Posts Tagged ‘Valérie Trierweiler’

Trierweiler revient hanter Hollande sur les « sans-dents »

octobre 12, 2016

L’ancienne compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler, a rendu public mercredi ce qu’elle présente comme un ancien sms où le président socialiste utilise l’expression « sans-dents » pour désigner les personnes de condition modeste. Le message date de 2005

La journaliste, qui a partagé la vie de François Hollande de 2005 à 2012, réplique aux propos tenus à son sujet par le chef de l’Etat dans un livre où il la décrit comme une femme jalouse. Son « l’obsession » était Ségolène Royal, mère des quatre enfants du chef de l’Etat.

Dans « Un président ne devrait pas dire ça… » à paraître jeudi aux Editions Stock, François Hollande revient aussi sur l’expression « sans-dents » révélée par Valérie Trierweiler dans « Merci pour ce moment », best-seller relatant sa relation puis sa rupture avec le président, paru en 2014.

« Souvent, j’ai expliqué à Valérie : quelle est la preuve de la pauvreté ? C’est que les gens sont sans dents. C’est vrai. Je lui ai dit : je vois les gens qui viennent vers moi dans les manifestations, ce sont des pauvres, ils sont sans dents », raconte François Hollande dans l’ouvrage écrit par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme.

Mercredi matin, Valérie Trierweiler a posté sur son compte Twitter, lu par quelque 320’000 abonnés, un sms qu’elle dit avoir reçu de François Hollande le 31 mai 2005 à 12h39.

« Je suis avec ma copine Bernadette dans une grande manifestation dans son canton. Je lui ai fait un numéro de charme. Mais tu ne dois pas t’inquiéter. Dans son discours, elle a fait un lapsus formidable. Rire général, même chez les sans-dents », peut-on lire.

Romandie.com avec(ats / 12.10.2016 15h53)

Pour Thomas Hollande, son père, « libéré », va mieux sans Valérie Trierweiler

août 29, 2016

Thomas Hollande n'est pas tendre avec Valérie Trierweiler dans le livre "Conversation privées avec le président". (Ici, François Hollande et Valérie Trierweiler à New Delhi le 15 février 2013)

Thomas Hollande n’est pas tendre avec Valérie Trierweiler dans le livre « Conversation privées avec le président ». (Ici, François Hollande et Valérie Trierweiler à New Delhi le 15 février 2013) afp.com/BERTRAND LANGLOIS

Dans le livre « Conversations privées avec le président », le fils de François Hollande s’exprime sur la rupture de son père avec la journaliste Valérie Trierweiler. Et révèle que le chef de l’Etat, « libéré », s’en porte mieux.

Dur. Selon Thomas Hollande, son père va bien mieux depuis qu’il n’est plus en couple avec Valérie Trierweiler. Dans le livre Conversations privées avec le président, paru le 19 août chez Albin Michel, le jeune homme explique à Karim Rissouli et Antonin André à quel point sa relation pouvait être envahissante.

« La sépa­ra­tion, ça lui a fait du bien. Avec elle, il avait beau­coup de choses à gérer, explique Thomas Hollande. Or, c’est quelqu’un qui a profondément besoin de solitude, d’être seul dans son intimité. »

La rupture a « libéré » François Hollande

Selon le fils du président, âgé de 32 ans, cette rupture l’a même conforté dans sa fonction. « Il me l’a dit : ‘Pour moi, on ne peut pas avoir une vie de couple et être président.’ Le fait d’être seul crée pour lui quelque chose d’extrêmement libérateur. »

Thomas Hollande ne s’arrête pas là dans sa description acide de son ancienne belle-mère. »Dans les voyages officiels, au-delà de la personnalité de Valé­rie, il devait gérer énormément de contraintes liées au programme de la première dame », se remémore le fils du président.

Une campagne sans Julie Gayet… si tout va bien

Quant à Julie Gayet, qui est installée à l’Elysée depuis plusieurs mois d’après l’ouvrage, elle ne risque pas de compromettre la future campagne présidentielle de François Hollande. Thomas en est sûr, son père « ne sera pas un président en couple qui fait campagne. »

Selon le jeune homme, ce célibat sera même assumé. Et si jamais François Hollande décide finalement d’afficher sa compagne, « ce sera par lâcheté parce qu’il se le ferait impo­ser. » Voilà les électeurs prévenus.

