Posts Tagged ‘Dominique Strauss-Kahn’

France/« Il existe mille formes d’emprise » : Anne Sinclair revient sur sa relation avec DSK

Mai 30, 2021

Dans le portrait de la semaine réalisé par Audrey Crespo-Mara pour « Sept à huit », la journaliste évoque sa « hantise du désaccord » avec son ex-mari.

Entre les années 1980 et 1990, Anne Sinclair était la star de l’info sur TF1. Les politiques ont défilé sur le plateau de la journaliste, réputée pour ses grands entretiens. En privé, la native de New York était en couple avec Dominique Strauss-Kahn, alors député, rencontré lors d’un tournage de Questions à domicile en 1988. Dans le portrait de la semaine réalisé par Audrey Crespo-Mara pour Sept à huit, diffusé ce dimanche 30 mai, la journaliste de 72 ans est revenue sur la prise de fonction de son ex-mari à Bercy, entraînant son retrait de l’antenne de 7 sur 7, et sur sa relation sous « emprise » avec l’ancien patron du FMI.

Dans ses mémoires, Passé composé (Grasset), Anne Sinclair revient sur sa relation avec Dominique Strauss-Kahn, tombé en disgrâce après l’affaire du Sofitel de New York, en 2011. Aux côtés de son mari de l’époque, alors patron du Fonds monétaire international (FMI) et accusé de viol par Nafissatou Diallo, la journaliste a affronté la tempête judiciaire, les rumeurs sur son couple, le battage médiatique autour des mœurs de l’ancien ministre. Dix ans plus tard, la compagne de Pierre Nora évoque « l’emprise » de son ex-époux. « C’est de mon fait et pas que du sien. J’ai été, comme avec ma mère, dans la hantise du désaccord et j’ai mis du temps à m’apercevoir qu’on peut avoir une relation en étant d’avis différents », explique-t-elle, en évoquant les « mille formes d’emprise ».

Anne Sinclair n’a « jamais regretté » sa mise à l’écart

Auparavant présentatrice et directrice adjointe de l’information, Anne Sinclair gérait tambour battant sa carrière à TF1 et sa vie privée. Si l’intervieweuse cuisinait « les puissants » sur la Une, elle gérait aussi la famille, ses finances, ses deux enfants nés d’une précédente union avec Ivan Levaï. « Affectivement », on est quelquefois « sinon dominée, au moins un peu mise de côté », selon la principale intéressée.

Vedette de l’entretien politique, Anne Sinclair a dû renoncer à la présentation de 7 sur 7, en 1997. En cause : la nomination de Dominique Strauss-Kahn à Bercy. Une mise à l’écart que la journaliste n’a « jamais » regrettée. « Au tout début, je me suis peut-être trouvée un peu désœuvrée. Beaucoup de gens ont pensé que c’était une soumission des femmes par rapport à la carrière de leur mari, mais ça n’a rien à voir », affirme-t-elle sur TF1. Pour Anne Sinclair, son retrait du magazine était la solution pour éviter un conflit d’intérêts, alors que son ex-mari était nommé au poste clé de ministre de l’Économie et des Finances. « Quand vous devenez la femme d’un des personnages les plus importants de l’État, on ne vous voit plus de la même manière », ajoute-t-elle, reconnaissant que sa liberté aurait été « entravée ».

Par Le Point

Dominique Strauss-Kahn salue l’action de Macron et souhaite la « disparition » du PS

novembre 5, 2017

L’ex-directeur du FMI, qui fonde beaucoup d’espoir sur l’actuel quinquennat, s’est montré sévère envers son ancien parti, a rapporté « Le Parisien », dimanche.

L’ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn (DSK), est sorti de sa réserve. Interrogé samedi 4 novembre par un journaliste anglo-saxon en marge d’une table ronde à la World Policy Conference à Marrakech (Maroc), l’ancien ministre de l’économie n’a pas tari d’éloges sur la politique d’Emmanuel Macron, a rapporté Le Parisien, dans son édition de dimanche.

« Il est en train d’agir étonnamment bien », estime celui qui s’est retiré de la vie politique depuis 2011, émettant toutefois une réserve sur sa ligne politique. « Macron n’est ni gauche ni droite. Je voudrais qu’il soit de gauche et de droite (…) et c’est une bonne chose que les deux puissent travailler ensemble », a ajouté DSK.

