire le déficit des échanges américains? Quitte à déclencher une guerre commerciale ouverte, comme le montre sa menace réitérée de taxer les importations de voiture.

S’il la met à exécution, le conflit commercial larvé entre les Etats-Unis et leurs partenaires tournerait à la guerre commerciale ouverte.

Donald Trump vise en particulier les taxes européennes sur les importations de voitures en provenance des pays hors UE qui s’élèvent à 10%, quand les droits de douanes américains ne s’élèvent qu’à 2,5%.

« Nous sommes la tirelire que le monde entier pille. Cela va cesser », avait déjà tempêté le milliardaire de 71 ans avant de quitter un sommet où il est passé en coup de vent.

Justin Trudeau, pris pour cible par le président américain, n’est pourtant pas le seul à rendre coup pour coup en matière tarifaire.

Le président français Emmanuel Macron a lui prévenu, lors de sa propre conférence de presse à La Malbaie, qu’il n’y avait « pas de changement » en ce qui concerne les contre-mesures européennes annoncées sur le bourbon ou les motos américaine, en riposte aux taxes américaines sur l’acier et l’aluminium.

Malgré les sourires des dirigeants à la fin du sommet, le G7 a donc été dynamité par un Donald Trump qui goûte bien plus la confrontation bilatérale brutale que les longues négociations multilatérales. Jusqu’à provoquer le fiasco final de la rencontre.

Le président américain était arrivé le dernier et reparti le premier du cossu Manoir Richelieu, surplombant le fleuve Saint-Laurent. Il a aussi séché une réunion sur le climat.

Donald Trump n’a jamais caché qu’il donnait la priorité à sa rencontre de mardi avec M. Kim. « C’est une occasion unique » d’arriver à un accord nucléaire avec Pyongyang qui « ne se représentera jamais », a-t-il assuré.

Romandie.com avec(©AFP / 10 juin 2018 02h57)                

Allemagne/fils de Boris Becker: l’AFD sanctionne un de ses députés pour un tweet raciste

janvier 8, 2018

Noah Becker, le 6 juillet 2011 à Berlin / © AFP/Archives / CARSTEN KOALL

Le parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD) a adressé lundi un avertissement à un de ses députés pour un tweet à caractère raciste contre le fils de l’ancienne star du tennis Boris Becker.

Les instances dirigeantes du mouvement ont pris à l’unanimité cette décision mais ont en revanche écarté une exclusion de l’intéressé, qui nie avoir lui-même écrit le message.

Jens Maier, un ancien magistrat député de l’AfD depuis les législatives du 24 septembre, avait qualifié la semaine dernière dans un tweet Noah Becker, dont le grand-père maternel est noir américain, de « petit demi-nègre » en mal « d’attention ».

Le message posté sur son compte officiel a suscité l’indignation en Allemagne et de vives critiques au sein même de l’AfD, dont les responsables sont pourtant des habitués des tweets polémiques. Il a été effacé par Twitter.

Dans une « déclaration personnelle » rendue publique lundi par l’AfD, l’élu a affirmé ne pas être l’auteur de ce tweet, posté selon lui par un collaborateur, limogé depuis.

« Je regrette beaucoup ce dérapage verbal dans le tweet et m’excuse en bonne et due forme auprès de Noah Becker » et de l’AfD, écrit-il. « Ce tweet ne correspond pas à mon style ».

Les explications de l’élu d’extrême n’ont toutefois pas convaincu Boris Becker. « C’est ce qu’ils font en règle générale à l’AfD, toujours la même combine. Ils lancent quelque chose et ensuite prennent leurs distances avec », a jugé l’ex-star du tennis dimanche dans le quotidien Die Welt.

Le message de l’élu se voulait un commentaire d’une interview du fils de Boris Becker, âgé de 23 ans, dans laquelle ce dernier avait qualifié Berlin de « ville blanche », comparée à Londres ou Paris. Il avait aussi affirmé avoir déjà été attaqué dans la capitale allemande en raison de sa couleur de peau.

Noah Becker, fils de l’ex-champion resté très célèbre en Allemagne, et de Barbara Becker, a depuis porté plainte contre M. Maier.

Dans le passé, l’ancien juge avait fait scandale pour avoir exprimé de la sympathie envers le néo-nazi Anders Behring Breivik, qui a tué 77 personnes en 2011 en Norvège, estimant qu’il avait agi « par désespoir » face au multiculturalisme. Il s’était aussi inquiété de « la création de peuples de sangs-mêlés ».

