Le pont de l’autoroute 25 PHOTO : RADIO-CANADA / CBC
Si vous avez reçu sur votre cellulaire un texto vous avisant d’une facture impayée, ne cliquez pas sur le lien qui est fourni, prévient l’entreprise Concession A25 qui gère le pont Olivier-Charbonneau et la portion d’autoroute entre Montréal et Laval.
Le texto en question mentionne un montant impayé et fixe une date limite pour payer sous peine de pénalité. Un hyperlien pour payer la facture accompagne ce message rédigé dans un français impeccable.
Il s’agit d’un leurre. Cette technique, nommée hameçonnage, est souvent utilisée par les fraudeurs. Lorsque la personne clique sur le lien, elle peut transmettre, à son insu, des renseignements personnels qui peuvent inclure, entre autres, ses données bancaires, prévient l’entreprise sur son site Internet de même que sur sa ligne téléphonique.
« Dès que nous avons été saisis de la situation, nous avons contacté la police pour les informer », mentionne par courriel, une porte-parole de l’entreprise.
Concession A25 suggère de signaler les messages textes indésirables au numéro 7726 qui permet aux opérateurs de téléphonie mobile d’ouvrir une enquête sur le contenu du message.
Au moment de publier, il n’avait pas été possible de joindre le Centre antifraude du Canada afin de connaître l’ampleur de la campagne de textos frauduleux ou de savoir qui se trouve derrière ces tentatives d’hameçonnage.
Si Toronto s’est positionnée en tête du classement, Montréal occupe la deuxième place. (Photo d’archives) Photo: Radio-Canada/Ivanoh Demers
Quatre villes du Québec font partie des dix noyaux urbains les plus attirants pour les jeunes travailleurs, a révélé le plus récent Indice du travail urbain, réalisé par l’organisme YouthfulCities en collaboration avec la Banque Royale du Canada.
Ce classement ordonne trente villes canadiennes selon leur performance vis-à-vis une dizaine d’indicateurs déterminés lors du Sommet du travail urbain de 2019, notamment l’action climatique, la diversité et l’inclusion, l’équité, les possibilités d’emploi pour les jeunes, l’éducation et la formation, l’économie urbaine, l’esprit d’entrepreneuriat, le coût de la vie, le transport et les services de santé.
Si Toronto s’est positionnée en tête du classement, Montréal occupe la deuxième place. La région métropolitaine d’Ottawa/Gatineau, Québec et Laval se situent respectivement aux 6e, 8e et 9e rangs.
Des gens posent devant l’insigne «Ottawa» au marché By, au centre-ville. (Photo d’archives) Photo: La Presse Canadienne/Sean Kilpatrick
Selon le rapport de YouthfulCities, Montréal s’est démarquée en raison de son offre de transport collectif et son offre de mobilité durable.
Son réseau de transport en commun offre l’horaire de disponibilité le plus élevé, une application pour la gestion des trajets, de solides caractéristiques de sécurité comme des boutons de détresse et un programme d’arrêts de nuit, et une grande commodité d’accès à l’aéroport. Montréal a aussi obtenu les meilleurs résultats au chapitre des pistes cyclables et du potentiel piétonnier, peut-on lire dans le communiqué dévoilant les résultats de l’étude.
Le métro de Montréal (Photo d’archives) Photo: Radio-Canada/Ivanoh Demers
L’esprit d’entrepreneuriat de ses résidents, les gestes posés pour contrer les changements climatiques de même que les nombreuses possibilités de formation et la qualité de l’éducation qui y est dispensée ont aussi pesé dans la balance. L’étude révèle que Montréal et Toronto sont les villes qui ont financé le plus les jeunes entreprises en 2022, avec 3 milliards de dollars en investissements chacune. La métropole québécoise est aussi celle qui compte le plus d’accélérateurs entrepreneuriaux par habitant.
YouthfulCities souligne toutefois que Montréal serait la quatrième des villes les plus faibles en ce qui a trait au nombre de professionnels en santé mentale par habitant. Un reproche similaire est formulé à Laval, qui finit bonne dernière au classement quant au nombre de professionnels de santé par habitant.
Les villes du Québec se sont distinguées pour leur accès numérique, entre autres attribuable au nombre d’endroits offrant du wi-fi gratuitement, et pour l’abordabilité des services Internet et de téléphonie cellulaire; Montréal et Québec se classent d’ailleurs deuxième et troisième au pays en la matière, respectivement.
