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Nabilla au Grand Journal de Canal Plus: phénomène sexy de grande audience !

avril 12, 2013

Nabilla, ange de Téléréalité 5, élégante comme une rose de porcelaine, a été reçue le jeudi 11 avril à 20h30.

Star et vedette adulée du grand public, elle déployait les pétales de ses ailes sur le plateau de Canal Plus, sous l’oeil joyeux de Michel Denisot – distillant un parfum de rose d’anis et de fleur de lys – qui, subtilement dégageait une nouvelle fragrance atomisée et arrosée de fins délices.

http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=6nbpINkO_vo

A la descente des marches, elle brillait comme du métal sentimental, à la chaleur pleine de tendresse.

Beauté irréprochable, au riche patrimoine corporel présenté avec brio par Daphné Burki sous les feux des  caméras. Le lustre de ses seins a encore attiré  l’attention et fait sensation sur le plateau de Canal Plus car l’on pouvait voir son buste perché dans une couture stylée de belle robe noire de Jean-Paul Gaultier, à l’allure provocante et croquante: c’était une flamme de l’Olympe admirée par les dieux de la télévision.

Nabilla vit dans l’air du temps avec un sourire permanent sur son visage de poupée d’enfance, dotée d’une jeunesse vermeille et éternelle.

Bernard NKOUNKOU

La cuisson du baratin

février 3, 2013

  

Dans sa mini-jupe à l’allure provocante

Elle dégageait une attraction croquante

Quand elle humait au gré l’air du temps

Elle ressemblait à un  délicieux présent

 

Me déplaçant vaillamment de ma belle table

Je m’approchais de sa beauté irréprochable

Elle m’accueillait en esquissant un sourire

Planté sur mon visage que je laissais fleurir

 

Dans la chaleur attisée de la conversation

Elle attirait et concentrait toute l’attention

J’étalais en grillant par morceau mon baratin

Elle en dégustait la cuisson à sa grande faim.

Bernard NKOUNKOU

Dans le ventre du Grand Québec

février 24, 2012

Sur la cime des arbres chantaient deux corbeaux

Sur la cime des arbres chantaient deux corbeaux

Quand passait sur le Saint-Laurent un petit bateau

Chargé plein la cave de nombreux lourds fagots

 

Refrain :

Dans le ventre du Grand Québec

Les corbeaux ont perdu leur bec

Pendant l’hiver rude sur le sol verglacé

Car il n’y a plus rien au sol à ramasser

 

Quand pleurait le soleil sur la vaste neige

Ses rayons frissonnaient sur notre berge

Les grues du port bruissaient la machinerie

Tandis qu’en ville tranchait la menuiserie

 

Dans l’air du temps et les vagues du vent

Sous le ciel gris du grand Saint-Laurent

Je voyageais sur les arbres sans feuillage

Cherchant le sémaphore pour un accostage

 

A chaque instant sur la neige blanche

Le bateau dépucelait la glace blanche

Qui écartait ses cuisses sur le passage

Avec une belle pointe de grand dosage.

Bernard NKOUNKOU