Lexpress.fr par ,

Congo-Europe: Réactions des intellectuels et politiques européens contre le soutien de François Hollande au dictateur Sassou-Nguesso

octobre 26, 2015

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“Ce référendum n’est que l’envers du décor de ce pouvoir maléfique qui contribue à la tuerie de la liberté en Afrique. On doit faire quelque chose, car chacun est obligé de tout faire que cette dictature cesse, car on ne peut pas rester dans son coin pour continuer d’applaudir la dictature en Afrique. Sassou Nguesso est une honte pour son continent et pour le monde. La France doit le déloger, car c’est grâce à elle que ce démon incompétent de président est revenu aux affaires étatiques. Il faut lutter contre la dictature maintenant, car l’histoire nous juge déjà très mal”.

Michel Onfray

images (1)“Moi, je ne veux pas de cette France qui fait silence sur la dictature en Afrique à cause des richesses de ce continent; comme au Congo où la France laisse une dictature qui tue et viole le peuple pour du pétrole. Je refuse cette France de l’hypocrisie. Il faut qu’on soit vrai et qu’on puisse cesser de soutenir les dictateurs africains qui sont à l’origine de la fuite des Africains pour préfèrer vivre à l’étranger. On n’est pas là pour gagner des élections, mais on est là pour faire avancer les choses. Pourquoi haïr l’avènement clandestin des Congolais ou des Africains en Europe si on soutient les bourreaux d’Afrique pour nos intérêts socio-économique ? Ce n’est pas logique. Nous sommes en crise, mais il ne faut pas oublier et idéaliser le passé. Aujourd’hui, nous sommes dans une dictature institutionnalisée en Afrique que la France soutient et qui est contraire à l’image qu’elle se donne de fraternité, de liberté et de l’égalité”.

Tariq Ramadan

images“On doit cesser d’être des spectateurs ahuris. C’est vrai qu’on n’arrive pas à y croire qu’on change une constitution pour rester encore longtemps au pouvoir, mais chaque jour, on se demande où va l’Afrique avec de tels dirigeants qui la tuent ? Est-ce que la jeunesse va mieux s’en sortir ? C’est incrédule. Vraiment, je trouve que c’est tellement tout faux que peut être Dénis Sassou Nguesso pense que s’il est encore au pouvoir après ce référendum hypocrite qu’il sera intouchable ; c’est la stratégie Blaise Compaoré car le pouvoir l’avait longtemps protégé jusqu’à sa chute. Sassou Nguesso et son pouvoir, ça fait vraiment mafia, car c’est un mafieux ce monsieur. La France doit cesser de le prendre pour un enfant de chœur, car il magouille son pays jusqu’au point où la vérité n’est plus la bienvenue, car tout ce qu’il fait et dit n’est que mensonge. Son entourage est pourri.

Il y a un gros problème démocratique au Congo. Sassou Nguesso bloque tout et immobilise un peu ce pays et le Congo est une dictature qui fonctionne encore. La justice n’existe pas dans ce pays et il faut se plaindre que ce pays soit sous nos yeux une dictature qui tue et viole le peuple. C’est un pouvoir qui a une tendance égoïste qui se replie sur un changement de l’actuelle constitution du Congo par force pour sauver ses meubles. C’est une erreur de soutenir de tels pouvoirs qui tournent le dos à la démocratie depuis des lustres”.

Daniel Cohn-Bendit

valerie-trierweiler-23565_w1000“C’est honteux de laisser Denis Sassou Nguesso au pouvoir, car ce monsieur est accablant, car il renouvelle les soucis qu’un pays qui n’a pas un fonctionnement démocratique peut avoir. Comment expliquer cette attitude de la France qui est à l’origine de la pérennisation de cette dictature au Congo de ne rien faire ? On sait que le Congo est à la fois lié à la France historiquement, mais c’est tout de même un pays très français, car la France a des raisons fondamentales de remettre la démocratie dans ce pays, car Sassou Nguesso est là par la gloire d’une politique française ignoble. On ne peut plus fermer les yeux, car dans ce pays, il y a une dictature qui cause des grands drames aux gens depuis des décennies.