L’ancien président du FMI fonde par ailleurs beaucoup d’espoir sur cette présidence, y voyant une « période des grandes transformations ». « [Si] Emmanuel Macron saisit bien sa chance, il peut faire en cinq ans beaucoup de changements en France qui n’ont pas existé pendant ces trente précédentes années. »

A l’inverse, DSK se montre beaucoup plus pessimiste à propos de Donald Trump, qui célébrera, mercredi, le premier anniversaire de son élection à la Maison Blanche. « Je ne crois pas obligatoirement qu’il faille toujours avoir des politiciens, mais il faut quand même respecter les règles, les codes, ce que Trump ne fait pas. La planète ne peut être entre les mains de quelqu’un d’aussi imprévisible », s’inquiète-t-il.

La mort annoncée du Parti socialiste

Lors de cette interview, celui qui aurait pu porter les couleurs du Parti socialiste (PS) lors de la présidentielle de 2012, avant d’être mis de côté à cause d’un scandale sexuel, se montre sévère envers son ancien parti. « Je crois qu’il n’y a pas d’avenir pour le PS », argue-t-il, ajoutant « et c’est une bonne chose. Le temps est venu de renouveler le centre gauche français. »

Il va même plus loin, en expliquant que « l’élection d’Emmanuel Macron a créé une sorte de tremblement de terre dans la politique française. Et ce parti, qui est le mien – et je le dis avec tristesse – n’a pas su accompagner la mondialisation. » Sa sentence est sans appel : « Il est temps qu’il disparaisse. »

Depuis la victoire de M. Macron, le PS vit une période difficile. Son siège historique de la rue de Solférino a été mis en vente, et un plan de départs contraints va supprimer plus de la moitié des postes de permanents.

Lemonde.fr avec AFP

DSK, papa d’un enfant caché

décembre 17, 2015

Selon « Closer », l’ex-patron du FMI est le père d’un petit garçon de cinq ans. La mère réclame 8 000 euros de pension alimentaire à Dominique Strauss-Kahn.

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Dominique Strauss-Kahn, photo d’illustration. © MARTIN BUREAU

DSK s’explique sur son fonds d’investissement controversé après le suicide de son associé

octobre 31, 2014

  Le directeur du FMI, Dominique Strauss-Kahn, ici lors d'une conférence à Bercy en juin 2010. REUTERS/Benoit Tessier


Le directeur du FMI, Dominique Strauss-Kahn, ici lors d’une conférence à Bercy en juin 2010.
REUTERS/Benoit Tessier

L’ex-patron du FMI explique au Parisien ce jeudi pourquoi il a démissionné de la présidence de la société LSK récemment, trois jours avant que son associé Thierry Leyne se donne la mort.

DSK s’explique. L’ex-patron du FMI revient sur ses liens avec Thierry Leyne, son associé au sein de la société LSK qui s’est donné la mort le 23 octobre dernier, dans une interview au Parisien ce jeudi. Ce dernier avait, selon Dominique Strauss-Kahn, contracté « une série d’emprunts excessifs ».

« J’ai décidé de démissionner de la présidence de LSK (Leyne Strauss-Kahn & Partners, ndlr) pour deux raisons », explique le dirigeant déchu du Fonds monétaire international (FMI). « J’ai constaté à la fin de l’été que le projet n’était pas conforme à ce que nous avions envisagé ensemble et ne correspondait pas à ce que je cherchais. »

« Thierry Leyne était le directeur général et gérait l’entreprise. Il était engagé dans une stratégie d’emprunts qui m’est apparue en octobre avec les comptes 2013 et que je ne peux accepter. C’est la seconde raison », poursuit DSK, qualifiant de « terrible drame humain », le fait que son associé se soit défenestré à Tel-Aviv.

« J’ai probablement perdu mon investissement »

« Thierry Leyne avait monté une compagnie financière qui faisait essentiellement de la gestion d’actifs. Il n’y avait pas de département de banque d’affaires. Je devais la créer en la centrant sur le conseil aux gouvernements et accessoirement aux entreprises », précise-t-il encore. « Mais au bout du compte, il n’y avait que moi qui apportais des affaires, ce qui ne correspondait pas à ce que j’attendais d’un partenariat ».

DSK confirme par ailleurs avoir perdu de l’argent dans cette histoire (plus de 600 000 euros, selon l’Obs). « J’ai probablement perdu mon investissement et n’ai jamais perçu aucune rémunération. A mon échelle, c’est beaucoup d’argent », dit-il sans plus de précision, assurant encore à propos de son associé « je le connaissais depuis peu de temps, il m’a été présenté par une amie de très longue date qui était devenue sa compagne ».