Par ailleurs, Laval, Québec et Ottawa/Gatineau seraient les trois villes les plus abordables, selon l’enquête.
On mentionne cependant que, même si toutes les villes québécoises étudiées se sont taillé une place parmi les 10 meilleures du classement, aucune de celles-ci n’a obtenu de bons résultats relativement aux indicateurs de l’économie municipale et de la santé, avec des scores inférieurs au 50e percentile.
La Ville de Québec s’est classée au dernier rang en ce qui a trait à ses services de santé. On souligne également qu’elle dispose d’un des nombres les plus faibles de banques alimentaires par habitant.
Entamer un dialogue
Le classement vise à faire prendre conscience aux dirigeants des villes et aux employeurs des aspects que les jeunes travailleurs recherchent afin qu’ils entament un dialogue national sur l’avenir du travail en milieu urbain et sur le rôle de premier plan que jouent les jeunes pour façonner cet avenir.
Alors que la reprise postpandémie se poursuit, le marché du travail pour les jeunes adultes demeure précaire. Ils devront continuer de faire des choix de carrière tenant compte des environnements de travail, des changements sectoriels émergents, des salaires et de l’inflation, et ces choix se répercuteront à leur tour sur leur mode de vie et sur leur contribution à la ville où ils décideront de s’établir, a commenté Raj Dhaliwal, le responsable de YouthfulCities, une organisation invitant les jeunes de 15 à 29 ans à réfléchir à des solutions aux problèmes de leurs villes.
Un homme dans la soixantaine a été tué par balles sur le terrain d’un centre commercial situé sur la voie de desserte de l’autoroute 440, près du boulevard Le Corbusier, à Laval. Photo : Radio-Canada/Simon-Marc Charron
Selon nos informations, Vincenzo Armeni, un trafiquant de drogue de 66 ans, a été abattu mardi matin dans le stationnement d’un centre commercial de Laval.
Selon le Service de police de Laval, les autorités ont été appelées vers 7 h 46 sur le terrain jouxtant un commerce de céramique, situé en bordure de l’autoroute 440, près du boulevard Le Corbusier.
Sur place, les agents ont découvert le corps inanimé d’un homme de 66 ans, atteint de projectiles d’armes à feu, gisant à côté d’un VUS blanc. Son décès a été constaté sur les lieux.
Le Service de police de Laval n’a pas confirmé l’identité de la victime.
Peu après ces événements, la police a découvert un VUS noir incendié dans un stationnement à l’intersection de la 71e Avenue et de la 1re Rue, dans le quartier Chomedey, à Laval. Ce véhicule pourrait être lié à cet assassinat.
Un poste de commandement de la police de Laval est sur place. Des enquêteurs de la Sûreté du Québec ont également été dépêchés sur les lieux du crime.
Un véhicule utilitaire sport a été retrouvé incendié à quelques kilomètres des lieux du crime, près du pont Lachapelle, dans le quartier Chomedey. Photo : Radio-Canada/Simon-Marc Charron
Arrêté en 2006 dans le cadre d’une saisie record de 250 kilogrammes de cocaïne d’une grande pureté chez l’un de ses complices, Vincenzo Armeni était alors considéré comme l’un des plus grands importateurs de drogue au Canada.
Le contenu de cette saisie représentait à lui seul 10 % de toute la cocaïne saisie au Canada en 2006.
Selon les enquêteurs, Armeni aurait à l’époque entreposé jusqu’à 761 kilos de cocaïne dans la résidence de son complice. Ce qui représentait plus de 50 millions de dollars de profit possible pour l’homme qui était marié et père de deux enfants.
En octobre 2007, Vincenzo Armeni a écopé d’une peine de 19 ans de prison au palais de justice de Saint-Jérôme.
L’homme au lourd casier judiciaire bénéficiait déjà d’une libération conditionnelle pour une condamnation antérieure de 10 ans de prison reçue dans une autre affaire d’importation de cocaïne. Il avait également écopé dans le passé de deux autres condamnations de 4 ans et de 7 ans de prison pour des affaires similaires.
Vincenzo Armeni avait été libéré sous plusieurs conditions en 2020.
Mardi matin, les policiers de Laval étaient toujours sur les lieux du drame. Photo: Radio-Canada
L’homme arrêté en lien avec l’assassinat lundi de deux enfants dans le quartier de Sainte-Dorothée, à Laval, serait le père, selon les informations de Radio-Canada. Il a été hospitalisé, mais il se trouve dans un état stable mardi matin, a annoncé la police locale.
