Posts Tagged ‘Veuf’

Pointe-Noire (Congo) : à Siafoumou, 4 fois veuf, aucune femme ne veut plus de lui

avril 5, 2022
 Pointe-Noire : à Siafoumou, 4 fois veuf, aucune femme ne veut plus de lui

Rodolph Makosso, un quinquagénaire du quartier Siafoumou de Pointe-Noire éprouve d’Énormes difficultés a trouvé la cinquième de sa vie à cause de sa condition de 4 fois veuf. Toutes les femmes qui apprennent ce fait désiste de peur d’être les prochaines à faire de nouveau veuf Rodolph. Lui par contre lie la mort de ses 4 épouses aux causes naturelles, ce que nombreux doutent.

A 52 ans et père de 6 enfants, Rodolph Makosso un cadre du pétrole est à la recherche d’une cinquième épouse après le décès de la quatrième dans le sommeil. Sa difficulté réside en réalité en sa condition de veuf plusieurs fois. Dans un pays où les commérages sont une habitude, la nouvelle s’est répandue un peu partout et les songueurs ne manquent pas de tirer les oreilles des prétendantes du veuf.

La rumeur véhicule que Rodolph Makosso serait en réalité un grand franc-maçon dont les sacrifices humains à offert à sa secte n’affecte que ses épouses et non ses enfants ou autres membres de sa famille. C’est la raison de la mort de ses 4 précédentes épouses alors que lui-même rejette en bloc cette accusation évoquant une malchance incompréhensive.

Pour éviter les songueurs de Pointe-Noire, Rodolph Makosso a fait venir de Kinshasa une Kinoise qui a vite fui avant même me mariage en apprenant par le voisinage le songui songui sur le veuvage de son fiancé. Elle n’a pas voulu être la cinquième victime.

Avec Lecongolais.fr

Quatre millions de Français souffrent de la solitude/Trois conversations par an/Grande Cause nationale 2011

juillet 7, 2011

Jusqu’à cent vingt-deux jours entre deux véritables échanges – autres que les politesses avec la boulangère : c’est la réalité quotidienne de quatre millions de Français. Ce jeudi, un collectif de vingt-six associations, dirigé par Bruno Dardelet, met en lumière cet isolement et demande la mise en place d’un Observatoire de la solitude.

Le figaro.fr/madame. – Qui sont ces quatre millions de Français qui n’ont que trois véritables conversations annuelles ?

Bruno Dardelet. – Selon ce que l’on observe sur le terrain, ce sont plutôt des personnes entre 30 et 50 ans que rien ne prédisposait à cette situation : des femmes abandonnées par leur compagnon, des hommes veufs, des gens au chômage ou qui prennent leur retraite après une activité qui constituait leur seul lien aux autres. On retrouve ces personnes aussi bien à la ville qu’à la campagne. Mais pour évaluer correctement ce phénomène, nous demandons la mise en place d’un Observatoire de la solitude.

Comment expliquer un tel chiffre ? Par l’arrivée de divertissements plus individualistes ?

Oui, en partie. Dans les campagnes, par exemple, la télé a remplacé les veillées et les agriculteurs sont de plus en plus isolés. Les cas de suicides dans cette catégorie de la population sont d’ailleurs de plus en plus nombreux. Quant à l’ordinateur, certes, il peut permettre aux plus jeunes de correspondre davantage avec leurs grands-parents, de leur envoyer des photos, par exemple. Mais comme ils communiquent de cette façon, ils ne font plus forcément l’effort de faire quelques kilomètres en voiture pour prendre de leurs nouvelles en direct.

Quelles sont les solutions ?

À force de ne plus être en relation avec d’autres, ces gens ont l’impression de ne pas être intéressants et ne font plus d’efforts. Il faut donc créer davantage de structures pour rompre cet isolement. Dans la Drôme, par exemple, des cafés ponctuels s’organisent : des bénévoles en font la promotion via les journaux locaux, dans les mairies ou les paroisses et incitent les personnes les plus isolées à se réunir. Et ça fonctionne. Il faut récréer un cercle vertueux : un geste, un regard, un sourire.

Lefigaro par Gaëlle Rolin