Pour éviter de s’attirer les foudres de certaines personnes susceptibles voire même bornées, mettons les choses au clair. Que des scientifiques reconnus déclarent avec conviction que «l’homosexualité fait partie de la sexualité humaine… » et n’hésitent pas à généraliser jusqu’à conclure que cette préférence «se retrouve dans tous les groupes ethniques», on n’a rien à dire là-dessus. Parce la nature est «humaine». Pour la bonne compréhension de notre démarche afin d’éviter surtout d’être traité d’«homophobe» après les remous provoqués par le saga adultérin d’une épouse membre du gouvernement censée servir de modèle pour la culture aux yeux de tous, venons-en au fait.
Au mépris de la compétence récemment, une dame fonctionnaire a été démise de ses fonctions dans un département ministériel puis remplacée par un collègue qui n’avait ni le savoir-faire, ni l’expérience pour le poste à pourvoir par la suite. Ce qui est scandaleux dans la démarche c’est que : le ministre réputé éprouver «une attirance sexuelle plus ou moins exclusive pour les individus de son propre sexe», détenteur des pouvoirs discrétionnaires, a osé préférer choisir à la place un homme réputé comme ayant «un comportement à prédominance homosexuel principalement masculin… ». Le mot est lâché. Devant cette préférence non dissimulée du premier responsable du département qui, également selon ses pairs et ses collègues du corps de fonctionnaires, ne possède guère les connaissances utiles et exigées pour diriger ledit ministère, c’est la panique dans les services.
La personnalité gouvernementale ainsi montrée du doigt par tout le personnel que nous évitons pour le moment de citer nommément, n’excelle que dans une branche précise de la profession. Sur le plan de la gestion de la vocation nationale attendue, le ministre n’a qu’une expérience très déficitaire des fonctionnements de l’administration dont il est pourtant le chef pour tout le territoire de Madagascar. Pour l’encyclopédie libre du Net Wikpédia désormais consacré source de référence (c’est selon), dans l’Occident moderne s’est établie une nomenclature d’usage pour définir les orientations sexuelles : le terme « gay» est souvent utilisé pour définir les individus ayant un comportement à prédominance homosexuelle principalement masculins. (…) . En effet, qu’il soit conformiste ou marginal, le principe d’un groupe est qu’il se constitue à partir d’un partage de valeurs communes.. Ils sont libres de se comporter comme ils veulent. Mais de là à imposer pour le moment, dans une administration publique et qui sait plus tard à toute une nation, le choix de quelques individus homophiles, c’est aller un trop vite en besogne voire même pas très constitutionnelle. On se calme !
Avec La Gazette de La Grande Ile par Noel Razafilahy
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