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Congo-P/Noire : un policier pisse du sang depuis une semaine après avoir ravi les marchandises des vendeuses au Fond Tié Tié

novembre 28, 2021

On les appelle les « Miyala Ngoto » ou « Bana Payé payé » et sont visibles au Grand Marché et au Fond Tié Tié où ils tentent de contourner la crise imposée par le pouvoir pour s’en sortir et nourrir leurs familles. Ce sont eux aussi que les policiers de la ville aiment tant emmerder alors qu’ils ne volent personne, mais vivent de leur commerce en s’acquittant pourtant de la taxe du marché. Un policier de la BSIR qui a voulu jouer au Rambo en ravissant leurs marchandises au Fond Tié Tié ne fait que pisser du sang depuis plus d’une semaine et il lui a été demandé d’aller présenter ses excuses à ces vendeuses afin d’espérer à une guérison. «  Toi, tu ne connais pas ces vendeuses Nibolek là ? Tu ignores le cas ZULU BAD ? » a lâché un autre policier à son collègue ensorcelé.

Arrivé fraîchement de Brazzaville, ce policier avec un accent Lingala qui fait rire avait une seule idée dans sa tête, éduquer les têtues vendeuses de Fond Tié Tié. Depuis deux semaines, lui et son chef venu aussi de Brazzaville et Lingalaphone se sont mis à emmerder les vendeurs ambulants de la ville.

Aussi malhonnêtes qu’ils sont, ces policiers ont pris du plaisir à se partager les marchandises ravies aux vendeurs. Toujours dans leur esprit tribaliste, on pouvait entendre d’eux des commentaires négatifs contre les « Bakongo ». C’est le pouvoir qu leur rend fous à ce point.

Au lieu d’user de la pédagogie envers ces pauvres femmes qui n’ont que le commerce pour survivre et s’occuper de leurs enfants, ce policier Rambo répondant aux sigles AI , a pris plaisir à ravir leurs marchandises.

Malgré les conseils de ses collègues ce jour, il a mis ces marchandises dans le véhicule de la police proférant des insultes et menaçant d’embarquer celles qui protestaient le plus. Selon ce policier, à peine arrivé à Pointe-Noire, il s’est entretenu avec les sages Vili pour leur informer de son plan de travail qui consiste à entraver le commerce des vendeuses du Fond Tié Tié. Et malgré que ces Vili lui ont conseillé de faire attention avec les vendeurs de ce grand marché, il en a fait qu’à sa tête.

Depuis une semaine, il ne fait que pisser du sang et ses nuits sont insomniaques à cause des esprits et voix des femmes qu’il entend. Même les pasteurs qu’il a consulté lui ont conseillé d’aller demander pardon à ces vendeuses.

Avec Sacer-infos par Stany Frank

Amazon présente des excuses: oui, des livreurs doivent uriner dans des bouteilles

avril 3, 2021

NEW YORK — Amazon a présenté des excuses dans le blogue de l’entreprise pour avoir menti à un membre du Congrès, il y a plus d’une semaine.

© Fournis par La Presse Canadienne

Le géant du commerce en ligne avait nié dans un micromessage envoyé au représentant démocrate Mark Pocan que certains de ses employés travaillaient si dur qu’ils devaient uriner dans des bouteilles d’eau vides pour ne pas abandonner leur poste.

Amazon a finalement dû admettre que certains de ses chauffeurs-livreurs ont peut-être dû uriner dans des bouteilles. L’entreprise s’est engagée à améliorer leurs conditions de travail.

La question a été soulevée pour la première fois le 24 mars par M. Pocan à la suite d’un micromessage d’un dirigeant d’Amazon affirmant que l’entreprise était un lieu de travail progressiste.

«Payer les travailleurs 15 $ de l’heure ne fait pas de vous un ‘lieu de travail progressiste’ lorsque vous menez des pratiques antisyndicales et obligez les travailleurs à uriner dans des bouteilles d’eau», avait répliqué le politicien.

Amazon avait alors répondu: «Vous ne croyez pas vraiment que les gens urinent dans des bouteilles, n’est-ce pas? Si c’était vrai, personne ne travaillerait pour nous.»

Dans un billet publié vendredi soir, Amazon a présenté des excuses auprès de M. Pocan. L’entreprise a reconnu que ses chauffeurs-livreurs «peuvent et ont du mal à trouver des toilettes à cause de la circulation ou parfois dans des zones rurales». Elle a souligné que la COVID-19 avait aggravé le problème, car de nombreuses toilettes publiques sont fermées.

