Le jour où tu as quitté la terre des hommes
Emportant avec toi notre espoir et ta flamme
Le téléphone vibrait et sonnait sans arrêt
Comme si sur ma tête tombait un couperet
Mes oreilles ne cessaient de recevoir ces paroles :
As-tu appris le chant du hibou de la triste nouvelle?
Comme un présage déjà annoncé sur ton lit de mort
Tu nous dictais ton testament d’adieu et de départ
Ô mon frère de la jeunesse du quartier
Je te revois encore sur le balcon paternel
Mangeant la banane et les cacahuètes grillés
Que nous affectionnions comme bon régal
Bernard NKOUNKOU
mai 12, 2021 à 11:26 |
Beau triste et émouvant
mai 13, 2021 à 9:34 |
Merci Gys !
mai 15, 2021 à 9:50 |
Hommage !