Interrogé par le journal sur la présence d’argent sale dans certaines sociétés du groupe LSK, l’ancien leader du FMI répond « pas à ma connaissance », tout en s’empressant de préciser qu’il était lui-même « président non exécutif » tandis que M. Leyne était « administrateur-délégué et c’est lui qui gérait la société ». Dominique Strauss-Kahn avait quitté la présidence de LSK trois jours avant le suicide de son associé.

Interrogé enfin sur son état d’esprit à trois mois du procès du Carlton, DSK se dit « serein », affirmant « cette histoire a été montée en épingle et j’ai bon espoir que le tribunal (de Lille ndlr) me rendra justice en février ».

Lexpress.fr avec

Film sur DSK: l’ex-épouse Anne Sinclair exprime son dégoût mais n’attaque pas en justice

Mai 18, 2014

Paris – L’ex-épouse de l’ancien directeur du FMI Dominique Strauss-Kahn, la journaliste Anne Sinclair, a exprimé dimanche son dégoût pour le film Welcome to New York d’Abel Ferrara inspiré de l’affaire du Sofitel, tout en indiquant toutefois qu’elle ne l’attaquera pas en justice.

Comme le personnage de Simone (joué par Catherine Bisset) dans le film +Welcome to New York+ prétend me représenter, je veux seulement dire ici mon dégoût (…) Je ne ferai pas à MM. Ferrara et (Vincent) Maraval (co-producteur) le plaisir de les attaquer en justice (…) Je n’attaque pas la saleté, je la vomis, déclare la journaliste sur le site français du Huffington Post qu’elle dirige.

Le film présenté en première mondiale à Cannes samedi, hors-sélection, était visible immédiatement en vidéo à la demande (VOD, paiement à l’acte) sur internet, visible en France et en Espagne.

Avec Gérard Depardieu dans le rôle principal, il s’inspire librement de l’affaire du Sofitel de New York, quand une femme de chambre de l’hôtel a accusé Dominique Strauss Kahn, alors directeur du FMI et pressenti pour être candidat à l’élection présidentielle française, de l’avoir violée.

Un temps emprisonné, DSK a bénéficié d’un non-lieu dans cette affaire mais sa carrière a été brisée. Il est aujourd’hui séparé d’Anne Sinclair.

Dans le Huffington Post, Mme Sinclair exprime son dégoût d’un film où l’exhibition permanente du corps de Gérard Depardieu, présentée comme une audace, donne en fait le haut le coeur.

Dégoût aussi des dialogues minables et grotesques, de la façon dont le réalisateur Abel Ferrara représente les femmes, ce qui doit illustrer ses propres pulsions, et enfin et surtout du soi-disant face à face des deux personnages principaux, où les auteurs et producteurs du film projettent leurs fantasmes sur l’argent et les juifs, ajoute-t-elle.

Les allusions à ma famille pendant la guerre sont proprement dégradantes et diffamatoires, ajoute la journaliste, qui doit sa fortune à son grand père marchand d’art. Elles disent le contraire de ce qui fut. Mon grand-père a dû fuir les nazis et a été déchu de sa nationalité française par le gouvernement de Vichy. Mon père a rejoint la France Libre et a combattu jusqu’à la Libération. Dire autre chose relève de la calomnie. Je ne pensais pas avoir à défendre aujourd’hui leur mémoire devant des attaques aussi clairement antisémites, motivées chez le réalisateur sans doute par ses propres problèmes et chez le producteur par son goût du profit, dénonce Anne Sinclair.

Cela étant, je ne ferai pas à Messieurs Ferrara et Maraval le plaisir de les attaquer en justice. Ils l’ont dit, ils n’attendent que cela. Je n’attaque pas la saleté, je la vomis, conclut-elle.

Romandie.com avec(©AFP / 18 mai 2014 14h36)

Dominique Strauss-Kahn : Mort de Brigitte Guillemette, sa deuxième épouse

novembre 6, 2013

Deuxième épouse de Dominique Strauss-Kahn et mère de sa fille Camille, Brigitte Guillemette est morte le 26 octobre 2013. Son avis de décès est paru dans le carnet du Monde, le 1er novembre. Fondatrice d’une société de communication, férue d’économie, Brigitte Guillemette a également un fils, Matthieu Hug, PGD de la société RunMyProcess, ainsi que deux petits-enfants, Emma et Thomas.