Le tweet incriminé avait été posté peu après celui de la députée et figure de premier plan du parti d’extrême droite Beatrix von Storch, qui avait évoqué lors du Réveillon de la Saint-Sylvestre les « hordes d’hommes barbares, musulmans et violeurs », dans une référence explicite aux agressions racistes commises dans la nuit du Nouvel An il y a deux ans à Cologne et attribuées à des migrants.

A l’issue des législatives de septembre, plus de 90 députés de l’AfD sont entrés à la chambre basse du Parlement, provoquant un choc considérable dans une Allemagne où l’extrême droite a longtemps été taboue en raison du passé nazi.

L’AfD joue sur une certaine défiance envers les responsables politiques des partis traditionnels et sur les inquiétudes, voire le rejet d’une partie de la population face au million de migrants arrivés depuis 2015 en Allemagne.

Romandie.com avec(©AFP / 08 janvier 2018 13h49)                

Après Charlottesville, un tweet d’Obama le plus « aimé » de tous les temps

août 16, 2017

L’ex-président américain Barack Obama, le 9 mai 2017 à Milan, en Italie / © AFP/Archives / Andreas SOLARO

Une citation de Nelson Mandela tweetée dimanche par Barack Obama est devenue le tweet le plus « aimé » de l’histoire du réseau social, a indiqué Twitter mercredi.

« Personne ne naît en haïssant une autre personne à cause de la couleur de sa peau, ou de ses origines, ou de sa religion », avait écrit dimanche le premier président noir des Etats-Unis, après qu’un sympathisant néo-nazi a tué une manifestante anti-racisme la veille à Charlottesville en Virginie.

Mercredi à 11H00 GMT, le tweet avait été « liké » – les abonnés avaient coché un petit coeur au bas du tweet – 3,1 millions de fois et retweeté 1,3 million de fois.

Barack Obama ne s’est pas autrement exprimé sur le sujet, que par cette citation du grand résistant à l’apartheid illustrée d’une photo du 44ème président des Etats-Unis souriant à quatre enfants, dont une petite fille noire et un bébé tout blond, qui le regardent d’une fenêtre.

M. Obama a également publié le reste de la citation de Nelson Mandela dans deux autres tweets sans photo et qui ont eu moins de succès: « Les gens doivent apprendre à haïr, et s’ils peuvent apprendre à haïr, ils peuvent apprendre à aimer car l’amour jaillit plus naturellement du coeur humain que son opposé ».

Le président Donald Trump a déclenché une vague d’indignation mardi en affirmant que la responsabilité des violences qui ont endeuillé Charlottesville devaient être cherchées du côté de l’extrême-droite mais aussi de la gauche et des militants anti-racismes qui s’y étaient affrontés.

Ces déclarations, au cours d’une conférence de presse chaotique au ton souvent acerbe et accusateur, ont provoqué un tollé et plongé la Maison Blanche dans une nouvelle crise.

Romandie.com avec(©AFP / 16 août 2017 13h43)                

Trierweiler revient hanter Hollande sur les « sans-dents »

octobre 12, 2016

L’ancienne compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler, a rendu public mercredi ce qu’elle présente comme un ancien sms où le président socialiste utilise l’expression « sans-dents » pour désigner les personnes de condition modeste. Le message date de 2005

La journaliste, qui a partagé la vie de François Hollande de 2005 à 2012, réplique aux propos tenus à son sujet par le chef de l’Etat dans un livre où il la décrit comme une femme jalouse. Son « l’obsession » était Ségolène Royal, mère des quatre enfants du chef de l’Etat.

Dans « Un président ne devrait pas dire ça… » à paraître jeudi aux Editions Stock, François Hollande revient aussi sur l’expression « sans-dents » révélée par Valérie Trierweiler dans « Merci pour ce moment », best-seller relatant sa relation puis sa rupture avec le président, paru en 2014.

« Souvent, j’ai expliqué à Valérie : quelle est la preuve de la pauvreté ? C’est que les gens sont sans dents. C’est vrai. Je lui ai dit : je vois les gens qui viennent vers moi dans les manifestations, ce sont des pauvres, ils sont sans dents », raconte François Hollande dans l’ouvrage écrit par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme.

Mercredi matin, Valérie Trierweiler a posté sur son compte Twitter, lu par quelque 320’000 abonnés, un sms qu’elle dit avoir reçu de François Hollande le 31 mai 2005 à 12h39.

