Décou­vrez les sommes miro­bo­lantes que Carla Bruni a touchées pour son album et ses pubs

Ça en fait, des zéros

Carla Bruni, joyeuse et souriante

Carla Bruni, joyeuse et souriante

Depuis que Nico­las Sarkozy a quitté la prési­dence de la Répu­blique, Carla Bruni a repris les affaires. Avec ses acti­vi­tés de chan­teuse et de mannequin de luxe, son compte en banque s’est bien rempli au cours des deux dernières années.

Atten­tion, avalanche de chiffres en vue : cette semaine, L’Ex­press s’in­té­resse aux finances de Carla Bruni-Sarkozy. La compagne de Nico­las Sarkozy, une fois partie de l’Ely­sée, s’est lancée à nouveau dans le busi­ness avec un certain succès. Selon les infor­ma­tions du maga­zine, ses deux prin­ci­pales sources de reve­nus sont, comme on pouvait s’en douter, le mannequi­nat et la chan­son. Après avoir sorti trois albums chez Naïve, l’in­ter­prète de Quelqu’un m’a dit est partie signer chez un plus gros label début 2013 : Univer­sal Music. Très heureux d’ac­cueillir une ex-première dame dans la maison, le groupe lui a proposé une belle avance pour Little French Songs : 1,069 million d’eu­ros. Si l’al­bum n’a pas aussi bien marché que prévu – Univer­sal n’ar­ri­vera jamais à couvrir, selon L’Ex­press, son inves­tis­se­ment de départ – l’argent est bien rentré, mais pas direc­te­ment dans les poches de Carla.

Afin d’évi­ter la taxe de 75% sur les reve­nus supé­rieurs à un million d’eu­ros, la chan­teuse l’au­rait jouée fine­ment. L’argent aurait été versé à Teorema, l’en­tre­prise qu’elle codi­rige depuis 2003 avec l’agent artis­tique Bertrand de Labbey. Pour faire dégon­fler la somme, ce sont, selon L’Ex­press, 606 000 euros qui sont partis en frais de société. Restaient alors 392 000 euros de béné­fices pour Teorema, dont Carla Bruni a touché une partie.

L’ex-première dame a employé la même méthode pour la somme versée par Bulgari. Pour prêter son image à deux campagnes de publi­cité, Carla, à nouveau mannequin, aurait reçu 2,15 millions d’eu­ros. Un pécule versé à sa nouvelle société, Casta­gneto, qui, d’après L’Ex­press, est char­gée de gérer « l’exploi­ta­tion, à titre exclu­sif, de l’image, de la voix, du nom et, plus géné­ra­le­ment, des droits de la person­na­lité de Madame Carla Bruni [notam­ment] dans le domaine du mannequi­nat ». Là encore, les frais de société de cette entre­prise auraient explosé : près de 488 000 euros ! Au final, cela fait un béné­fice total de 1,098 million d’eu­ros pour Casta­neto, dont une bonne partie pour Carla Bruni. Mais pas trop quand même : il suffit de quelques milliers d’eu­ros de trop pour que l’avis d’im­po­si­tion ait du mal à passer.

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