Tornades noires aux regards furibonds
Aux cheveux poussiéreux de tourments
Vêtues d’impressionnants tourbillons
Dévastent en haillons sales des maisons
Qui soufflent à la vitesse ivre du vent
Phénomènes meurtriers et désolants
Emportant des arbres si impuissants
Et des voitures au garage somnolant
Tordent le cou aux poteaux sanguinolents
Furie de la nature malgré son avertissement
L’homme éternel victime fauchée au talon
Résiste au sol résidentiel de son enracinement
Dans la colère virale de son mécontentement
Tombe et pleure puis se relève devant le bilan.
Bernard NKOUNKOU
Étiquettes : de la nature, sol, Vent
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