Ce référendum du changement de la constitution que Dénis Sassou Nguesso réalise au Congo, il me semble qu’on peut l’expliquer au moins partiellement par le besoin constant de ces autorités de fuir la justice nationale et internationale ; car ces gouvernants sont dans les sentiments d’illimité et d’impunité du pouvoir”.

Valérie Trierweiler

plenel“Il y a un problème de oui ou non au changement de la constitution au Congo, parce qu’il y a plusieurs soucis de civilisation et de politique que le pouvoir en place est coupable. C’est en fait sous couvert d’un referendum honteux que Denis Sassou Nguesso veut cacher ses amalgames et ne pas être comptable ou responsable de ses fautes gouvernementales. Son pouvoir a immensément tué les Congolais, car sa dictature a été la plus meurtrière du Congo. L’indifférence et le silence dans lequel on laisse le peuple congolais par la France est affreux et choquant. Un président de la France ne peut pas trouver une telle dictature de légitime pour organiser un référendum où on sait d’avance le gagnant. C’est une violence immensément lourde historiquement. Évidemment, cette dictature dont la France est l’auteur, est en train de créer des conséquences pour l’unité et le progrès du Congo. Sortons des égarements, car l’heure est au sursaut de dignités”.

Edwy Plenel

12108069_955676147803994_1173981213328082487_n“Quand on défend les intérêts de son pays, on ne doit pas être dans le mensonge. Il faut être catégorique et ne pas faire les mises en scène. Il faut respecter la constitution, car cela est primordial pour la bonne évolution des institutions du pays. Je n’ai pas eu besoin du changement de la constitution, pour rester au pouvoir, malgré que mon entourage voulait bien que je change la constitution. Quand on respecte le peuple, et on aime vraiment son pays, on ne change pas la constitution pour son bonheur”.

Vladimir Poutine

Par Sukissa.co.uk

Valé­rie Trier­wei­ler visée par une plainte pour « coups et bles­sures »

mars 13, 2015

 

Valerie Trierweiler

Valerie Trierweiler

Le client d’un bar aurait été giflé par l’ex-première dame

Si elle était plutôt discrète ces derniers temps, Valé­rie Trier­wei­ler se serait sans doute bien passée de reve­nir dans l’arène média­tique en pareilles circons­tances. Nos confrères de RTL révèlent en effet que le client d’un bar aurait porté plainte contre l’ex-première dame pour une gifle qu’elle lui aurait admi­nis­tré ce jeudi 12 mars.

Et revoilà Valé­rie Trier­wei­ler… C’est à la rubrique fait-divers que l’ex-première dame fait parler d’elle aujourd’­hui comme le rapporte la radio RTL. «Une brève alter­ca­tion est surve­nue ce jeudi 12 mars, au matin, dans un café du XVe arron­dis­se­ment de Paris entre un client et Valé­rie Trier­wei­ler, indique la première radio de France sur son site inter­net. D’après les premiers éléments de l’enquête, cet homme aurait fait une première remarque dépla­cée à la jour­na­liste, auteur du best-seller « Merci pour ce moment », en lui deman­dant appa­rem­ment ironique­ment « des nouvelles de François Hollande ». Le ton serait monté, Valé­rie Trier­wei­ler deman­dant au client de présen­ter ses excuses. Ce qu’il a refusé. C’est à ce moment que l’ancienne compagne du chef de l’État l’aurait giflé. Le client est alors allé dépo­ser plainte au commis­sa­riat en fin de mati­née pour « coups et bles­sures »»

Et nos confrères du Point de rappe­ler que ce n’est pas la première fois que l’on accuse Valé­rie Trier­wei­ler d’avoir la gifle facile. En octobre 2014 lors d’une grande fête orga­ni­sée par Jean-Luc Romero, l’an­cienne compagne de François Hollande avait été accu­sée d’avoir giflé Valé­rie de Senne­ville, l’ex-épouse du ministre des Finances et des Comptes publics Michel Sapin.