Fille de diplomate, Brigitte Guillemette avait conservé d’excellents rapports avec Dominique Strauss-Kahn après leur divorce et n’a pas hésité à prendre sa défense dans les affaires du Sofitel et de Tristane Banon, dont elle est par ailleurs la marraine. Brigitte Guillemette rencontre DSK en 1983, deux ans plus tard, naît leur fille Camille. En 1986, le couple se marie et divorce assez vite. En 1988, DSK fait la rencontre de sa vie en participant à une émission de télévision, celle d’Anne Sinclair dont il est depuis divorcé.

Lorsque Dominique Strauss-Kahn est arrêté en mai 2011 à New York, il venait de déjeuner avec sa fille Camille qui étudiait à la prestigieuse université de Columbia. La jeune femme devient un témoin clé et fait front au côté de sa belle-mère Anne Sinclair lors des comparutions de son père au tribunal de Manhattan. Brigitte Guillemette monte au créneau dans Le Parisien pour défendre le père de sa fille. Elle reprendra la parole un peu plus tard dans le Nouvel Observateur, en pleine affaire Tristane Banon, pour remettre les points sur les i et annoncer qu’elle avait porté plainte pour diffamation contre la mère de Tristane, Anne Mansouret. Elle déclarait n’avoir qu’une « obsession » : protéger sa fille. Camille est la benjamine des enfants de l’ancien directeur général du FMI, également père de Vanessa (1973), Marine (1976) et Laurin (1981), nés de son mariage avec Hélène Dumas.

Dans les années 80, Brigitte Guillemette était PDG du groupe Corolle PR, filiale de Mattel. Elle a ensuite créé Euroscope consulting group, une entreprise de communication.

Purepeople.com

DSK entre au conseil de surveillance de la BRDR, banque contrôlée par Rosneft

juillet 12, 2013

MOSCOU – Dominique Strauss-Kahn va entrer dans le conseil de surveillance de la Banque russe de développement des régions (BRDR), une institution financière contrôlée par le géant russe du pétrole Rosneft, a annoncé vendredi l’établissement.

L’ancien patron du Fonds monétaire international (FMI) fait partie de la nouvelle composition de cette instance, remaniée à la suite d’un changement de stratégie décidé par Rosneft. L’ancien présidentiable socialiste y figure en tant que représentant de la firme de conseil Parnasse.

Le groupe pétrolier public, qui détient 85% de la BRDR, avait indiqué en novembre vouloir transformer l’établissement en une Rosneft Bank afin de financer ses projets internationaux mais a annoncé vendredi avoir renoncé à cette idée.

Après analyse de la situation, Rosneft préfère se concentrer sur le développement de BRDR en tant que banque d’affaires et de détail, précise le groupe dans un communiqué.

Créée en 1995, la BRDR se classe 62e banque en Russie en termes d’actifs, qui s’élevaient fin 2012 à 99,8 milliards de roubles (2,3 milliards d’euros). Elle a dégagé en 2012 un bénéfice de 211,4 millions de roubles (4,9 millions d’euros), divisé par huit par rapport à 2011.

Pour la transformer, Rosneft avait engagé à l’automne trois cadres dirigeants de la prestigieuse banque d’affaires américaine Morgan Stanley: Rair Simonian, Elena Titova et Walid Chammah, qui avaient intégré le conseil de surveillance de la BRDR.

Ces derniers ont décidé de démissionner de cette instance, d’où son changement de composition.

Elena Titova a également quitté son poste de présidente de la banque et est remplacée par Dina Malikova, jusqu’alors vice-présidente.

Rosneft, détenu à 69% par l’Etat russe, est devenu cette année le premier groupe pétrolier coté en Bourse dans le monde grâce à l’acquisition de son concurrent TNK-BP, valorisé 55 milliards de dollars.

Romandie.com avec (©AFP / 12 juillet 2013 17h20)

Dominique Strauss-Kahn mis en cause dans un scandale sexuel

juin 5, 2013

Une journaliste italienne affirme avoir été agressée par l’ex-ministre des Finances

Dominique Strauss-Kahn mis en cause dans un scandale sexuel 

dskDSK porte-parole de JospinDSKDSK portrait

DSKDSK

 Elle s’appelle Myrta Merlino, et elle s’exprime dans une émission -audio- diffusée vendredi 31 mai sur Youtube: cette journaliste italienne affirme qu’elle a été agressée sexuellement par Dominique Strauss-Kahn à New York, à la fin des années 90.

