Je te prends
tu me tiens
au salon de la vie
Je t’embrasse
tu m’arroses
de tes baisers à l’envie
Quand les hanches
du fût de ton corps
enlacent ma chair
Je réponds doucement
au parcours de mes doigts
au contact de ta chair
Jamais un flux d’énergie
n’a aussi bien transité
du relief de ta plage corporelle
D’où le plasir de mon être
ne trouve satisfaction
sur ton ventre verticale.
Bernard NKOUNKOU