«Soupir!, a répondu M. Pocan, samedi. Il ne s’agit pas de moi, mais de vos employés, que vous ne traitez pas avec suffisamment de respect ou de dignité.»

Amazon a écrit dans son article de blogue qu’uriner dans des bouteilles est un problème à l’échelle du secteur du camionnage. Pour essayer de prouver son point, il a partagé des liens vers des articles de presse concernant des chauffeurs d’autres entreprises qui ont dû le faire.

«Indépendamment du fait que cela concerne l’ensemble du secteur, nous aimerions le résoudre, a déclaré la société. Nous ne savons pas encore comment faire, mais chercherons des solutions.»

Les conditions de travail chez Amazon se sont récemment retrouvées sous les feux de l’actualité. Des employés d’un entrepôt ont voté la semaine dernière sur leur possible syndicalisation. Beaucoup se plaignent des journées de travail éreintantes de 10 heures qui ne comprennent que deux pauses de 30 minutes.

Amazon n’a pas répondu à une demande de commentaire.

– Par Joseph Pisani, The Associated Press avec La Presse Canadienne

France: Fétichiste de l’urine, un haut fonctionnaire du ministère de la Culture mis en examen

novembre 8, 2019

Pendant dix ans, un ex-responsable des ressources humaines du ministère de la Culture a administré des diurétiques à des femmes pour les voir uriner devant lui. Il a été mis en examen fin octobre.

 

L’affaire est des plus glauques. Pendant une décennie, un ancien responsable des ressources humaines du ministère de la Culture s’est ingénié à glisser des diurétiques dans les boissons des femmes qu’il recevait en entretien d’embauche afin de les voir uriner devant lui. Révoqué de la fonction publique en janvier 2019, Christian N. a été mis en examen le 24 octobre, selon une information de Libération confirmée par le Figaro. Une information judiciaire a été ouverte le même jour par le parquet de Paris.

Selon un mode opératoire presque immuable, Christian N. proposait à ses victimes un thé ou un café au début de l’entretien, s’en allait quelques instants puis revenait avec la boisson dans laquelle il avait dilué une dose de Furosémide, un médicament diurétique. S’ensuivait une brève discussion au cours de laquelle le fonctionnaire prenait discrètement des photos des jambes des candidates, avant de leur proposer d’aller visiter le quartier du ministère de la Culture, rue de Valois. Le parcours était savamment conçu afin d’éviter toilettes publiques et cafés, le plus souvent vers les quais de Seine. N’y tenant plus, les femmes intoxiquées étaient contraintes d’uriner devant lui, ou de faire sous elles, relate Libération, qui a recueilli les témoignages de cinq femmes intoxiquées.

«Je sentais mon ventre gonfler, j’étais au bord du malaise», raconte Karine (prénom modifié). Sous un pont, j’ai baissé mon pantalon et ma culotte, et j’ai uriné. Pendant ce temps, il tenait son manteau devant moi pour me cacher et regardait mon visage.» Une autre, présentée comme Élise, refuse d’uriner devant Christian N. malgré son insistance, et s’écroule de douleur. Elle sera hospitalisée pendant quatre jours après ce rendez-vous pour une infection urinaire «à la limite de la péritonite», relate le quotidien.

Christian N. a été mis en examen pour administration de substance nuisible, agression sexuelle par personne abusant de l’autorité conférée par sa fonction, atteinte à l’intimité de la vie privée par fixation d’image, violence par une personne chargée de mission de service public et d’infractions à la législation sur les médicaments.

«C’est une affaire complètement folle d’un pervers» a réagi vendredi le ministre de la Culture Franck Riester sur Europe 1, se disant «atterré». Et pour cause. Le cas a été révélé le 15 juin 2018 à la Drac Grand Est, où l’homme a été pris sur le vif en train de photographier «discrètement» les jambes d’une sous-préfète de Moselle. Pris sur le fait par un collègue, Christian N. est mis à pied. C’est à ce moment que les enquêteurs font la découverte dans son bureau d’un fichier Excel intitulé «Expériences», dans lequel le fonctionnaire tenait un inventaire détaillé de ses victimes. Y figurent les circonstances des faits, avec l’heure de la prise des diurétiques, et l’endroit où se déclenchait l’envie d’uriner. Plus de 200 noms de personnes ayant été photographiées à leur insu ou intoxiquées y sont compilés. Interrogé par Libération, Christian N. affirme pour sa part n’avoir administré du Furosémide qu’à «dix ou vingt» femmes.