Préci­sons toute­fois que même si France Dimanche et Le Pari­sien avaient confirmé cette infor­ma­tion, Jean-Luc Romero l’avait démen­tie sur son compte Twit­ter indiquant qu’il y avait « chaque jour une nouvelle rumeur sur Valé­rie Trier­wei­ler », et d’ajou­ter que « la soirée était bon enfant ».

Gala.fr

Valérie Trierweiler entame sa tournée au Royaume-Uni par une interview au Times

novembre 22, 2014
Les vacheries de Valé­rie

Les vacheries de Valé­rie au Royaume-Uni!

Londres – Valérie Trierweiler, l’ex-compagne de François Hollande, a entamé la tournée promotionnelle de son best-seller au Royaume-Uni avec une interview samedi au Times Magazine dans laquelle elle revient sur son histoire avec le président français.

L’auteure, qui s’est gardée d’accorder la moindre interview en France, a donné un entretien exclusif au Times, qui doit être suivi par deux autres à la BBC dimanche et lundi. Elle est présentée à la Une du magazine sous ce titre: Valérie Trierweiler: sexe, secrets et mensonges présidentiels.

Dans cette interview fleuve réalisée à Paris, dans un hôtel discret juste à côté de la Place des Vosges, elle revient sur sa passion avec François Hollande et le moment où elle découvre la liaison de son compagnon avec l’actrice Julie Gayet.

Vous êtes marié? Imaginez-vous votre femme dans les bras d’un autre homme? Essayez de l’imaginer, lance-t-elle à l’interviewer qui la décrit comme une belle femme, alerte, puis un peu plus loin inquiète mais calme.

Merci pour ce moment sort la semaine prochaine en anglais sous le titre: Thank You For This Moment: A story of Love, Power and Betrayal (Merci pour ce moment: une histoire d’amour, de pouvoir et de trahison).

C’est l’une des douze traductions prévues, dont le russe et l’italien mais aussi le chinois et l’albanais du brûlot, qui figure au top des ventes en France.

Valérie Trierweiler effectue à Londres sa première vraie tournée de promotion avec quelques séances de dédicace au programme. Son livre promet de rencontrer un large public au Royaume-Uni, si l’on en juge par l’intérêt soutenu des médias britanniques pour les déboires du couple présidentiel français.

Il est important que ce soit un best-seller, pas pour des raisons financières mais parce que tous ceux qui l’ont lu me disent: maintenant nous comprenons ce que vous avez traversé, maintenant nous comprenons qui vous êtes, explique-t-elle au Times.

J’ai laissé mes larmes guider mon écriture. J’ai commencé avec les scènes qui furent les plus douloureuses pour moi. Après, j’ai mis beaucoup de temps à m’y remettre et je n’étais même pas sûre de pouvoir y arriver, ajoute-t-elle.

Lorsqu’elle découvre la liaison de François Hollande avec Julie Gayet, son premier réflexe a été de sauver leur relation. A cet instant, je suis toujours amoureuse et ne peux imaginer vivre sans lui. J’ai tenté de comprendre. Puis ce fut le choc. La colère est venue plus tard, dit-elle.

Depuis la rupture, elle dit se sentir espionnée par l’Elysée et le président. François Hollande lui aurait ainsi envoyé des bouquets de fleurs dans des hôtels au Maroc et aux États-Unis.

Elle dit ne pas savoir comment il a fait pour la trouver, mais qu’il a eu recours à certaines méthodes. Il m’a dit: je saurais toujours te trouver, ajoute-t-elle.

Elle répète aussi que le président l’a bombardée de textos et d’e-mails pendant le printemps et l’été pour la supplier de revenir.

Le Times, qui n’hésite pas à parler du best-seller le plus explosif de l’histoire de l’édition française, fait également grand cas de son admission à l’hôpital, lorsque le président lui a avoué sa liaison avec Julie Gayet.

Valérie Trierweiler est convaincue qu’on lui a administré un supplément de sédatifs pour l’empêcher d’accompagner le président à Tulle. C’est le médecin lui-même qui me l’a dit le lendemain, assure-t-elle.