Le drame s’est produit un peu avant 18 h dans une résidence de la rue Lauzon. Les morts du garçon de 11 ans et de la fille de 13 ans ont été constatées à l’hôpital.
L’homme de 46 ans a été arrêté sur place. Le suspect devrait comparaître au courant de la journée au palais de justice de Laval, a déclaré aux médias Erika Landry, porte-parole du service de police de Laval.
La police a refusé de dévoiler l’identité ou le lien de parenté du suspect, mais selon nos sources, il s’agit du père des enfants.
Mardi matin, les policiers étaient toujours sur place. Un tronçon de la rue Lauzon est encore fermé à la circulation.
Un voisinage ébranlé
Selon des voisins, la famille venait de s’installer dans le quartier. Une famille discrète, disent-ils.
Des voisins, encore ébranlés mardi matin, ont raconté avoir vu des membres de la famille sortir dans la rue, crier et pleurer. J’ai vu la police sortir une arme et administrer des premiers secours (à un homme), mais le gars ne bougeait pas, a raconté un voisin.
Ça se fait derrière les portes fermées, alors on ne peut pas imaginer. La seule chose que je me suis dite, c’est « pauvre lui ». Il aurait dû utiliser les ressources disponibles en santé mentale, a affirmé une autre voisine.
Par Radio-Canada avec des informations de Marie Isabelle Rochon
La police de Laval a arrêté hier Francisco Del Balso pour avoir menacé et tenté d’extorquer la communauté religieuse Saint-Maxime. Photo : Radio-Canada/Ivanoh Demers
Francisco Del Balso, 52 ans, qui a déjà fait la loi et l’ordre au sein du crime organisé et qui était l’un des lieutenants du clan Rizzuto, a été arrêté hier par la police de Laval pour avoir menacé et tenté d’extorquer une communauté religieuse catholique.
C’est avec stupéfaction et incrédulité que plusieurs enquêteurs qui luttent contre le crime organisé ont appris la nouvelle de l’arrestation du mafieux par la police de Laval, hier en fin de journée.
Francisco Del Balso après son arrestation dans l’opération Colisée, en 2006. Photo : Archives
Ce dernier aurait passé la nuit en interrogatoire. Il devrait comparaître au cours des prochaines heures pour faire face à des accusations de menaces et d’extorsion.
Del Balso se serait présenté à la communauté religieuse Saint-Maxime de Laval, située sur le boulevard Lévesque-Ouest. Adjacent au presbytère, Partage Saint-Maxime, un comptoir de distribution de vêtements provenant de dons du public, est accueilli par la paroisse.
C’est à cet endroit que l’ex-femme du mafieux aurait fait don de plusieurs vêtements où des bijoux auraient été laissés.
Probablement sans le sou, selon nos informations, Francisco Del Balso se serait présenté pour confronter le curé de la paroisse afin de retrouver les objets de valeur.
Selon la plainte déposée à la police de Laval, des membres de la paroisse Saint-Maxime auraient rapporté aux autorités policières que le mafieux leur avait réclamé 5000 $ par semaine pour avoir égaré les bijoux qu’il considérait toujours en être le propriétaire.
Pablo Andrés Aguirre Jácome était porté disparu à Montréal depuis le 30 janvier dernier. Photo : CORTESÍA DE LA FAMILIA
Le corps de Pablo Andrés Aguirre Jácome, 23 ans, a finalement été retrouvé le 28 mars dernier dans un boisé de Laval.
Le Service de police de la Ville de Montréal a confirmé hier soir que le corps, quelques jours après sa découverte, avait été formellement identifié.
Le jeune homme était activement recherché depuis deux mois par les policiers de Montréal ainsi que par sa mère, Marina Jácome, qui avait quitté Quito, en Équateur, pour mettre sa vie sur pause afin de participer aux recherches à Montréal.
Pablo Andrés Aguirre Jácome avait été vu pour la dernière fois le 30 janvier à la station de métro Saint-Michel.
La mère du disparu avait même puisé dans ses économies personnelles pour embaucher un détective privé afin d’accélérer les recherches.