La scène se passe à Davos, en Suisse, à la fin des années 90, durant le Forum économique mondial. Remarquée par celui qui est alors ministre français des Finances, Myrta Merlino décroche une interview de Dominique Strauss-Kahn, qui lui fixe rendez-vous à 20h au bar de son hôtel. C’est le site du Dailymail britannique qui rapporte les étonnantes confidences de cette journaliste italienne à l’un de ses confrères, Klaus Davi, dans une émission diffusée sur Youtube.

Lorsqu’elle arrive au rendez-vous, un message l’avertit que le ministre préfère finalement la recevoir dans sa suite, lui demandant de venir sans son caméraman. Après quelques hésitations, elle accepte et se rend dans la chambre de DSK: il lui offre une coupe de champagne et se met à lui parler de tout sauf de l’interview qu’ils ont à faire

Il lui aurait alors dit « adorer les journalistes »,  ce à quoi son interlocutrice aurait répondu par un compliment à l’attention d’Anne Sinclair, sa célèbre épouse. Celui qui allait bien plus tard devenir le patron du FMI, aurait alors tenté d’embrasser Myrta Merlino en la poussant violemment contre un mur. Elle se serait débattue tant bien que mal en le giflant avant de prendre la fuite.

La journaliste italienne, meurtrie par l’incident, l’a pourtant gardé pour elle toutes ces années et on ne sait pas, pour l’instant, ce qui l’a poussée à faire ces révélations la semaine dernière dans une émission diffusée sur Youtube. Elle insiste aujourd’hui sur le fait que ce qui importe n’est pas tant l’agression physique que la violence psychologique de cet homme de pouvoir contre la toute jeune femme qu’elle était à l’époque, âgée d’une vingtaine d’année. Un « abus de pouvoir » qui évoque celui dont avait fait preuve le même DSK à l’encontre de Tristane Banon alors qu’elle réalisait également une interview.

Dominique Strauss-Kahn, à peine sorti de l’énorme scandale dit du Sofitel de New York, va donc devoir affronter de nouvelles accusations. Rappelons qu’il avait été arrêté en mai 2011 après que Nafissatou Diallo, une femme de chambre de l’hôtel dans lequel il résidait, l’avait accusé d’agression sexuelle. Les charges avaient été abandonnées au bout de dix-huit mois quand les deux parties étaient parvenues à un accord. La plainte de l’écrivaine Tristane Banon pour tentative de viol fut également classée sans suite car le délai de prescription du délit d’agression sexuelle était dépassé.

Au début de l’année, Dominique Strauss-Kahn avait de nouveau été au coeur d’une polémique de moeurs après la publication de l’ouvrage controversé de la chercheuse au CNRS Marcela Iacub, Belle et bête: elle y romance sa douloureuse histoire d’amour avec DSK, et après avoir été condamnée pour « violation de la vie privée », elle a décroché il y a quelques jours le prix de la Coupole.

L’ex-directeur du FMI s’est affiché récemment au festival de Cannes au bras de Myriam L’Aouffir, présentée comme sa nouvelle compagne. Anne Sinclair, son épouse pendant vingt ans, avait confirmé leur séparation l’été dernier.

> Voir notre décryptage en vidéo: Dominique Strauss-Kahn et Myriam L’Aouffir, unis pour le meilleur

 Gala.fr

Marcela Iacub décroche le prix de la Coupole

Mai 31, 2013

Son livre Belle et bête sur sa liaison avec DSK est récompensé

 
Marcela Iacub décroche le prix de la Coupole

Anne Sinclair et DSKDSK une2DSKDSK

Le 10e prix de la Coupole est remis cette année à Belle et bête de Marcela Iacub. L’ouvrage avait fait scandale au moment de sa sortie en février dernier parce qu’il racontait la liaison de l’auteure avec DSK ; Le nouvel Obs en avait fait sa une.

Au moment de sa sortie en février dernier, le livre Belle et bête a provoqué une belle polémique, en partie parce que Le nouvel Obs en avait fait sa une. Aujourd’hui, l’ouvrage est à la fête puisqu’il vient de se voir récompensé par le prestigieux prix de la Coupole, dont le but est de mettre à l’honneur un livre «faisant preuve d’esprit». 

Ecrit par Marcela Iacub et paru chez Stock, Belle et bête racontait la liaison de l’auteur avec Dominique Strauss-Kahn, dans un récit où l’ancien patron du FMI, qui a monté les marches samedi à Cannes avec sa nouvelle compagne, était comparé à un cochon.