Romandie.com avec(©AFP / 22 novembre 2014 13h33)

Valé­rie Trier­wei­ler: de plus en plus seule?

octobre 28, 2014

 

Valérie Trierweiler

Valérie Trierweiler

Rien ne va plus pour la jour­na­liste de Paris Match

Après son livre vengeur, l’ancienne première dame voit son image ternie. Le malaise s’accroît après un nouvel inci­dent. Par Caro­line Derrien

Elle ne nie pas, mais rela­ti­vise. Au Canard enchaîné, l’an­cienne première dame concède une « simple dispute ». Les soubre­sauts média­tiques de la nouvelle « affaire Trier­wei­ler » n’en finissent pas : « On ne me parle que de ça, alors que c’était mon anni­ver­saire, une fête privée en plus ! », confie Jean-Luc Romero à Gala, las « d’être l’otage » de cette sombre histoire. Le 28 septembre dernier, l’élu socia­liste pari­sien fêtait sa première année de mariage avec son compa­gnon dans un lieu gay mythique, le Banana Café. Plumes, paillettes et bonne humeur… Les jeunes mariés ne seront pas les témoins directs du coup d’éclat : Valé­rie Trier­wei­ler a agressé verba­le­ment et physique­ment une ex-intime, Valé­rie de Senne­ville, jour­na­liste aux Echos – elle lui a notam­ment « griffé le bras », selon l’heb­do­ma­daire. Elle a aussi insulté une connais­sance de longue date, Natha­lie Mercier, char­gée de mission durant la campagne de François Hollande. Des faits confir­més à Gala par un témoin. Fragi­li­sée par les allé­ga­tions du Canard, en une pirouette humo­ris­tique, l’an­cienne première dame fustige sur Twit­ter « Ces rumeurs calom­nieuses ».

Valé­rie de Senne­ville, mariée en 2011 au (futur) ministre Michel Sapin, l’avait pour­tant épau­lée en pleine tour­mente, jusqu’à l’ac­com­pa­gner aux côtés de Saïda Jawad – toujours proche – pour une semaine de décom­pres­sion à l’île Maurice. Hospi­ta­li­sa­tion, semaine « au vert » à La Lanterne… la consœur et la comé­dienne tentent alors de sutu­rer les plaies ouvertes d’une grande bles­sée. « Je sais ce que je leur dois. […] Je connais la force de l’ami­tié fémi­nine et elle m’a sauvée », écrit l’an­cienne compagne du Président dans Merci pour ce moment. Mais le livre rava­geur, d’une folle impu­deur – discré­di­tant un chef d’Etat présumé socia­liste et sapant la dignité prési­den­tielle, a défi­ni­ti­ve­ment brisé la confiance de fidèles telle Valé­rie de Senne­ville. Ou encore trou­blé son amie jour­na­liste Cons­tance Vergara, conviée elle aussi au Banana Café.

La femme trom­pée, humi­liée devant la France entière ne suppor­te­rait-elle plus le moindre rejet, le moindre juge­ment ? Elle déplore dans ses confes­sions avoir été « trai­tée comme une paria […] à peine quelques jours après la révé­la­tion de Closer ». D’au­cuns, il est vrai, ont eu vite fait de se détour­ner, sitôt la première dame déchue. D’autres, comme Brigitte Jouyet, l’épouse du Secré­taire géné­ral de l’Ely­sée, ami de toujours du chef de l’Etat, lui enver­rait encore des sms. Mais Valé­rie Trier­wei­ler semble n’avoir guère appré­cié le dégoût de certains, ni la moindre critique sur son brûlot. Tous « traîtres » à ses yeux ou presque. Et de vouloir venger l’af­front. « Elle ne supporte pas la contes­ta­tion ; soit on est d’ac­cord avec elle, soit on est contre elle, insiste un ancien proche. Mais elle voit bien que beau­coup commencent à lui tour­ner le dos, or il lui faut conti­nuer d’exis­ter ». Même son ancien conseiller élyséen, Patrice Bian­cone, en charge des ONG auprès de François Hollande ne veut rien commen­ter. Bien sûr, il y a ces 567 413 exem­plaires vendus à ce jour, selon Les Arènes, ces  mots doux d’une autre ancienne première dame – Carla Bruni – « émue » par le livre. De quoi la rassé­ré­ner, après ce fâcheux sondage du Pari­sien, où seul un quart des Français la juge « sympa­thique », publié… le jour même de son coup de sang ?