Marina Jácome est venue d’Équateur au Canada à la recherche de son fils Pablo Andrés, dont elle était sans nouvelles depuis le 30 janvier. L’image de droite était la toute dernière connue du jeune Équatorien et provenait des caméras de surveillance de la station de métro Saint-Michel. Photo : RCI/Captura de Pantalla/Service de Transport de Montréal
L’Association équatorienne de Montréal avait aussi rassemblé un groupe de bénévole pour placarder plusieurs endroits de la métropole avec la description du disparu afin de le retrouver.
Marina Jácome accompagnée des bénévoles qui l’ont aidée dans ses recherches pour retrouver son fils, Pablo Andrés Aguirre Jácome. Photo: RCI/Cortésia Marina Jácome
La mère du disparu a tenu à exprimer sa grande tristesse sur sa page Facebook.
« Avec douleur, nous devons annoncer la fin de la recherche de Pablo Andres. Sa mère et sa famille remercient toute la communauté pour l’aide et les efforts fournis dans sa recherche et en même temps nous demandons le respect de la privacité dans ces moments de profonde douleur que traverse la famille. Pablo Andres repose maintenant en présence du Seigneur. »— Une citation de Marina Jácome, mère du défunt
Radio-Canada a également appris que le SPVM avait délégué non pas un, mais deux enquêteurs sur le dossier pour élucider la disparition de Pablo Andrés Aguirre Jácome.
Ce dernier était venu à Montréal pour étudier en production télévisuelle à l’Institut Trebas.
Les enquêteurs du SPVM ont conclu que la mort n’était pas de nature criminelle.
La jeune fille de 17 ans, retrouvée vivante mardi soir en Mayenne après une disparition inexpliquée alors qu’elle était partie courir, « a retrouvé sa famille » et « aucune interpellation n’est intervenue » jusqu’à présent, a fait savoir mercredi soir le parquet de Laval.
« Les investigations sur le lieu des faits touchent à leur fin, ce qui va permettre le désengagement des militaires de la gendarmerie sollicités à cet effet », a indiqué dans un communiqué la procureure de la République de Laval, Céline Maigné.
La section de recherches d’Angers et la brigade de recherches de Château-Gontier « poursuivent un travail minutieux d’auditions, réquisitions, vérifications pour préciser le déroulement de la journée pendant laquelle la jeune fille a disparu, en se basant notamment sur ses déclarations », a-t-elle ajouté.
La jeune fille « a été prise en charge sur le plan médical et a pu retrouver sa famille », a précisé la magistrate, selon laquelle « aucune interpellation n’est intervenue ».
Une enquête pour enlèvement et séquestration a été ouverte mardi.
Un homme avait été placé en garde à vue lundi soir après cette disparition mais il a été mis hors de cause, avait annoncé la procureure, plus tôt dans la journée.
« Les investigations réalisées ont permis d’éclaircir les éléments ayant motivé cette mesure (de placement en garde à vue, ndlr) et d’écarter l’implication de la personne mise en cause », avait-elle indiqué.
Selon plusieurs médias, cet homme avait appelé les gendarmes à plusieurs reprises pour tenter d’avoir des informations sur la disparition de la jeune fille.
De leur côté, les gendarmes ont annoncé, mercredi en fin d’après-midi, avoir levé l’important dispositif de 200 militaires mis en place dans le secteur de la disparition de la jeune fille. « Désormais, une soixantaine de gendarmes (sont) engagés dans les investigations » et « les unités gendarmerie locales restent, dans le cadre du service, vigilantes », ont-ils précisé.
La jeune lycéenne a été retrouvée vivante mardi soir dans un restaurant de Sablé-sur-Sarthe, à environ dix kilomètres de la zone où elle était partie faire son jogging.
Selon le maire de la ville Nicolas Leudière, elle était « extrêmement choquée ».
MONTRÉAL — Les tests rapides de dépistage de la COVID-19 qui sont en voie d’être déployés dans les écoles du Québec pourraient à tout le moins permettre d’éviter de renvoyer inutilement à la maison les enfants qui présentent des symptômes inquiétants, démontre une nouvelle étude québécoise.
Le ministère de la Santé et des Services sociaux et le ministère de l’Éducation ont récemment annoncé que ces tests seraient implantés dans les écoles de dix régions de la province, notamment à Montréal, à Laval et en Montérégie.
La docteure Caroline Quach-Thanh, du CHU Sainte-Justine, et ses collègues ont étudié l’utilisation optimale des tests rapides pour contenir les éclosions et évaluer leur efficacité en milieu scolaire.