Pour décrocher le prix de la Coupole, dixième du nom, le livre de Marcela Iacub a éliminé les six titres qui étaient sélectionnés avec lui, parmi lesquels Puta madre de Patrick Besson (Fayard), Nouilles froides à Pyongyang de Jean-Luc Coatalem (Grasset), Heureux les heureux de Yasmina Reza (Flammarion) ou encore Configuration du dernier rivage (Flammarion) de Michel Houellebecq, avec lequel il s’est retrouvé en finale et qu’il a battu par sept voix contre trois.

Pas sûr que ce prix calme les critiques les plus virulentes à l’égard de Belle et bête et surtout du Nouvel Obs, accusé de faire du racolage et du sensationnalisme pour améliorer ses ventes en mettant le livre en couverture du magazine, lorsqu’on découvre que le président du jury du prix de la Coupole est François Armanet et qu’il est rédacteur en chef… du Nouvel Obs.

Pour expliquer le choix du jury, ce dernier reprend d’ailleurs les arguments avancés par Laurent Joffrin à l’époque pour justifier leur prise de position éditoriale. «Le débat était le suivant : il y avait d’un côté la tentation de récompenser un livre de poésie en 2013, et de l’autre la volonté de rappeler les qualités littéraires de Belle et bête, qui ont pu être éclipsées par la polémique accompagnant sa sortie». Rappelons malgré tout que le jury du prix de la Coupole est composé de journalistes issus de médias aussi divers que Le Parisien, Libération, Paris Match, Elle, Marianne…

Marcela Iacub recevra son prix le 12 juin prochain lors du traditionnel Dîner des 40 sous la Coupole, la célèbre brasserie du boulevard Montparnasse.

 Gala.fr par Jean-Christian Hay

Myriam L’Aouffir, celle qui fait battre le coeur de DSK

Mai 28, 2013

Ce que l’on sait de la compagne de Dominique Strauss-Kahn

Myriam L’Aouffir, celle qui fait battre le coeur de DSK

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Les Nicole Kidman, Eva Longoria et autres Marion Cotillard ont fait le show sur la Croisette mais une femme a marqué les esprits: Myriam L’Aouffir, la compagne de DSK, est une star malgré elle.

Jusqu’au dernier moment on pensait l’information invraisemblable. Nous qui avions pourtant annoncé la venue de Dominique Strauss-Kahn à Cannes étions perplexes sur sa possible montée des marches. Mais l’ancien directeur général du FMI ne s’est pas démonté. Face au malaise de certains festivaliers, et assailli par les flashs des photographes, DSK a trouvé sa meilleure alliée pour affronter l’événement. Myriam L’Aouffir a tenu le bras du nouvel homme de sa vie jusqu’en haut des marches du Palais des Festivals, sans jamais le lâcher.

Une présence essentielle pour un DSK en plein retour dans la lumière. Il faut dire que la jolie blonde de 47 ans connaît bien les rouages de la machine médiatique. Responsable de la communication online et manager des social media chez France Télévisions, Myriam L’Aouffir est de ces femmes d’affaires qui imposent le respect. La communication, c’est son fort, puisqu’elle a permis l’arrivée du groupe de chaînes publiques sur les réseaux sociaux et compte elle-même presque 20 000 tweets pour 10 000 abonnés à son compte Twitter, @laouffir. Avant d’être recrutée par Remy Pfimlin, elle a déjà été chargée de la communication régionale et internationale de France 2 pendant plus de dix ans. En 2007, elle se laisse séduire par l’ambassade du Maroc (pays où elle est née) qui lui confie également sa communication. Femme de poigne mais aussi son cœur, Myriam L’Aouffir est aussi très liée à l’association Juste pour eux qui tente de favoriser l’éducation dans les milieux ruraux marocains. Ce serait par ce biais que DSK et la jeune femme se seraient rencontrés il y a déjà quelques années.

Dans Gala n°1042 (en kiosque mercredi) un proche du couple confie que Myriam et Dominique Strauss-Kahn font route commune depuis un an. Ils ont choisi le festival de Cannes pour s’exposer ensemble. L’ex-époux d’Anne Sinclair était l’invité de son ami Alain Delon, auquel le festival consacrait une soirée spéciale, et sa compagne s’est donnée du mal afin de trouver LA tenue idéale pour cette grande première, finalement une pièce chic et sobre signée Jean Paul Gaultier. Et l’élégante ne manque pas non plus de second degré puisqu’elle remerciait dimanche, via son compte Twitter, « ceux qui n’ont pas omis l' »‘ » #apostrophe:) ».

 Gala.fr par Laure Costey