« Elle est persua­dée d’in­car­ner la vraie gauche, d’être la vox populi, celle des femmes trom­pées », décrypte une rela­tion. N’a-t-elle pas évoqué à Angers, le 10 octobre dernier, devant des lecteurs conquis son « histoire parti­cu­lière », « au bout du compte une histoire univer­selle »? Elle devait, ces derniers jours, fêter chez elle son triomphe litté­raire, avant de nouvelles dédi­caces, peut-être. Reprendre le dessus sur la rumeur de la ville, après le canu­lar très singu­lier de Nico­las Bedos, les raille­ries de Laurent Ruquier, les soupçons d’écri­ture à quatre mains avec l’écri­vain Laurent Binet … Et embras­ser encore la cause des jeunes Nigé­rianes enle­vées par Boko Haram ou quelque mission auprès du Secours Popu­laire, pour les plus dému­nis. Ceux-là dont elle se dit proche.

Gala.fr

Valé­rie Trier­wei­ler aurait giflé, griffé et tiré les cheveux d’une ancienne amie

octobre 10, 2014

Une soirée qui aurait mal fini

Lors d’une fête d’an­ni­ver­saire, Valé­rie Trier­wei­ler se serait litté­ra­le­ment battue avec une de ses anciennes amies, à la stupeur géné­rale.

C’est une scène hallu­ci­nante à laquelle auraient assisté les invi­tés de la petite fête orga­ni­sée par Jean-Luc Romero le 28 septembre dernier à Paris. Le maire adjoint du XIIème arron­dis­se­ment avait tenu à réunir autour de lui ses proches pour célé­brer son premier anni­ver­saire de mariage avec son époux, Chris­tophe Michel.

Parmi les têtes connues, Valé­rie Trier­wei­ler, venue se détendre après le succès phéno­mé­nal de Merci pour ce moment. L’ex-compagne de François Hollande souriante et d’hu­meur festive, a passé un excellent début de soirée, se déchaî­nant sur la piste au milieu des invi­tés et de danseurs traves­tis.

C’est un peu plus tard de la soirée que les choses auraient dérapé selon nos confrères de France Dimanche.

La jour­na­liste aurait aperçu, assises à une table un peu à l’écart, plusieurs de ses anciennes amies occu­pées à discu­ter. « Anciennes » car ces dernières auraient préféré lui tour­ner le dos après la sortie de son livre. Déci­dée à leur deman­der des comptes, Valé­rie Trier­wei­ler, « éméchée », selon les infor­ma­tions de France Dimanche, se serait diri­gée vers leur table.

Le ton serait monté rapi­de­ment entre Valé­rie Trier­wei­ler et Valé­rie de Senne­ville, l’ex-femme de Michel Sapin jusqu’à ce que l’ex-première dame perde son self control.

Selon France Dimanche, la jour­na­liste se serait jetée sur son ancienne amie, la giflant, la grif­fant et lui tirant les cheveux. Un débor­de­ment de violence à peine croyable qui n’au­rait cessé que grâce à l’in­ter­ven­tion de deux invi­tés, qui se seraient inter­posé pour éloi­gner Valé­rie Trier­wei­ler de son ex-amie.

Très choquée, l’ex-femme de Michel Sapin aurait dans un premier temps envi­sagé de porter plainte avant de se ravi­ser…

Voici.fr par Perrine Stenger

Valé­rie Trier­wei­ler : assaillie par des passants, la police a dû lui venir en aide

septembre 28, 2014
Valerie Trierweiler

Valérie Trierweiler

Victime de son succès

Valé­rie Trier­wei­ler a vécu une drôle de mésa­ven­ture hier. Alors qu’elle faisait des courses dans Paris, l’ex-Première dame aurait créé une émeute. Paniquée, elle s’est réfu­giée dans une boutique en atten­dant l’aide de la police. 

La célé­brité a un prix et Valé­rie Trier­wei­ler vient de payer l’addi­tion. On ne parle que d’elle depuis la sortie de son livre polé­mique Merci pour ce moment. Alors quand les gens la croisent dans la rue, ils l’inter­pellent, demandent une photo. C’est ce qui est arrivé hier dans le XVIIIème arron­dis­se­ment de Paris.

