Dans les dents agitées de l’eau
Surgit à la surface des flots
La gueule assoiffée d’un requin
Qui dévore même le dauphin
De ses pointes acérées et crochues
Les poissons et même les barbues
N’ont pas la chance de survie
Comme le surfer à peine surpris
Ce démon de la mer est sans pitié
Il vit et respire la méchanceté
Suscitant crainte et méfiance
A chaque mouvement de sa cadence.
Bernard NKOUNKOU
Étiquettes : Crainte, eau, Méchanceté, Mer, requin
octobre 22, 2017 à 12:47 |
Rien que le nom me fait froid dans le dos 🙂
octobre 22, 2017 à 6:03 |
C’est le cas de le dire