D’après l’enquête du quotidien de gauche, le haut fonctionnaire traînait depuis plusieurs années une réputation de «pervers» au ministère de la Culture, où sa manie de prendre des clichés de femmes à leur insu lui avait valu le surnom de «photographe». Plusieurs personnes avaient tenté d’alerter leur hiérarchie et la police, sans succès. En 2015, une femme tente de porter plainte quelques semaines après son entretien avec Christian N., mais se serait vue «éconduite» par les policiers. En 2016, une des victimes adresse des courriers à Fleur Pellerin et Audrey Azoulay, ministres de la Culture, pour dénoncer la «situation à caractère sexuel et humiliant» qu’elle a vécu. La même année, le «comportement suspect» du fonctionnaire est de nouveau rapporté, cette fois-ci à la médecine du travail, sans suite. «Dès que le ministère a eu connaissance de signalements de ses agents, il a engagé des actions auprès du procureur de la République», a défendu auprès de l’AFP le ministre de la Culture.

Le Figaro.fr par Pierre Sautreuil

Humour: Pipi glacial

octobre 29, 2011

Les ambulanciers sont intervenus pour décoller le pénis d’un jeune homme, à Stavropol, en Russie, qui a collé son pénis à la paroi d’un abribus alors qu’il urinait. Il faisait -35C.

L’homme qui venait de quitter un bar, se dirigeait vers son domicile quand il s’est arrêté pour uriner. Il semble qu’il se soit approché trop près de la structure en métal et c’est là que son membre a collé.

Des dizaines de passants lui donnaient toutes sortes de conseils pour se libérer de cette fâcheuse position mais, finalement, on l’a libéré en versant de l’eau tiède sur son pénis.

Gérard Dépardieu urine devant les passagers d’un avion et se fait débarquer

août 17, 2011

Réactualisation : Gérard Depardieu a fait une nouvelle fois le tour des médias en raison de son comportement : il a uriné hors des toilettes, à bord d’un vol Paris-Dublin. Un porte-parole du groupe Air France a précisé à l’AFP que l’acteur a été débarqué de l’avion à Roissy, escorté par du personnel de la compagnie de l’avion, City Jet, filiale du groupe Air France-KLM, et n’a opposé aucune résistance. Le comédien et son agent n’ont pas pu être joints pour le moment par l’AFP. Le porte-parole a toutefois affirmé que la star française était sobre, contrairement à ce qu’a déclaré une passagère à Europe 1.

Le 17 août à 9h50 nous écrivions : Deux César, pour Le Dernier Métro et Cyrano de Bergerac, une filmographie à couper le souffle et une notoriété qui fait des éclats aux quatre coins du monde : Gérard Depardieu n’a pas volé sa titulature de monstre sacré du cinéma. Pourtant, dernièrement, c’est d’une façon pathétique que l’acteur de 62 ans s’est illustré : en urinant.

Selon une information recueillie par Europe 1 grâce au Téléphone rouge, Gérard Depardieu a uriné devant les passagers d’un avion à destination de Dublin, mardi 16 août dans la soirée. Pourquoi en arriver là ? Alors que l’appareil était en phase de décollage, il souhaitait se rendre aux toilettes. Face au refus de l’hôtesse pour des raisons de sécurité, ni une ni deux, le comédien s’est soulagé devant tout le monde. Une triste prestation…

« On voyait bien qu’il avait bu, l’hôtesse était interloquée… mais pas de commentaire […] Il n’y a pas eu de mot, rien. Monsieur Depardieu s’est rassis, nous sommes rentrés au parking de l’aéroport parce qu’il fallait nettoyer, » raconte une des passagères de l’avion interrogée par Europe 1. La radio ajoute que l’incident a provoqué un retard de deux heures pour ce vol.

Entre ses agressions verbales dont ont été victimes, entre autres, une journaliste qui l’a interrogé sur son fils décédé, Guillaume Depardieu, ou Juliette Binoche, et ce genre d’agissements, le Mammuth Gérard Depardieu cumule les frasques.

Purepeople.com