L’ex-compagne de François Hollande faisait des courses lorsqu’elle a été reconnu par un groupe de vendeurs à la sauvette. Selon Le Pari­sien, ils se sont appro­chés d’elle pour prendre la pose à ses côtés. Et puis d’autres personnes se sont ajou­tées et encore d’autres… Prise de panique, Valé­rie Trier­wei­ler s’est réfu­giée dans une boutique. Les forces de police ont dû inter­ve­nir pour sécu­ri­ser les lieux et escor­ter la jour­na­liste jusqu’à une station de taxi. Une vraie star !

Valé­rie Trier­wei­ler a raconté sa mésa­ven­ture à l’AFP. Elle explique: «Dans la rue, les gens ont voulu se faire photo­gra­phier avec moi. L’ambiance était très sympa­thique mais très vite, ça s’est trans­formé en véri­table bous­cu­lade. Un poli­cier en civil qui était dans le coin m’a alors entraî­née dans un maga­sin de tissus. A l’exté­rieur, les gens scan­daient Valé­rie, Valé­rie !. Le poli­cier m’a dit:  «vous ne pouvez plus sortir sans être piéti­née». Il a donc appelé des renforts…»

Cepen­dant l’ex-Première dame a rapi­de­ment rela­ti­visé. La situa­tion est vite deve­nue incon­trô­lable, certes, mais elle a passé un bon moment. Elle a écrit sur Twit­ter: «Merci pour l’accueil très très chaleu­reux à Barbes. Ni panique, ni commis­sa­riat, mais manioc et bananes plan­tains. Et beau­coup de selfies». Tout est bien qui finit bien.

voici.fr par L. B.

Valérie Trierweiler bientôt millionnaire grâce à Merci pour ce moment?

septembre 12, 2014

D’après nos estimations, Valérie Trierweiler pourrait gagner plus d’un million d’euros grâce aux ventes de Merci pour ce moment, dans lequel elle attaque avec force François Hollande et Ségolène Royal.

Conjectures. Merci pour ce moment est le phénomène de cette rentrée littéraire. Une chose est sûre, Valérie Trierweiler va s’enrichir avec les ventes -déjà spectaculaires- de son livre qui relate sa relation avec François Hollande. Mais de combien?

Difficile de le savoir précisément, puisque ni l’éditeur (Les Arènes) ni l’agent de l’ex-compagne du président de la République (Anna Jarota) n’acceptent de donner les détails du contrat. L’Express s’est néanmoins laissé aller à quelques calculs et suppositions et vous propose une fourchette.

Au moins 145 000 exemplaires vendus 20 euros l’unité

Le nombre d’exemplaires imprimés, 200 000, avait de quoi surprendre. Mais après avoir découvert le livre, qui jongle entre détails intimes sur sa relation avec un président de la République en fonction, tacles contre l’ex-femme -Ségolène Royal- et sensibleries plus ou moins assumées, le pari des Arènes s’est révélé compréhensible. Effectivement, quatre jours après la mise en vente, 145 000 exemplaires ont été achetés, selon le cabinet Gfk, 170 000 en comptant les exports, selon la maison d’édition. Un véritable carton, aussi rare que notable, que l’on peut comparer aux ventes des « rock-stars » de la littérature Guillaume Musso ou Marc Levy.

A partir de là, le calcul est -presque- simple. Valérie Trierweiler était non seulement courtisée par de nombreux éditeurs, mais est en plus représentée par un agent renommé, Anna Jarota, qui a négocié pour elle. Il est alors raisonnable d’estimer qu’elle a obtenu un contrat lui conférant entre 15% à 18% du total des ventes. Soit entre environ 3 et 3,50 euros par livres vendu. En prenant cette fourchette d’estimations comme base, Valérie Trierweiler pourrait avoir touché entre 435 000 et 595 000 euros… en quatre jours .