« Je suis avec ma copine Bernadette dans une grande manifestation dans son canton. Je lui ai fait un numéro de charme. Mais tu ne dois pas t’inquiéter. Dans son discours, elle a fait un lapsus formidable. Rire général, même chez les sans-dents », peut-on lire.

Romandie.com avec(ats / 12.10.2016 15h53)

Bonjour Twitter, c’est Barack: Obama a enfin son compte

mai 18, 2015

Washington – Père, mari et 44e président des Etats-Unis, Barack Obama a désormais son compte personnel sur Twitter.

Bonjour Twitter ! C’est Barack, a lancé le président américain lundi matin dans son premier tweet, rédigé depuis le Bureau ovale. Après six ans, ils me donnent enfin mon propre compte.

Ce compte, baptisé @POTUS (acronyme de President Of The United States), sera un nouveau moyen pour le président de dialoguer directement avec les Américains, précise la Maison Blanche.

A la différence du compte officiel de l’exécutif américain (@WhiteHouse), alimenté par ses équipes, les tweets seront ici exclusivement rédigés par le président.

Il était temps @POTUS !, a tweeté à son tour sa femme, Michelle Obama.

Le compte présente une photo du président tout sourire. En toile de fond, un cliché de la marche sur le pont Edmund Pettus à Selma (Alabama) à laquelle il a participé début mars pour marquer le 50e anniversaire de cette manifestation pour les droits civiques entrée dans l’histoire.

La Maison Blanche a diffusé une photo du président, très décontracté, assis sur un coin de son bureau, envoyant son premier tweet depuis un smartphone.

M. Obama, qui avait plus de 700.000 followers en milieu d’après-midi, suit pour l’heure 65 comptes, allant de celui de sa femme Michelle, à l’université de Harvard, où il a étudié, en passant par l’équipe de baseball des Chicago White Sox dont il est un fan déclaré.

L’ours est lâché dans la Twittosphere!, a lancé dans un tweet sa proche conseillère Valerie Jarrett.

Le groupe Twitter s’est également fendu d’un Bienvenue, Monsieur le président!

L’exécutif américain a précisé que ce compte officiel serait transféré au successeur de M. Obama lorsque ce dernier quittera la Maison Blanche, le 20 janvier 2017.

M. Obama a parfois utilisé le compte @BarackObama, mis en place par ses équipes de campagne, pour envoyer quelques messages qu’il avait personnellement rédigés, en ajoutant ses initiales, bo, à la fin.

Nous sommes tous ensemble. C’est comme ça que nous avons fait campagne et c’est ce que nous sommes. Merci. -bo avait-il ainsi tweeté, le 6 novembre 2012, annonçant sa réélection sur le réseau social.

Romandie.com avec(©AFP / 18 mai 2015 21h37)

Après la défaite des Bleus hier, Rihanna envoie (encore) un tweet à Karim Benzema

juillet 5, 2014
Rihanna

Rihanna

Qu’on se le dise : Riri fait corps avec les joueurs de foot. Quand ils pleurent, elle pleure. Quand ils rient, elle rit aussi… sauf qu’hier, ils n’étaient pas vraiment joyeux.

Pas de panique ! Avec Rihanna, même quand on perd on est gagnant… et surtout durant la coupe du monde de football ! Le petit lot de consolation donné au perdant, c’est elle qui l’offre.

C’est ainsi qu’hier, juste après la défaite de l’Equipe de France face à l’Allemagne, la chanteuse a twitté toute sa compassion. C’est à Karim Benzema que le tweet s’adressait et il était tout doux tout mignon. « Mon Benze chéri 😦 », pouvait-on lire.

Ce n’est pas la première fois que Rihanna interpelle Karim Benzema via le réseau social. Un peu plus tôt durant le Mondial, elle lui avait écrit : « Je ressens ta douleur à l’instant ». Cette phrase faisait allusion au match que l’équipe de France jouait contre l’Equateur. Karim Benzema n’arrivait pas à marquer… « On n’a rien sans rien. Merci pour le soutien » avait-il alors répondu à la chanteuse… avant de supprimer le tweet. Peut-être pour ne pas que la rumeur se mette à enfler.

Trop tard ! N’oublions pas que le 22 juin dernier, Karim Benzema avait posté une photo de lui avec un casque sur les oreilles et avec la légende suivante : « Go pour l’entraînement avec “Pour it up”. Mon son, c’est @rihanna » Entre les deux twittos, il s’agit donc d’une belle histoire… d’admiration ! L’une admire l’un pour son jeu de jambes et l’un admire l’une pour sa voix.