Ils en viennent à la conclusion que les tests par réaction de polymérisation en chaîne (les tests PCR) demeurent la technique la plus sensible chez les individus symptomatiques, mais que les tests rapides ont un rôle à jouer lorsque les enfants présentent des symptômes.
«Si tu arrives le matin et que tu réalises que l’enfant tousse un peu et peut-être qu’il a un mal de gorge, si le test est négatif, l’enfant peut rester à l’école, a résumé la docteure Quach. Évidemment, si ça perdure, il faudrait aller faire un (test) PCR comme d’habitude, mais on est capable de permettre une fréquentation scolaire autour de ce test-là.»
Il se pourrait que les tests rapides ratent quelques infections au SRAS-CoV-2 comparativement aux tests PCR, mais le risque est moindre chez les patients qui présentent des symptômes. Ces tests rapides sont aussi plus efficaces lorsque la charge virale est élevée, ce qui correspond au moment où la contagion est plus grande.
La docteure Quach en vient donc à la conclusion que les tests rapides devraient être réservés en priorité aux personnes symptomatiques.
Et même s’ils pourraient permettre à certains enfants de rester à l’école ou au service de garde, dit-elle, il faudra quand même faire preuve de discernement, puisque les critères qui existaient avant la COVID pour renvoyer un jeune à la maison demeurent valides.
«Si l’enfant fait de la fièvre, qu’il ne va pas bien, qu’il n’est pas capable de suivre les activités, on devrait encore le renvoyer à la maison, a-t-elle dit. S’il fait 39 de fièvre et que le test est négatif, qu’il est amorphe, qu’il n’est pas capable de suivre ce qui se passe en classe, il y a peut-être une influenza, il y a peut-être d’autres virus qu’on ne veut pas non plus transmettre.»
Les résultats de cette étude ont été obtenus grâce à la participation de plus de 2000 élèves du secondaire et près de 300 membres du personnel scolaires recrutés dans deux écoles secondaires de Montréal et suivis entre les mois de janvier et juin 2021.
Les chercheurs ont trouvé une plus grande proportion de cas asymptomatiques dans ces écoles participantes, ce qui voudrait dire que plus de cas ont été ratés dans les autres écoles de la province.
De plus, parmi les infections dont la source était connue, 72,5 % découlaient d’une transmission familiale et 25 % d’une transmission scolaire.
La jeune Athena Gervais, âgée de 14 ans, a été retrouvée sans vie, jeudi, à Laval, trois jours après qu’elle eut été portée disparue.
La police de Laval devra déterminer s’il y a un élément criminel, n’écartant pour l’instant aucune hypothèse sur les circonstances de la mort de l’adolescente.
Le corps a été retrouvé vers 16 h 30 dans un ruisseau derrière l’école Poly-Jeunesse, où les pompiers avaient été appelés à aider aux recherches, a indiqué la porte-parole de la police Geneviève Major.
L’adolescente avait quitté son école du secteur Fabreville à l’heure du dîner, lundi, et ne s’était pas présentée à ses cours en après-midi ni à son domicile par la suite.
Sa mère avait signalé sa disparition, lundi soir, et les recherches s’étaient mises en branle le lendemain.
La porte-parole a souligné que la jeune fille n’avait pas d’antécédent de fugue.
«On est tout juste en train d’établir les circonstances et les causes… On n’écarte rien pour l’instant», a indiqué Mme Major jeudi en fin d’après-midi.
«On essaie vraiment de soutenir la famille, ce n’est jamais la finalité qu’on veut dans une enquête comme celle-là», a-t-elle ajouté.
Elle a indiqué que plusieurs informations avaient été reçues au poste de commandement depuis mardi, mais n’a pas pu dire si une information du public avait mené aux recherches plus approfondies dans le ruisseau.
La description publiée mardi indiquait que l’adolescente portait son uniforme scolaire et se déplaçait à pied et en transport en commun.
À St-Jérôme, le 27 septembre 2017, à l’âge de 40 ans, est décédée Mme Jubline Rhane Mafouta Bazolana, épouse de M. Armand Gothard Mandombi.
Outre son époux Armand, elle laisse dans le deuil ses enfants Lyold Felicia Faith et McGeorgy Greyson, sa mère Albertine Kikoundi Mafouta, tous les enfants Mafouta ainsi que les autres membres de sa famille et ses amis.
La famille avait reçu les condoléances jeudi 5 octobre et vendredi 6 octobre 2017 de 18h à 21h au salon de la