270 000 réimpressions, 400 000 ventes estimées

Résultat, la maison d’édition a décidé d’imprimer 270 000 exemplaires supplémentaires, portant le total à 470 000 livres imprimés. Le président du Syndicat de la librairie française (SLF), Matthieu de Montchalin, ainsi que plusieurs experts interrogés par L’Express estiment que le livre de l’ancienne compagne de François Hollande pourrait atteindre les 400 000 exemplaires vendus.

Si tel est le cas, Valérie Trierweiler toucherait -toujours selon nos estimations- entre 1,2 million et 1,4 million d’euros environ. Sommes auxquelles il faut soustraire la commission de son agent mais ajouter les droits de cession en club et en poche (environ 5% pour un prix d’environ 9 euros). Sans oublier les droits des ventes à l’étranger -qui, selon nos informations, sont gérés directement par Anna Jarota-, soit 100% des nouveaux contrats moins la commission de l’agent. Côté impôts, Valérie Trierweiler pourra étaler fiscalement ses droits d’auteur sur cinq ans pour en payer moins…

Sans connaître les détails du contrat, difficile d’aller plus loin dans les suppositions, mais si l’ex-compagne du Président est millionnaire d’ici la fin de l’année, elle pourra dire « merci pour le montant »…

Lexpress.fr par ,

Audrey Pulvar critique l’attitude « rancunière » de Valérie Trierweiler

septembre 8, 2014

 

« Ce n’est pas dans ma nature d’être vengeresse »

Merci pour ce moment, le livre de Valérie Trierweiler sur sa relation avec François Hollande, a chiffonné Audrey Pulvar, qui trouve que celle-ci « a eu tort » de le sortir aussi tôt. Si elle comprend l’ex première dame, la journaliste a précisé que de son côté, elle n’en aurait jamais écrit un sur son histoire avec Arnaud Montebourg.

Depuis un peu moins d’une semaine, le livre de Valérie Trierweiler, Merci pour ce moment, n’en finit pas d’agiter le petit monde de la politique. Rempli d’anecdotes croustillantes, de « révélations » et de souvenirs intimes de la vie de l’ex première dame aux cotés de François Hollande, il déchaîne les passions et explose en termes de ventes dans les librairies. Audrey Pulvar, journaliste et ancienne compagne d’Arnaud Montebourg, l’a lu, et a confié ses doutes au Parisien. « Elle a eu tort de le [sortir] maintenant, a-t-elle expliqué ce dimanche au quotidien. Si elle voulait échapper à l’accusation d’avoir écrit ce livre dans le but de nuire et de gagner de l’argent, il fallait attendre que François Hollande ne soit plus au pouvoir. »

Si elle éprouve « de la compassion » pour cette femme qui « cherche à se réhabiliter » après avoir « beaucoup souffert », elle a toutefois critiqué son geste. Selon Audrey Pulvar, la sortie de Merci pour ce moment ne va pas faire du bien à l’image déjà bien écornée de Valérie Trierweiler : « Elle n’a pas compris que, quoi qu’elle dise, tout sera retenu contre elle. J’ai lu ce livre en me disant : “C’est une journaliste, donc il y aura une analyse de la façon dont François Hollande a vécu les primaires, la campagne, l’accession au pouvoir.” Mais c’est surtout le portrait d’une femme blessée. Or, on ne peut pas être sur la photo et commenter ce qu’il s’y passe. » En tout cas, Audrey Pulvar, elle, ne l’aurait pas fait : « Je n’aurais jamais écrit un livre comme celui-là ! », a-t-elle assuré, faisait référence à sa propre relation avec Arnaud Montebourg, qui s’est terminée fin 2012.

L’idée d’écrire un ouvrage sur son histoire avec l’ex ministre du Redressement productif ne lui a en tout cas pas effleuré l’esprit : « Ce n’est pas dans ma nature d’être rancunière ou vengeresse. Ce qui s’est passé avec Arnaud Montebourg, cela nous regarde. On a parlé, on a soldé nos comptes, a-t-elle expliqué au Parisien. Je n’ai aucun esprit de revanche, de sentiment de jubilation quand j’évoque son départ du gouvernement. Je parle de lui comme de n’importe quel autre homme politique, avec, j’espère, la même rigueur, et parfois, la même ironie. » La plupart du temps, en tout cas.

Voici.fr par M.A.