On dirait bien qu’après avoir perdu un Mondial, Karim Benzema a donc gagné une fan… et pas n’importe laquelle ! Il faudra toutefois qu’il la partage avec James Rodriguez. La chanteuse a également interpellé le joueur via Twitter en lui écrivant le message suivant : « J’ai versé une larme pour toi Rodriguez !!! 😥 »

Voici.fr par F.P

Valérie Trierweiler – François Hollande : la rupture évitée de justesse ?

juillet 20, 2012

« Ça a été très tendu entre eux »

 
L’affaire du tweet aurait bien failli provoquer l’explosion du couple présidentiel. Depuis, Valérie Trieweiler serait en sursis…

« Je tournerai sept fois mon pouce maintenant avant de tweeter ». Quatorze ne serait peut-être pas de trop dans sa situation. Le week-end dernier à Brest, Valérie Trierweiler a tenté de solder avec une note d’humour le tweetgate qui a engendré des semaines de tensions et de rumeurs autour de son couple. Depuis le message dévastateur qu’elle a écrit pour apporter son soutien au rival de l’ex-compagne de François Hollande, la première dame serait en sursis. VSD rapporte qu’après l’affaire du tweet, le président a pris ses distances avec sa compagne.

>>> Thomas Hollande : « Valérie Trierweiler détruit l’image normale de Hollande »

Dès le lendemain de son message, Valérie Trieweiler a été surprise par un photographe en train de charger des bagages dans sa voiture. Sa destination ? Sa maison de campagne située à une quarantaine de kilomètres de Paris. Le couple aurait alors coupé tout contact pendant plusieurs jours. Le 14 juillet dernier, la première dame a fait sa première sortie officielle aux côté de François Hollande depuis l’affaire du tweet. Signe que ce dernier lui a pardonné malgré les rumeurs de l’annonce prochaine de leur rupture qui ont circulé dans les rédactions parisiennes la semaine dernière. Une amie de la première dame balaie d’ailleurs ces bruits : « Si tout ça était vrai, Valérie ne serait jamais apparue au côté de François Hollande. Elle a beaucoup de défauts mais elle ne sait pas se forcer, souligne-t-elle dans VSD. Ça a été très tendu entre eux mais ils n’en sont pas là. »

>>> François Hollande furieux après le tweet de Valérie Trierweiler

Ce qui est certain, c’est que la journaliste n’a plus le droit à l’erreur et que François Hollande l’a clairement signifié dans son intervention télévisée du 14 juillet. « Je suis pour une claire distinction entre vie publique et privée […], je l’ai dit à mes proches pour qu’ils acceptent scrupuleusement le respect de ce principe », a-t-il déclaré, avant de promettre d’un « non » ferme que de tels soubresauts ne se reproduiraient pas. Peut-il seulement le garantir ? Selon le JDD, la réponse est non : « Elle va recommencer », se serait-il résigné auprès d’un proche. Dans VSD, un proche de Valérie Trierweiler résume la comportement de celle-ci à de la maladresse sentimentale : « Valérie est un personnage double, à la fois dominatrice et peu sûre d’elle. Elle se sent perpétuellement en danger car elle est très amoureuse de François Hollande. Elle cherche à protéger leur relation et elle le fait de la pire des manières. » Ségolène Royal peut en témoigner.

Voici.fr par C.G.

Démission de l’élu américain qui avait tweeté des photos osées

juin 16, 2011

Après deux semaines de polémique et de critiques du camp démocrate, le représentant de New York Anthony Weiner a démissionné.

Anthony Weiner a confié à des proches son intention de démissionner, selon le New York Times, après deux semaines de polémique liée aux photos osées de lui qu’il avait postées sur Twitter. Confirmation ce jeudi après-midi: le représentant de New York a appelé la chef de la minorité démocrate Nancy Pelosi pour annoncer sa démission.

Lors d’une conférence de presse, l’élu démocrate avait reconnu le 6 juin avoir menti en affirmant que son compte Twitter avait été piraté. Ce qu’il avait pensé être un message direct et privé à une femme – une photo en gros plan de son slip – avait été envoyé à tous ses abonnés, à la suite d’une erreur de manipulation.

Il avait alors écarté la perspective d’une démission. Mais il semble avoir entendu les remarques de ses collègues démocrates, gênés par l’affaire. Et celles du président des Etats-Unis Barack Obama qui affirmait en début de semaine: « Je peux vous dire que si c’était moi, je démissionnerais ». « Le cauchemar est fini », glisse une source démocrate au Huffington Post.

L’Express.fr